Star Trek
Cette série raconte les aventures vécues, au XXIIIe siècle, par James T. Kirk, capitaine du vaisseau Enterprise NCC-1701 et son équipage. Leur mission quinquennale est d'explorer la galaxie afin d'y découvrir d'autres formes de vie et d'enrichir ainsi les connaissances humaines.
Terminée | Américaine | 60 minutes |
Action, Adventure, Drama, Science-Fiction | NBC, TF1 | 1966 |
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Avis sur l'épisode 2.24
Liste des épisodes
Episode 2.01
Le Mal du pays
Episode 2.02
Pauvre Apollon
Episode 2.03
Le Korrigan
Episode 2.04
Miroir
Episode 2.05
La Pomme
Episode 2.06
La Machine infernale
Episode 2.07
Dans les griffes du chat
Episode 2.08
Mudd
Episode 2.09
Guerre, amour et compagnon
Episode 2.10
Un tour à Babel
Episode 2.11
Un enfant doit mourir
Episode 2.12
Les Années noires
Episode 2.13
Obsession
Episode 2.14
Un loup dans la bergerie
Episode 2.15
Tribulations
Episode 2.16
Les Enchères de Triskelion
Episode 2.17
Une partie des actions
Episode 2.18
Amibe
Episode 2.19
Guerre et Magie
Episode 2.20
Retour sur soi-même
Episode 2.21
Fraternitaire
Episode 2.22
Tu n'es que poussière
Episode 2.23
Nous, le peuple
Episode 2.24
Unité multitronique
Episode 2.25
Sur les chemins de Rome
Episode 2.26
Mission: Terre
Le principal défaut de cet épisode est que son déroulement est hyper prévisible - on sait dès le début que l'AI va merder, les seules questions qui restent c'est quand et à quel point.
Mais l'intérêt est ailleurs - ça me fascine toujours de voir la SF percevoir les questions posées par les AIs alors même que l'informatique était encore dans un état embryonnaire - et c'est d'ailleurs amusant de constater que 2001 l'odyssée de l'espace est sorti juste 6 mois après la diffusion de cet épisode.
Ici, la question posée est réellement : à quoi sert l'homme si l'ordinateur est capable de le remplacer avec plus d'efficacité ? Et le fait que le spectateur se sente mal en voyant le spectacle de son équipage totalement désœuvré est diablement efficace pour poser le débat.
L'autre point intéressant ici est le personnage du Dr Daystrom - si le personnage du savant dépassé par son invention est un grand classique, il a un petit côté tragique (le génie précoce qui cherche à retrouver sa superbe) qui le rend touchant.
Et, surtout, c'est un génie scientifique, il a révolutionné l'informatique dans le monde Star Trek, il est le véritable personnage central de l'épisode... et il est noir.
Et ça, encore aujourd'hui, ça semble progressiste, alors à l'époque ça devait être révolutionnaire !
A part ça, j'ai été plutôt déçue par l'écriture des personnages secondaires ici... l'équipage n'a pas grand chose à dire ni à faire, Spock fait du Spock, McCoy du McCoy, mais d'une manière tellement prévisible et mécanique qu'on devine presque leurs répliques à l'avance...