State of Play
Jeux de pouvoir
Deux personnes que tout sépare meurent le même jour : une jeune femme, membre d'une commission gouvernementale et un adolescent habitué des vols à la tire. Il est abattu par un tueur professionnel ; elle tombe sous les roues du métro. Ils n'ont rien à voir ensemble, sauf qu'ils se sont téléphonés quelques ...
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Terminée | Anglaise | 60 minutes |
Thriller, Drama, Mini-Series, Mystery, Suspense | BBC One, Canal+ | 2003 |
1 avis favorable
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0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.06
Avis favorable | Déposé le 27 mars 2011 à 01:03 |
Et voilà un beau final ! Un twist qu'on ne soupçonnait pas et qui est parfaitement plausible, qui ne remet pas en question les découvertes précédentes, mais impose une deuxième vérité de l'affaire. Sans annuler la première. Une scène de suicide parfaitement glaçante, et réaliste. Et une scène finale magnifique, muette, qui clôt la série sans explications superflues. SPOILER Le fait d'arrêter la série à l'impression du journal, sans que l'on voit les conséquences pour les uns et les autres, c'est juste parfait. FIN SPOILER. Car on a répondu à nos questions, et les choses sont assez claires pour que le spectateur imagine, sans frustration, les suites de l'affaire. Que dire de plus ? Ah si, un message pour toi John Simm : Ne pleure plus, ça me fait trop mal. |
Un peu déçue par ce final... le twist me semble inutile, ou mal amené. Il amène des tas de zones de flou par rapport aux évènements décrits dans les épisodes précédents, notamment vis à vis de Stagg.
Tout avait été tellement bien construit dans les précédents épisodes que cette pirouette scénaristique semble jouer sur l'effet "waouh", ce qui est un procédé scénaristique un peu facile et indigne de la qualité de l'écriture jusqu'ici.
Reste que c'est tout de même bien fait, donc ça passe...
Et je regrette un peu que le final se concentre sur Stephen et Cal, ce qui est légitime, mais du coup le reste de la rédaction est un peu mis de côté, c'est dommage... ils auraient mérité une petite conclusion au moins symbolique, et peu plus riche que simplement leurs noms en haut de l'article. Le corps de la série, c'était eux.