Un final parfaitement dosé, qui prouve à quel point la série sait ce qu'elle raconte depuis six ans. Le scénario rend hommage à ces travailleurs qui sont partout autour de nous ou qui font la même chose que nous. Et oui, ce n'est peut-être pas le meilleur des boulots, mais ça ne veut pas dire que rien n'est à retenir. Et ça n'est pas parce qu'on veut passer à autre chose que l'on manque de respect pour ce qu'on a fait. De là, l'épisode passe sur les relations dans le groupe et les adieux au magasin. Il y a les nostalgiques, les cyniques, les réalistes, les indifférents... Song for Zula me fait toujours un terrible effet, donc j'ai été très émue par la fin que j'ai trouvée juste et touchante. Le petit montage des moments les plus fous, avec la dernière annonce de Garrett en fond, et puis les quelques flashforwards qui montrent que parfois, les plus petits boulots et ceux les moins valorisés peuvent se faire rencontrer de belles personnes. Je n'en attendais pas plus et pas moins de Superstore.