Une nette progression pour cette seconde saison beaucoup plus poétique et sensible qui garde la machine en toile de fond mais se concentre réellement sur les personnages. Ces derniers deviennent plus attachants, en tout cas plus intéressants, et on a envie de les suivre. Je dirais aussi que j'apprécie vraiment l'aspect coming of age qui est adapté aux adultes ici. C'est d'autant plus touchant de voir des gens dans leur quarantaine (ou plus) qui essaient de se trouver et qui naviguent les aléas de la vie. Josh Segarra livre quand même une belle performance compte tenu de son personnage over the top, et l'épisode final offre un bon cliffhanger (et bénéficie d'une très belle photographie). J'étais mitigée l'année dernière, mais la qualité de cette saison me donne envie d'en voir plus !