The Deuce
La légalisation et l'âge d'or de l'industrie pornographique à Time Square, New York, des années 70 jusqu'au milieu des années 80.
| Terminée | Américaine | 59 minutes |
| Drame, Historique, Drama | HBO | 2017 |
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Avis sur l'épisode 1.03
Altaïr
Jo_| Avis favorable | Déposé le 31 décembre 2017 à 14:53 |
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Toujours aussi bon. On ne s'ennuie pas, et on se laisse porter par ce "Mad Men" mal famé. Car oui, pour moi, il y'a quelques similitudes, tenant principalement compte de la condition de la femme dans la société des années 60-70. Outre son objetisation, j'ai le sentiment qu'on retrouve chez Eileen un côté Peggy : une femme qui essaie de se faire sa place dans un monde dominé par les hommes. Sauf qu'on parle de porno et pas de publicité. On ne voit pas l'heure passée, on s'attache de plus en plus aux personnages... Bref, un sans faute pour le moment. |
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nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 20 novembre 2017 à 10:23 |
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Toujours au top, les épisodes passent comme du petit lait et je ne m'ennuie pas une seconde. Même si je comprends pas tout, comme qui est Bobby Dwyer par rapport au frère Martino? (D'ailleurs, c'es un plaisir infini de revoir l’interprète de Frank Sobotka). Concernant les James Franco, en plus que les effets spéciaux sont magnifiquement bien exécutés au point qu'on y voit que du feu lorsqu'ils sont tous deux dans le même plan, j'aime bien le lien qu'il y entre les deux. Car, même si on est dans le schéma ultra-classique, du frère borderline qui fout la merde, la vrai complicité intacte qui existe entre les deux permet de donner une lumière particulière aux deux frères et à la série. |
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RasAlGhul| Avis favorable | Déposé le 29 septembre 2017 à 16:05 |
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Ah bah c'est tout de suite mieux ! L'épisode est vraiment passé tout seul, bien rythmé et assez intéressant. Certaines parties de l'intrigue ne m'attirent pas pour le moment, mais je pense que c'est le prix à payer en regardant une série de David Simon à la semaine (la première fois que je le fais). J'ai vraiment un coup de coeur pour Abby, qui est un personnage que je trouve super intéressant. Ainsi que pour Darlene ; j'espère que les deux interagiront encore davantage à l'avenir. Comme le dit si bien Phiocratie, il y a une hégémonie masculine au sein de cet épisode, encore plus appuyée que dans les deux premiers. Enfin, je me fais de plus en plus à James Franco. |
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Philocratie| Avis favorable | Déposé le 27 septembre 2017 à 14:55 |
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Spoiler
La série continue de développer ses intrigues dans ce troisième épisode, sans grande fulgurance toutefois. L'écriture est toujours d'excellente qualité ce qui rend le tout agréable à suivre ; personnellement je ne vois pas passer le temps. J'ai été frappé par l'ambiance sonore du quartier des prostitués. Chaque scène qui s'y déroule est ponctuée de bruits ou de cris qui traduisent assez bien le sentiment d'insécurité qui y règne. L'épisode met en avant la totale domination masculine de l'époque. Eileen est déconsidérée par le directeur de films porno, qui ne lui laisse même pas tenter sa chance derrière la caméra et qui ne la voit que comme une actrice. Abby qui se fait voler son argent par un autre étudiant après avoir couché avec lui. Darlene qui se soumet naturellement à son proxénète et qui cherche à se rattraper après s'être endormie avec son client régulier. On voit que les femmes sont exclusivement au service du plaisir ou de l'argent des hommes, et qu'elles ont intériorisé cette fatalité ; pour preuve Lori ne se défend même pas lorsque CC lui dit qu'elle doit obtenir des clients réguliers alors qu'elle a de bons revenus. À noter que cet épisode est réalisé par James Franco, mais je n'ai pas trouvé que ça lui donnait une teneur particulière (à part le dernier plan peut-être). |
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Super épisode, qui pour la première fois m'a intéressée du début à la fin.
La caméra est plus pudique ici - la seule scène un peu sordide est filmée de loin. Il en ressort moins une impression de coup de poing dans le ventre comme dans les deux premiers épisode, et plus cette délicieuse sensation intimiste qu'il y a d'être avec des personnages qu'on a appris à aimer. Surtout quand ils se retrouvent tous au même endroit au même moment.