Un croyant désespéré se bat contre le monde entier, et contre toute attente (non), Christopher Eccleston est juste monstrueux d'humanité et de justesse. Peut-être que The Leftovers aurait dû commencer comme ça, finalement 

Christopher Eccleston est absolument magnétique. Je continue de penser qu'il aurait fait un meilleur Doctor sombre que Peter Capaldi, soit dit en passant.

J'étais persuadé que le prêtre allait rejoindre la secte à la fin de l'épisode et puis finalement non, c'est plus une opposition Foi Vs Foi qui s'annonce. Lindelof s'est débarassé de la science qui l'encombrait dans Lost et est allé au plus simple visiblement.

J'imagine que ça y'est : on rentre dans le vif du sujet. La série prend le parti de faire un centric sur un personnage qu'on a du voir 3 minutes depuis le pilot et qui ne vend pas franchement du rêve sur le papier.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, ça fonctionne parfaitement. On se prend au jeu de savoir comment ce prêtre va s'en sortir. On sait que quelque chose va foirer. On ne sait juste pas quand et à quel moment. Belle ironie que son plan échoue à cause de gens qu'il souhaite sauver.

J'ai lu dans vos avis que ce n'était que le début. Alors vivement la suite !

Ouhla mais le gap entre les deux premiers épisodes est très violent. Déjà on s'attend pas forcément à un centric après les deux premiers et c'est une vrai surprise tant c'est l'épisode qui me fait accrocher à la série.

Quel épisode, Christopher Eccleston le porte magnifiquement du début à la fin. La réa est parfaite et j'ai particuliérement aimé le montage du rêve qui n'est pas trop fouilli et donne pas mal d'indices sur son passé et (potentiellement) son futur ?

J'espère qu'on verra ce personnage un peu plus à l'avenir, parce que je l'aime beaucoup.

Dès la première scène de l'épisode, on sait qu'on va assister à la chute d'un homme.

Après un pilot correct et un deuxième épisode qui tâtonnait encore un peu, The Leftovers révèle enfin son jeu, et il fallait bien tout le talent de Christopher Eccleston pour porter un tel épisode. Quoique, le casting est globalement très impliqué, et certains acteurs commencent à dévoiler des aspérités intéressantes, en particulier Carrie Coon que je trouve assez magnétique (je remercie d'ailleurs cet épisode de révéler les liens du sang qui unissent certains protagonistes, et j'aime bien le fait que cela puisse rétrospectivement éclairer des événements, comme la série l'avait déjà fait avec Laurie dans le Pilot).

La série se permet donc beaucoup de choses, que ce soit dans sa construction (j'aime les centric, mais je trouve encore mieux qu'ils soient inattendus et dispersés sur la saison), son montage (la séquence de rêve donne sans doute des indices ou des pistes sur le passé/l'avenir de la série, il faudra que je la reregarde) ou ses thématiques. L'épisode est extrêmement fort et brasse énormément de sujets de manière moins artificielle que dans les deux premiers. Loin d'être juste un fanatique intolérant, le Révérend dévoile ses parts d'ombre et ses faiblesses, et on est partagé entre notre envie de le voir réussir (c'est un peu les montagnes russes) et celle de le voir échouer et prendre sa philosophie moisie en pleine face (nous méritons notre sort car nous avons péché).

Et enfin, la dernière scène, bien que prévisible, conclut à merveille l'épisode sur une note ironique et pose des pistes intéressantes pour la suite de l'intrigue. 

C'est ça The Leftovers ? C'est ce genre d'émotions que c'est censé procurer ? Parce que si c'est effectivement ça... bah j'ai absolument adoré.

C'est tout bonnement excellent. Je pense que regarder cette épisode en 2018 (où on se mange des épisodes centric parfois déconnectés de tout, coucou Atlanta) m'a permis de ne pas du tout être dérouté, et d'apprécier la performance de cet épisode pour ce qu'elle est.

Remarquons déjà qu'après The Shadow Line, il ne faut décidément pas être la femme de Christopher Eccleston. Ensuite, j'ai été touché par cet homme qui lutte contre quelque chose de plus grand que lui. On sent dès le départ qu'il n'y arrivera pas, que c'est trop compliqué. Et on tremble à chaque obstacle, en se disant que ça y est, il va tomber face à l'adversité. Il enchaîne compromis moraux sur compromis dans des scènes dures à voir, tout ça pour finalement se faire battre. Par ceux qui étaient là au début.

Là où l'épisode est assez fort également c'est qu'il nous en apprend un peu plus sur tout le petit monde de The Leftovers. Nora, Laurie, Kevin... des personnages que l'on connaît déjà mais qui sont approfondis par leur rencontre avec le prêtre.

Une vrai bon épisode !

PS: j'hésite entre 15 et 16, je verrai à la fin de la saison comment ajuster ma note!

Incroyable cet épisode.

Comme beaucoup je ne m'attendais pas du tout à un centric sur un perso aussi secondaire dés le début de la série et... J'aurais jamais cru dire que j'aimais Eccleston ! Mais il était brillantissime dans cet épisode...

Le reste toujours du même niveau, j'adore vraiment la bande son qui est vraiment splendide...

Impressionnant !

On est qu’au 3éme épisode et le niveau global est fou (réal, acteurs, BO, scénario)

Superbe centric sur le prêtre. Christopher Eccleston est impeccable et donne une vraie dimension dramatique et torturée à ce personnage.

D’ailleurs cet épisode confirme la très bonne écriture des personnages du show, qui ont l’air tous assez complexes, et intéressants. (Matt, sa soeur, la femme du flic etc.)

Encore une fois la BO fait le taf et magnifie certains moment, le flashback et la scène finale.

Pour l’instant The Leftovers c’est vraiment pas mal, à voir si la suite confirme.

Ah bah voilà ! Là c'était intéressant ! Là il se passait des choses ! Là c'était excellent !

Ceux qui râlaient de ne pas voir Eccleston dans les épisodes précédent en ont pour leur argent et j'espère vraiment que ce modèle du 1 épisode = 1 personnage sera conservé tout le long de la série !