Happy end pour tout le monde, y compris ce gros lourdaud de David (hilarant dans ses speed dating).

Au global, The office a proposé une première saison brillante, avant une deuxième plus laborieuse, la faute à un humour qui va peiner à se renouveler.

C’est là qu’on constate que The Office US a été plus malin, en faisant de Michael Scott un personnage plus humain, moins égoïste et méchant. Cela a permis au show d’évoluer et de durer dans le temps, tandis que David Brent se retrouve très vite enfermé dans son aigreur, sa jalousie envers Neil et son arrogance.

Mais Ricky Gervais est tellement drôle dans son rôle, ses mimiques frisant le génie et certaines scènes sont tellement cultes, qu’on lui pardonne aisément.