The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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Avis sur l'épisode 2.27
Liste des épisodes
Episode 2.01
King neuf sans retour
Episode 2.02
L'homme dans la bouteille
Episode 2.03
L'homme et son double
Episode 2.04
Allez-vous-en, Finchley !
Episode 2.05
L'homme qui hurle
Episode 2.06
L'œil de l'admirateur
Episode 2.07
Les prédictions
Episode 2.08
Les robots du docteur Loren
Episode 2.09
Retour vers le passé
Episode 2.10
Futurographe
Episode 2.11
La nuit de Noël
Episode 2.12
Poussière
Episode 2.13
Le retour
Episode 2.14
Rien que la vérité
Episode 2.15
Les envahisseurs
Episode 2.16
Un sou pour vos pensées
Episode 2.17
Sans escale de vie a trépas
Episode 2.18
L'odyssée du vol 33
Episode 2.19
Monsieur Dingle
Episode 2.20
Parasites
Episode 2.21
Le manipulateur
Episode 2.22
Conversation avec l'au-delà
Episode 2.23
Au bord du gouffre
Episode 2.24
Rendez-vous dans un siècle
Episode 2.25
Le silence est d'argent
Episode 2.26
Peine capitale
Episode 2.27
L'esprit et la matière
Episode 2.28
Y a-t-il un martien dans la salle?
Episode 2.29
L'homme obsolète
Idée de base : un employé de bureau misanthrope et au bord du burn-out réalise qu'il peut faire disparaître l'Humanité entière juste en se concentrant. Oui, oui.
L'épisode : la solitude d'un homme qui se retrouve dans un lieu où il est le seul être vivant est un classique de TZ. Sauf qu'ici, contre-pied, l'homme le vit bien et en est même heureux. La deuxième partie de l'épisode où finalement, par ennui, il décide de créer un monde composé que de lui-même est savoureuse et bien cynique. Car oui, vouloir vivre qu’en étant entouré de soi-même quand on est un gros con râleur et insupportable, c'est compliqué. Belle métaphore de la vie parisienne, néanmoins.