The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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Avis sur l'épisode 3.12
Liste des épisodes
Episode 3.01
Deux
Episode 3.02
L'arrivée
Episode 3.03
L'abri
Episode 3.04
La route de la mort
Episode 3.05
Le joueur de billard
Episode 3.06
Le miroir
Episode 3.07
Vengeance d'outre-tombe
Episode 3.08
C'est une belle vie
Episode 3.09
Le musée des morts
Episode 3.10
Le soleil de minuit
Episode 3.11
La vallée immobile
Episode 3.12
La jungle
Episode 3.13
Il était une fois...
Episode 3.14
Cinq personnages en quête d'une sortie
Episode 3.15
La grandeur du pardon
Episode 3.16
Rien à craindre
Episode 3.17
L'excentrique monsieur radin
Episode 3.18
les chaussures diaboliques
Episode 3.19
La chasse au paradis
Episode 3.20
Règlement de comptes pour Rance McGrew
Episode 3.21
Jeux d'enfants
Episode 3.22
Un piano dans la maison
Episode 3.23
Les Funérailles de Jeff Myrtlebank
Episode 3.24
Comment servir l'homme
Episode 3.25
Le fugitif
Episode 3.26
La petite fille perdue
Episode 3.27
Personne inconnue
Episode 3.28
Le petit peuple
Episode 3.29
A quatre heures
Episode 3.30
Le menteur
Episode 3.31
L'échange
Episode 3.32
Le cadeau
Episode 3.33
La marionnette
Episode 3.34
Un passé infini
Episode 3.35
La fée électrique
Episode 3.36
L'ange gardien
Episode 3.37
La relève de la garde
Idée de base : un industriel qui exploite l’Afrique est victime d’une malédiction lancée par un sorcier.
L’épisode : bien sympa, il arrive à jouer sur la peur, uniquement via sa bande-son et des bruits de jungle. Dommage, selon moi, de ne donner aucune explication rationnelle à la présence du lion dans la chambre (genre il vient de s’évader d’un zoo tout bêtement), quitte à raccourcir la scène dans le bureau où les capitalistes se découvrent tous plus ou moins superstitieux.
La chute : Etonnant de réaliser que dans les années 50, on pouvait se balader tranquille dans un parc new-yorkais la nuit tombée et que le plus grand risque était de se faire dévorer par un lion.