Episode très special ou le docteur et l'histoire coincide pour le meilleur. L'acteur qui joue le peintre joue très bien.

C'est la troisième fois que je vois cet épisode. La troisième fois que je verse une larme. Pour moi, du grand Dr. Who, même si l'on est dans un parfait standalone. Et puis Bill Nighy en guest, je ne vais quand même pas bouder mon plaisir !

J'adore et j'adhère completement à cet épisode qui est plus un hommage merveilleux au grand Vincent, qu'un épisode de sf. Et ça ne me gène pas.

C'est comme une pause dans la série pour consoler Amy qui est parfois mélancolique sans savoir pourquoi. C'est très bien amené.

Moi qui trouvait le 11e Docteur trop survolté sans avoir la sensibilité du 10e que j'aimait tant, cet épisode nous laisse découvrir le 11e posé, mélancolique lui aussi, si touchant, si humain par sa compassion envers Amy, Vincent, et la créature...

Alors oui la créature n'est que très secondaire... et alors?

Nous sommes transportés dans les champs de Provence et les nuits étoilée de Vincent Van Gogh. Les images sont si belles, si soignées!

Le conservateur du musée qui introduit et termine l'épisiode est remarquablement joué. Surtout son trouble lors de sa rencontre avec Vincent à la fin...

Ainsi que VanGogh, dont je trouve l'acteur fantastique et si touchant.

Je dois avouer que bien qu'adorant la peinture de toutes époques je n'étais pas fan de Van Gogh, hormis ce tableau de nuit étoilé. Je ne vous dis pas mon émerveillement de voir le tableau se recréer dans le ciel...

Je n'ai qu'une envie, de filer au musée d'Orsay redécouvrir ce peintre avec un nouveau regard.

Ps: ca aurait été trop mignon des minis Amy VanGogh toutes rousses. Lol

Je suis sans doute biaisé, mais il faut croire que la France + l'Histoire, cela donne de très beaux épisodes. Après The Girl in the Fireplace, ou même City of Death dans les classiques, ce Vincent and the Doctor se hisse parmi les meilleurs de la saison voire de la série.

Et il ne fait que gagner en tendresse, en puissance et en profondeur à chaque revisionnage. Alors que pourtant, j’avoue qu’au début, je n’avais pas tellement adoré cet épisode. Il est beau, mais grandit à mesure que la série ou les spectateurs gagnent eux-mêmes en maturité. C’est un petit bijou.

Rempli d’émotion, l'épisode nous montre une partie de la vie de Van Gogh qui a été retranscrite par le scénariste d'une main de maître. La réalisation est superbe, après trois histoires aux allures "champêtres", voilà enfin une caméra qui met en valeur ce que la nature peut offrir. Les décors sont fabuleux, notamment car les peintures de l'artiste sont intégrées et forment à elles seules un épisode galerie du peintre. Le monstre souvent cité comme la partie la plus faible de l'épisode reste en soi sympathique et malgré son utilisation limitée il n'y avait pas mieux comme allégorie de la folie de Vincent, voire de son génie incompris, que personne ne peut voir sauf lui, et sur lequel le Docteur lui ouvre les yeux alors qu'il ne voit pas le monstre non plus. C'est à la fois beau, poétique et tragique. Le scénario n’est qu’un prétexte. La créature est présentée comme cruelle, pour finalement être simplement effrayée. C'est classique mais percutant, et avec beaucoup de profondeur ajoutée puisque comme Vincent lui-même, ou même le Docteur, l'abandon est sa plus grande peur et le pousse à faire d'horribles choses aux autres et à soi-même. Belle image de la dépression et de la bienveillance d'un ou deux amis de passage, qui peuvent illuminer les jours les plus sombres d'un homme.

Il y a plein de détails sublimes autour de la vie de Vincent, et tous les aspects possibles d'un historical sont abordés : le fait de modifier l'histoire (avec la peinture des Tournesols de Vincent qui est détruite puis ramenée), le fait de redonner de l'espoir aux célébrités importantes... A la fin, l'épisode nous fait même entrer dans la perspective de l'artiste avec la magnifique reconstitution du tableau de la Nuit Étoilée.

CURATOR: To my mind, that strange, wild man who roamed the fields of Provence was not only the world's greatest artist, but also one of the greatest men who ever lived.

Toute la fin est sublime et belle à en pleurer. A chaque fois que je revois cette scène dans le musée, j'ai les larmes aux yeux, comme la plupart des gens je suppose. La musique, la réalisation, le speech de Billy Nighty et le jeu d'acteur de Tony Curran ému aux larmes est excellent.

Plus globalement dans cet épisode très simple en apparence, le cast est très en forme avec toujours un duo Eleven/Amy dont l'alchimie est géniale. Le fait de rapprocher Vincent avec Amy et de créer un décalage avec le Docteur renforce l'aspect comique de certaines scènes (lorsqu'il s'ennuie tandis que Vincent peint) et les trois sont vraiment touchants ensemble. Enfin, comme tout le temps cette saison, cet épisode est joliment intégré à l'intrigue globale avec la mention subtile de la perte de Rory qu'Amy a oubliée, ce qui rapproche Amy de Vincent puisque les deux semblent avoir un trauma inexpliqué.

DOCTOR: The way I see it, every life is a pile of good things and bad things. Hey. The good things don't always soften the bad things, but vice versa, the bad things don't necessarily spoil the good things or make them unimportant. And we definitely added to his pile of good things.

Toute la morale de l'histoire sur les bons et les mauvais moments de la vie est parfaite et raconte à nouveau des choses simples, mais essentielles, mises en lumière par l'histoire qui nous invite à profiter de chaque bon moment que la vie nous apporte. L'épisode a le très bon goût de s'achever sur une note positive, taisant justement les parties les plus dramatiques de la vie de Vincent (son présumé suicide, l'oreille, etc.). Une brillante idée donc de ne pas tenter un biopic fidèle, mais un message positif dans un aperçu glorieux de la vie fascinante de Van Gogh, aussi petite cette section de vie fut-elle. 

Un épisode extrêmement émouvant, riche et qui tire une morale générale à partir d'un sort tragique. Un exemple d'épisode historique et de toute la beauté et la singularité du show.

Comparé à l'épisode précédent où j'ai mis 13 je ne peux que mettre plus.

Le scénario Vincent Van Gogh est intéressant même si j'ai du mal avec sa "personnalité".

Dommage que l'histoire avec le monstre soit juste survolé, cela aurait pu être un plus à l'épisode.

Enfin, j'ai mon petit chef d'oeuvre de la saison ! L'épisode est sans conteste le meilleur de cette dernière jusqu'à maintenant, et c'est d'autant plus surprenant que les épisodes "historiques", s'ils n'avait jusqu'içi pas été mauvais, étaient loin d'être exceptionnels (sauf celui avec Mme de Pompadour)

L'ultime scène dans le musée était magnifique, et l'épisode lui doit beaucoup. Içi, Moffat arrive à conjuger, comme il l'avait fait avec "The Girl in the Fireplace", la froideur de la nouvelle saison et l'émotionnel des anciennes aux bons moments pour donner un résultat génial.

L'écart de qualité avec l'épisode précédent est d'ailleurs juste hallucinant ...

Premier épisode vraiment exceptionnel dans cette saison. On a l'impression d'être dans un tableau de Van Gogh pendant 40 minutes, et c'est beau.

L'hommage au peintre est franchement réussi et je crois que la scène dans le musée est vraiment l'une des plus belle de la série.

Le seul bémol c'est la créature. Sinon le reste est vraiment de très haut niveau. Je crois même que j'ai commencé à apprécier le docteur à partir de cet épisode.

Le meilleur épisode de cette saison. Très bien réalisé, des plans très émouvants, une intrigue bien menée. La fin est parfaite.

Comme déja dit avant moi, l'Alien est clairement un prétexte a cette épisode historique (un peu comme tout ceux de ce type en faite). Mais cette fois si c'est beaucoup mieux amener, et les relation entre les différents personnage sont juste géniale.

Et la tirade du dr Black est très émouvante