Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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5.05 - Le Labyrinthe des anges (2/2)
Flesh and Stone (2)
Le Docteur, Amy et River Song sont toujours à la poursuite des anges pleureurs. Rapidement, ils réalisent qu'ils sont sérieusement menacés par un danger beaucoup plus grand...
Diffusion originale : 01 mai 2010
Diffusion française :
01 mai 2010
Réalisat.eur.rice.s :
Adam Smith
Scénariste.s :
Steven Moffatt
,
Steven Moffat
Guest.s :
Alex Kingston
,
Iain Glen
,
David Atkins
,
Mark Monero
,
Darren Morfitt
,
George Russo
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 26 mai 2015 à 18:31 |
Réserve sur le mode d'attaque des Anges qui varie en fonction du scénario (on peut parfois se balader parmi eux, tranquillement, d'autre fois, il ne faut surtout pas les quitter des yeux). Sinon deuxième partie plus réussie grâce à l'idée de faire intervenir ces histoires de fissures et quelques scènes flippante (le compte à rebours d'Amy) |
Avis favorable | Déposé le 13 avril 2015 à 00:34 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis favorable | Déposé le 09 novembre 2014 à 23:08 |
Superbe épisode qui rattrape une partie 1 dans laquelle il ne se passait pas grand chose. Les anges sont encore plus terrifiants quand ils parlent ! |
Avis favorable | Déposé le 28 avril 2014 à 13:14 |
Cet épisode semble être caractéristique du gros défaut que développera Moffat pour ses arcs saisonniers dans les 2 saisons suivantes. A peine les Anges ont-ils été instaurés comme une menace qu'on les remplace déjà par une autre, bigger and louder. Est-ce nécessairement un défaut ? Non, ça le deviendra quand, par la suite, Moffat refusera de s'arrêter sur une idée pour la zapper immédiatement et passer à une autre encore plus folle. Dans le cas présent, tout s'agence plutôt bien, car la faille est vraiment un concept fascinant et diablement bien exploité. Ce n'est peut-être pas le script le plus efficace de Moffat, mais il est diablement entraînant, et contrairement à la première partie, on ne voit pas le temps passer ! |
Avis favorable | Déposé le 26 février 2014 à 20:08 |
De nouveau un très bon épisode avec des Anges toujours aussi flippants ! La scène où Amy doit fermer les yeux était déjà intense mais en plus, on rajoute la faille qui fait oublier les souvenirs des soldats ! Avant d'en avoir l'explication, ça aussi ça mettait les miquettes ! Bon, après, il reste l'incohérence du fait que les Anges puissent bouger malgré qu'ils se voient entre eux mais c'est peut-être parce que ce n'est pas la même sorte d'Anges que dans Blink... Autre événement bizarre: le Dr qui laisse Amy les yeux fermés mais qui revient 10 secondes après. Vraiment étrange... Le teaser de River Song qui tuerait le Dr, c'était excellent aussi, tiens ! Ah, et puis, au final, le Dr s'est-il laissé emporté par Amy (au moins, elle, elle prend les choses en main, pas comme Martha Jones...) quand ceux-ci rentrent dans le TARDIS ? J'espère pas... Personnellement, je trouve que ça ferait bizarre... Bref, excellent, limite meilleur que le précédent ! Dommage pour les incohérences que certains de vos commentaires ont tenté d'expliquer (plutôt bien) mais tout de même... |
Avis favorable | Déposé le 24 février 2014 à 01:19 |
Une seconde partie d'épisode aussi bonne que la première, on a peur pour Amy, le coup des yeux fermés, j'aurais pété un cable à sa place! Sa se termine bien, j'adore les "spoilers" de River, ce personnage est juste TOP. Puis la scène d'amour est très fun, j'ai beaucoup aimé. Donc un très bon double épisode avec des personnages plus que géniaux. |
Avis favorable | Déposé le 24 janvier 2014 à 23:06 |
Excellent épisode, vraiment. Légèrement moins bon que le deuxième car l'apparition de la faille crée une retombée brutale de la tension, c'est légèrement dommage, même si l'idée de la faille est excellente ici. Mais sinon, ouah, j'ai flippé pour les anges. Si ils se donnaient pas trop dans la première partie, ici, on stresse beaucoup, avec comme apogée la traversée d'Amy dans la forêt. On voit que Moffat a de très très grosses burnes. Après, le problème cité plus bas des Anges qui tuent en brisant le coup alors qu'ils sont censé faire remonter le temps, et bien pour moi, l'explication est simple. Il me semble que les Anges dans Blink sont de simples charognards à moitié morts, qui cherchent uniquement de l'énergie temporelle pour se nourrir. Sauf qu'ici, l'Ange Bob est de base déjà bien puissant, et il part aider ses potes à se nourrir de l'énergie du vaisseau, ou plus exactement de la faille. Etant donné que c'est de l'énergie infinie, ils n'ont plus besoin de vouloir manger l'énergie des humains. Quand tu a en face de toi un burger géant ultracalorique et un paquet de 5 chips ultra-allégées sans sel et que tu as hyper faim, tu choisis d'office le burger en jetant les chips. |
Avis neutre | Déposé le 16 novembre 2013 à 01:21 |
Soyons clairs. Steven Moffat, je t'aime ! J'ai eu le coup de foudre sur Coupling, tu m'as totalement conquise avec Jekyll et subjuguée grâce à Sherlock. Chaque épisode de Dr. Who que tu as réalisé précédemment était comme un threesome qui serait venu pimenter notre relation : tu n'étais pas le showrunner, nous n'étions pas tout seuls, toi et moi et ta série, et tu devais donc faire pétiller ton intelligence et ta sensibilité pour te démarquer de tes camarades. Je sais bien que tout le monde a Blink en tête, mais The empty child t'avait attaché à mon coeur (et à mon côté obscur) à jamais. Mais le temps a passé. Je t'aime toujours, là n'est pas la question. Et je ne t'abandonnerai pas, non non non. Mais c'est comme si, pour éviter les redites, tu partais dans des choses trop compliquées : ils étaient bien, tes anges, à se mouvoir dans l'invisible, ils m'effrayaient, je n'en demandais pas plus. Mais voilà que tu les affadis en les chargeant de pouvoir. Que tu les colles dans la lumière, que tu les multiplies. Steven, tu es sur une mauvaise pente... Reprends-toi ! |
Avis favorable | Déposé le 27 août 2013 à 01:00 |
Un épisode qui promettait énormément et qui pousse le huis-clos engagé dans la seconde moitié de sa première partie à son paroxysme. River nous charme à nouveau dès les premières secondes, l'occasion de perpétuer/relancer le mystère autour de son personnage. En y repensant, il y avait risque d'une overdose ou bien d'un manque avec ce personnage, mais il a été parfaitement dilué au cours de l'ère Eleven à mon humble avis. Alex Kingston est phénoménale et semble toujours délivrer chacune de ses répliques en ayant en tête toute la complexité du personnage. Revoir ses épisodes en connaissant toute l'histoire de River est une sensation inégalée dans une série télé à mes yeux. L'épisode est dans un premier temps un pur "run the corridor" classique où la résolution (ingénieuse) du cliffhanger appelle à la fuite d'urgence. Mais, l'épisode va parvenir à dépasser ce postulat, par deux coups très ingénieux, ce qui lui vaut son 17/20 amplement mérité. 1) Tout d'abord, lorsque l'on apprend qu’un ange est dans la tête d'Amy. C'est là que l’intrigue décolle. Avec cet aspect, Moffat transforme complètement le "Don't Blink" en nous sortant un "Don't Open Your Eyes", l'extrême opposé. C'est comme si on plaçait quelqu'un au bord d'un précipice en l'obligeant à sauter pour survivre. La situation semble inespérée. L'épisode est loin de se reposer uniquement sur la ficelle "multiplions la menace" - en effet, s'il n'y avait eu qu'un ou deux anges dans cet épisode, l'effet aurait été probablement moindre mais fondamentalement pas différent. Contrairement à l'épisode précédent où cela été principalement dû au twist des statues du labyrinthe et à la raison du crash, cette deuxième partie va au contraire privilégier la menace à petite échelle, dans des scènes étouffantes... et ainsi parvient tout de même à nous faire frissonner pour Amy, avec des séquences d'une tension rare. Steven Moffat nous rappelle encore une fois à tous son génie, puisqu'il jongle entre les idées (ici, les dangers principaux de l'épisode) avec une vitesse affolante sans jamais nous perdre, et sans jamais négliger l'art de plaire. Le concept de la forêt "usine à oxygène" pour marquer un contraste net en termes d'ambiance par rapport à la première partie, et créer un suspens supplémentaire avec les Anges et la faille, est une qualité trop peu souvent soulignée chez le scénariste, qui a un sens de l'ingénierie et de l'imagerie SF hors du commun et qui semble toujours comprendre à l'avance que certains détails visuels font toute la différence, et permettront aux réalisateurs de s'éclater. 2) Autre élément sortant cet épisode de l'ordinaire, lorsque la faille s’ajoute à la partie et que l’on apprend ce qu’elle fait. On en vient à complètement oublier les Anges, ce qui est complètement inattendu pour le retour tant attendu de ces ennemis. Un pari risqué extrêmement malin, qui n'enlève rien à l'ampleur de leur menace. C'est la première fois qu'un fil rouge (la faille), si discret d'habitude dans toute la série, vient bousculer complètement le milieu d'une saison au moment le moins attendu. Un pari extrêmement audacieux de Moffat qui restera une grosse nouveauté dans la manière de showrunner et de concevoir une saison de Doctor Who. Et cela donne tout son sens à la scène si controversée où l'on voit un Ange bouger et s’approcher d’Amy. Par ce geste, et en total opposition avec Blink encore une fois, Moffat détruit le mythe... pour mieux le reconstruire. Auparavant, un Ange Pleureur n'avait jamais bougé sur nos écrans, le spectateur était toujours inclus dans la scène lui aussi, puisque notre regard figeait les anges de l'arrière-plan. La réalisation ici rompt littéralement le lien entre la scène et nos propres yeux, afin de nous faire prendre un regard extérieur sur la situation. Le spectateur devient alors omniscient. Un changement de perspective déroutant, comparable à celui d'un changement de narrateur dans un roman. Un seul objectif en tête : nous faire craindre le pire pour Amy, puisque tout est alors permis. Effet complètement réussi. Bravo, ça n'a l’air de rien, c’était une prise de risque complètement folle mais utilisée à l’exact bon moment, là où Amy est à son plus vulnérable, et là où les Anges sont en train de perdre face à l'ampleur que représente la faille. Plus aucune règle n'existe ni pour les Anges, ni pour leur image. Indispensable dans la saison, que ce soit au niveau des intrigues ou des personnages, présentant un huis-clos classique pour subvertir constamment toute la menace en utilisant des ingrédients excellents par nature (River, la faille, les Anges), ce premier double-épisode sous l’ère Moffat est une réponse au séquel de deux chefs d'oeuvre (Blink et la bibliothèque), et est une franche réussite. Je me dois de mentionner la scène finale qui est de loin la pire partie de l'épisode, mais ce dernier prend beaucoup de risques et lance la saison 5 sur une excellente voie bourrée d'inventivité. |
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Il y a des Anges par centaines, mais même là, (et avec la super performance de Gillan), c’est surtout Amy qui affronte ses traumatismes et sa solitude.