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Cette semaine dans The Walking Dead : une ville paisible, un gouverneur dérangé et une Michonne torturée...

Après deux épisodes très réussis aussi bien au niveau du scénario que des émotions, la série marque un peu le pas avec une histoire qui ressemble beaucoup à un loner. Rien d’inquiétant car c’est toujours aussi plaisant à suivre !

Ça aurait pu être un épisode magistral. Il ne sera que très bon. Pourquoi ? Parce qu'au lieu de se concentrer sur le huis-clos, les scénaristes ont choisi de lancer d'autres pistes pour préparer la fin de saison. Une erreur.

Des nouveaux personnages, des zombies, des morts et des blessés... Décidément, The Walking Dead poursuit son opération rédemption.

On se recentre, on soigne un peu plus les backgrounds et les conflits. Et ça paye !

La violence. Contenue, destructrice ou banale, elle est au coeur de cet épisode. Un thème riche. Plus riche que l'intrigue sur les mafieux, qui fait du surplace.

Après un épisode qui pouvait laisser sceptique la semaine dernière, les scénaristes d'Homeland ont décidé d'accélérer encore les événements. Et bon dieu que c'est bon !

Après deux premiers épisodes convaincants, Person of Interest revient à sa formule habituelle : un stand-alone efficace avec une petite avancée du fil rouge de la saison.

Avec ce second épisode, Big Bang aurait mieux fait d'envoyer tout ses personnages dans l'espace, ça aurait fait du changement !

Pour le second épisode de la saison, How I Met nous propose une petite guerre des sexes histoire de continuer sur une bonne dynamique.