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Suite du premier article reprenant les séries de la rentrée 2010 à ne pas rater. Mini-séries, animes, comédies aux rendez-vous.
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Suite du premier article reprenant les séries de la rentrée 2010 à ne pas rater. Mini-séries, animes, comédies aux rendez-vous.
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2009 fut une année mitigée pour le sériephile moyen. Des déceptions, des surprises, des nouvelles séries qui peinent à s'imposer. 2010 inversera t-il cette tendance ?
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Il y a encore des gens qui pensent que la série Française peut se renouveler et ça fait plaisir. Reset en est encore au stade de projet, mais pour une fois qu'une production de chez nous se permet le risque de verser dans l'anticipation, voir la science-fiction, on espère vraiment que cela va aboutir. En attendant, un petit dossier et quelque vidéos pour vous permettre de découvrir ce projet.
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Vous avez vu le tas d'inepties que Flo 2001 a balancé, oubliez tout il n'en est rien, plaignez plutôt cette personne d'être passé à côté de LA série, plaignez cette personne de ne pas avoir su s'ouvrir à la série, plaignez cette personne d'être un artiste, plaignez-le je vous dis.
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On en a parlé tout l'été, Melrose place est de retour à la télé américaine. Avant d'accueillir cette version 2.0, jetons un coup d'oeil en arrière pour se rapeller les meilleurs moments de la série originale.
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Comment le monteur de 24 intègre-t-il les split-screen ? Pourquoi ? Comment ? Le split-screen nous paraît aujourd’hui logique tant le procédé est récurrent, il est totalement intégré dans l’inconscient du spectateur. Il permet à la fois de faire des ellipses, de suivre des conversations à distance etc … Le split-screen est devenu une norme, un B-A BA qu’on ne doit pas imputer à 24, c’est un procédé très ancien mais nous nous servirons de 24 comme cas d’école. Cette série nous permettra de répondre à toutes ces questions que nous ne nous posons plus dans le procédé est tellement limpides qu’on en viendrait à se demander pourquoi nous avons pu vivre sans !?
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Dans nombre de séries humoristiques, le cadrage est souvent dépersonnalisé, distant et ne met pas les personnages en valeur. La primeur va à la richesse des dialogues, à la mise en place de l’humour. Celui-ci est généré les ¾ par des mimiques et des faciès disgracieux ce qui explique en partie que l’aspect technique ne soit pas davantage mis en valeur.
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L’analyse de séquences que nous proposons aujourd’hui concerne les génériques. Il va de soi que parallèlement à l’évolution des séries dans une perspective globale (technique, budget, …), le générique a lui aussi bénéficié d’une hausse de qualité par rapport à ses paires des années 80-90. Si lorsque vous regardiez MacGyver, vous pouviez vous contenter de regarder le générique qui proposait ni plus ni moins les meilleurs moments de la saga (Il en va de même pour Magnum, l’homme qui tombe à pic et consorts, …), il ne fallait pas en faire une généralité (Il n’y avait pas de générique dans Columbo). En fait, je crois que je dois préciser cette notion galvaudée de générique. Si l’on en suit wikipédia, voici la définition : « Le générique (ou credits en anglais) recense l'ensemble des personnes physiques ou morales qui ont participé à la création d'une œuvre cinématographique et présente leurs noms au début ou à la fin du film. ». Je vais donc qualifier l’objet de notre analyse d’opening qui se limite donc au cas particuliers de l’introduction de la série et non la fin, le terme « générique » pouvant créer un quiproquo. Sans plus attendre, étudions un premier cas (la liste des séries sélectionnées ne prétend pas établir des distinctions en termes de qualités pouvant les opposer aux séries non représentées, il s’agit tout simplement de cas pertinents qui ont été sélectionné en fonction de leur facilité d’accès).
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Un an s’est écoulé depuis que l’on m’a parlé de la série six feet under, la qualifiant de série absolument formidable, magnifique, touchante, drôle, avec la meilleure fin de tous les temps, et je préfère passer rapidement sur toutes ces citations dithyrambiques, car pour moi, tout simplement, elle ne les mérite pas.
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Qu'est-ce qui se cache derrière ce nom barbare d'ARG? c'est ce que nous allons tenter de comprendre au travers d'un dossier qui vous fera découvrir cet univers encore peu connu mais qui constitue un formidable outil de marketing que le monde des séries utilise de plus en plus, avec Lost comme chef de file et précurseur.