BoJack Horseman
Vingt ans après avoir crevé le petit écran dans la sitcom culte Horsin’ Around, l’étalon le plus célèbre des années 1990 a perdu de sa superbe. Alcoolique et déprimé, BoJack vit dans une garçonnière à Hollywood et traîne son amertume dans des pulls bigarrés. Heureusement (ou malheureusement ?), le ...
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| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Animation, Comedy, Drama | Netflix | 2014 |
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Avis sur l'épisode 5.04
Galax
Youkoulayley| Avis favorable | Déposé le 24 février 2019 à 01:34 |
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Difficile d'écrire un avis après celui de Ras. L'épisode est brillant, un peu moins sur la partie PeanutButter, mais on a l'habitude. |
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Jo_| Avis favorable | Déposé le 17 décembre 2018 à 08:46 |
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Comme mes autres petits camarades, je vous invite à lire les avis de Koss et de Ras qui mettent en évidence des points pertinents bien mieux que moi. A noter tout de même que cet épisode a eu un double effet Kiss Cool chez moi : comme tout le monde, j'ai détesté le personnage de Vince (Vaugh ? Je ne sais plus son nom). Et à la fin de l'épisode, je n'ai pas compris le but de l'enregistrement écouté par Diane. C'est lors du générique de fin que le puzzle s'est emboîté dans ma petite tête. Difficile de se dire qu'on a appris à apprécier un connard. |
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nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 07 octobre 2018 à 10:47 |
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Dommage que l'intrigue "Peanutbutter veut être un bad guy" casse le rythme de l'épisode, car sinon il aurait été quasi parfait. Je n'en rajouterai pas plus sur la brillance de l'épisode, Ras a tout mieux résumé. |
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Manew| Avis favorable | Déposé le 26 septembre 2018 à 20:44 |
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Tout est faux, tout n'est que communication et manipulation ! Une critique vraiment précise et brute du monde de strass et de paillettes. Lisez les avis de Koss et Ras, ils sont parfaits ! |
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Koss| Avis favorable | Déposé le 18 septembre 2018 à 00:17 |
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Le monde d'Holywood est toujours en fond de la série, mais jamais traité frontalement, sauf à de très rares exceptions. Là, c'est direct. Et non seulement, ça dénonce l'hypocrisie du système dans une géniale séquence pré-générique, mais ça continue bien plus loin en critiquant l'hypocrisie même du traitement du sujet dans un monde où finalement tout n'est qu'un show et prétexte e à spectacle. Et où, au final, même le show que tu regardes et dont tu es attaché au personnage principal ("Au fond, c'est pas un mauvais gars") est parvenu à te faire oublier que Bojack a failli commettre l'irréparable. "It could also normalyse things for bad". Quelle saison... |
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RasAlGhul| Avis favorable | Déposé le 16 septembre 2018 à 01:35 |
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Spoiler
La brillance de la conclusion... Exceptionnel. Mais avant de revenir là-dessus, commençons par le commencement. Je ne parlerai pas de la partie Todd/Mr. Peantbutter : elle est drôle dans son comique de répétition, mais elle n'est pas très intéressante. Maintenant que cela est dit, passons aux choses sérieuses. BoJack the Feminist : rien que le titre me mettait l'eau à la bouche. Après un Thoughts and Prayers réussi pour ma part, et ce même si je n'avais pas trop aimé l'épisode sur l'avortement. Pour le coup, je n'ai pas été déçu. BoJack ne parle pas de féminisme dans cet épisode, mais bel et bien de plusieurs facettes e l'hypocrisie du monde artistique de LA, dans ces périodes de #metoo. Combien il est facile de perdre la tête quand les gens vous applaudissent pour ce que vous dites ; comment les hommes (parce que dans cet épisode, le bad guy est un homme, pas un animal) se font vite pardonner des choses qui ne devraient pas l'être ; l’hypocrisie des médias (cette pique sur Vice mon dieu, j’étais tellement refait) qui changent constamment de bord et suit le cours fluctuant de l’opinion publique, ne conservant ni morale ni éthique ; comment une femme qui s'élève contre le sexisme peut être traitée de folle, de pas drôle, de coincée... mais que le même discours chez un homme provoque attention et écoute. Le discours de Flip à la fin était méga cynique, tout comme PC et Diane. Et nous devant notre écran on se dit "on est woke, on s'élève contre les violences faites aux femmes, aux actes répressibles commis sur des mineurs, jamais nous on aimerait un personnage comme ça. Kevin Spacey, Harvey Weinstein, Johnny Depp, Polanski, Allen... salauds salauds !" Et là, cette conclusion. Le retour de l'épisode 11 de la saison 2. Des actes de BoJack. Qu'on aime bien. Qu'on a envie de voir réussir. De vaincre ses démons. Malgré tous ses défauts. Malgré ses actes (ou sa tentative d'acte) envers la fille d'une connaissance. On l'a intégré, on s'est dit "c'est de la télé, ce n'est pas réel". En d'autres mots : on l'a normalisé. On vient tout juste d'être les gens qu'on critique. Franchement, c'est brillant. Noir, puissant et diablement brillant. |
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La fin d'épisode est en effet brillante et nous retourne bien le cerveau. Dès la réapparition d'Angela Bassett, j'ai senti que quelque chose n'allait pas, mais j'étais loin de me douter qu'on reviendrait enfin sur cet enregistrement du 3.01 et sur l'acte le plus choquant de la série jusque là (le 2.11). Sublime fin d'épisode, vraiment. Et tout le reste n'était pas non plus à jeter, Peanut est trop mignon et Todd a de très bonnes lignes (son coup de téléphone à une meuf inconnue, "tu n'as pas à connaître tout le monde", très méta également). Même Diane avait de superbes passages, notamment son petit échange avec Bojack : "tu m'as changé". <3 On retrouve leur dynamique saison 1.
Mon (deuxième) épisode préféré de la série, c'est décidé.