Incroyable avis extrêmement bichonné. Qu'husky'il était drôle ! L'attente valait grave le coup. Impatte-tient de voir ton prochain !!!
Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 13.01
Avis favorable | Déposé le 05 novembre 2021 à 12:50 |
Nom d'un chien, quelle reprise ! |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2021 à 13:32 |
C’est un Chibnall fou-furieux qui tente son histoire la plus épique et la plus chaotique, mais même si on saura jamais où ça va, il y a un guerrier chien, donc je suis déjà conquis. |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2021 à 10:09 |
Doctor Who tente quelque chose de nouveau grâce à Chibnall qui fait des limitations de la série une force : pas possible de tourner à l'international sur des mois pour une dizaine d'épisodes comme il avait adoré le faire en saisons 11 et 12 ? Pas de soucis : on fait max de fonds verts, avec un budget sans doute sans précédent, et on crée une seule énorme histoire ! Ce premier épisode n'a presque aucune identité propre, à part éventuellement quelques éléments sur Karvanista qui ont déjà été résolus - avec cette super idée si Doctor Whoesque d'une race de chiens anges gardiens des humains. Je ne pensais pas qu'ils iraient aussi loin dans le teasing et l'interconnexion de chaque épisode. Et ça n'a pour le moment jamais été fait en 58 ans. En faisant le choix de transformer la série, Chibnall fait techniquement une ouverture de saison... mais aussi une première partie du final de saison. La menace est sacrément efficace et, à nouveau, multiforme. Le teasing sur les anges et les sontariens est très convaincant, et les nouveaux Ravagers sont très réussis. Et l'idée de détruire l'univers immédiatement pour établir des ruines - format que Chib adore - et concorder au tournage en pleine pandémie, c'est encore une fois super bien vu comme façon de contourner une contrainte réelle pour en faire quelque chose de créativement riche. Au milieu de tout ce chaos, quelques blagues font mouche, Dan est cool, et Yaz a déjà plus de caractère et de présence en un épisode que dans les deux précédentes saisons réunies, la Doc traque activement des réponses sur son passé et promet ainsi un dénouement imminent des révélations tant attendues, et une bonne dizaine de nouveaux personnages mystérieux font leur apparition, avec plus ou moins de succès. Je suis sûr que quelque chose se trame avec la moitié d'entre eux, mais Chibnall semble également délibérément laisser des fausses pistes pour jouer avec nos attentes, notamment autour de Ruth (Dan qui veut faire le guide, le couple planqué en Arctique...). Chibnall s'auto-cite et s'inspire de ce qu'il a fait le mieux pour séduire et nous rediriger sur de fausses pistes. Je trouve notamment que tout cet effet "plein de personnages avec leurs histoires déconnectés qui ne rencontrent même pas nos héros de l'épisode" fait beaucoup penser à ce qu'il avait fait avec Ascension of the Cybermen et l'Irlande. En dépit de quelques passages et dialogues un peu lourdauds comme d'hab, tout est tellement intriguant et le rythme si bien géré dans sa montée crescendo, que tout défaut se retrouve noyé sous la hype. Quand on compare les trois openers qu'aura eu Jodie Whitaker, on realise qu'on est passé de Tim Shaw et du kebab man à la destruction de l'univers. Le jour et la nuit ! Hyper excitant pour la suite ! |
Avis favorable | Déposé le 01 novembre 2021 à 16:35 |
Je sais pas trop ce qu'il s'est passé dans la tronche à Chibnall, mais c'est sûr, il s'est passé quelque chose, et c'est incroyable. Il y a du nouveau dans Doctor Who, des nouvelles idées, du grandiose, des évènements à (très) grande échelle. Doctor Who maintenant caractérise directement ses nouveaux personnages (incroyable, du jamais vu depuis 2017), ne perd pas de temps à mettre en place de vrais échanges entre ses protagonistes (qui se confrontent, s'engueule, ce qui donne l'impression de l'existence d'un vrai lien, on commence enfin à y croire (au bout de trois saisons, il était temps), même si la caractérisation de Yaz est toujours complètement hasardeuse, ça n'a rien à voir avec ce que nous disait Revolution of the Daleks) Chibnall donne enfin l'impression de savoir quoi faire de ses protagonistes, donne enfin l'impression de maitriser son script, et donne enfin l'impression de maitriser sa propre série. Alors certes, ça peut toujours très rapidement se diriger droit dans le mur, mais l'épisode vieillira très bien avec le temps, et pour le moment, l'enthousiasme est là, il est ravivé, il est revenu. Et c'est peut-être ça la plus grande force de cet épisode, me redonner un véritable intérêt envers la série,. |
Avis favorable | Déposé le 01 novembre 2021 à 14:40 |
Moqué, pris pour un idiot, qui a connu son heure de gloire par le passé, agé d'une cinquantaine d'année et bientôt remplacé, Dan.... Heu... Chris Chibnall nous apparait dans sa forme finale, dans une espèce d'ultime acte rédempteur. Alors oui, les Chibnalleries sont toujours là : les noms improbables, les méchants un peu carton-pâte, les personnages qui expliquent à l'écran comment ils en sont arrivés là (la scène d'intro honnêtement, c'est une masterclass d'écriture) et les incohérences (le Karvinista qui veut tuer Yaz dans la scène d'intro alors qu'il explique plus tard que le but de son espèce est de protéger... les humains). Mais, Chiboss se donne à fond. Il ouvre pas moins de cinq arcs scénaristiques (soit l'équivalent de faire une syncope pour lui), créé une menace à une échelle jamais établie jusqu'à là (avec cette espèce de Galactus qu'on croirait sortie du film de Tim Story) et parvient même à donner de l'épaisseur aux deux compagnons. Les deux emprunts clairs à Steven Moffat, les Anges et surtout cette impression générale de saison finale dans un oppening, dynamise vraiment l'ensemble et fait de ce premier épisode une espèce de course en avant effrénée. Le problème est que j'ai bien peur que cette prise de vitesse finisse un peu dans le mur, quand Chiboss aura joué toutes ces cartes. En attendant comme on dit, i'm here for the show... And for Dan (qui est ultra bg). |
dit, d'entrée, la Docteur, juste avant que le générique de début ne tombe. Clairement, c’est Chibnall qui parle, surement vexé comme un pou de voir que la saison 14 fait beaucoup plus le buzz que son ultime tour de piste. Et on sent que Chibchib n'a aucune envie de n'être qu'une parenthèse dans l'histoire whoiène, une simple passade vite oubliée entre Moffat et le retour de Davies. Et pour cela, il prend la décision de mettre les effets double.
En effet, pour sa dernière saison, plutôt que de faire 6 épisodes pas terribles, le showrunner a pris la décision de mixer les différents scénarios en une seule intrigue qui va encourir sur toute la saison. On verra si au final cela va être terrible (seule la femme qui a connu La Docteur et Yaz du futur semble sortir des sujets battus, le reste étant du déjà-vu), mais au moins, et c'est ce que semble promettre ce premiere, le résultat promet d'être fun et emballé, ce qui est déjà pas mal.
Pour finir, un peu déçu du traitement de Yaz. Je pensais que la série s'étant débarrassée de son Ryan de boulet, elle allait permettre d'offrir un vrai compagnon au Docteur. Perdu, j'ai trouvé Yaz en souffrance, jouant les utilités face à face à une Docteur souvent odieuse, en tout cas qui donne l’impression d’être faussement attachée à elle et vivant son aventure en solo.
"seule la femme qui a connu La Docteur et Yaz du futur semble sortir des sujets battus"
Ca fait quand même vachement Sally Sparow.
Je ne connais pas cette personne. Une cousine de Jack ?
Nick....