Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 4.10
Avis favorable | Déposé le 24 novembre 2013 à 00:33 |
bon épisode dans un enclos qui rend cet épisode plus éffrayant et plus excitant. J'ai aussi bien aimé que l'acteur de merlin y soit présent. |
Avis favorable | Déposé le 14 novembre 2013 à 21:53 |
Pour moi, cet épisode est assez banal, les 20 premières minutes sont assez ennuyante et le reste ne m'a ni impressioner, ni attrister. Le fait d'avoir vu l'acteur de Merlin me donne envie de suivre la sériecar j'ai bien aimé son perso dans l'épisode. Bonne fin et épisode bon, mais pas si mémorable que ça pour moi... |
Avis favorable | Déposé le 04 novembre 2013 à 02:24 |
Un très bon huis clos en temps réel. Avec des sentiments forts. Quand on pense qu'il aurait jeté la chose des le départ, l'hotesse ne serait pas morte. |
Avis favorable | Déposé le 04 octobre 2013 à 20:45 |
Petit budget grand effet! J'avais bien flippé lors du 1er visionnage... moins pr la redif mais tjs aussi prennant. Les yeux de David Tennant sont si expressifs qd il se retrouve piégé par "la voix", faible, impuissant... Mais par sa volonté de ne pas jeter dehors "la chose" il en coûte la vie de l'héroïque hotesse. Et nous ne saurons même pas ce que c'était... grrr |
Avis favorable | Déposé le 30 septembre 2013 à 01:08 |
On se croirait dans un épisode de The Twilight Zone, et c'est un vrai compliment. Flippant, bien mené de bout en bout. Parfait. |
Avis favorable | Déposé le 10 juillet 2013 à 19:58 |
Midnight, le huis-clos par excellence, qui brise les codes traditionnels de l'histoire du NuWho - et on a déjà vu les chefs d'oeuvre que ça donne (Blink !)... J'adore les huis-clos, dès lors l'épisode ne pouvait que me faire adhérer. Celui-ci est particulièrement impressionnant de tension. Celle-ci monte tout du long à partir du passage où l'entité de la planète arrive à la navette, et plusieurs points de bascule dans le scénario surgissent ensuite : quand Sky répète au même moment, quand le Docteur se dit plus intelligent, et finalement quand le Docteur se fait dépasser par le glacial "Do we have a deal ?" et se fait voler sa voix. La voix du Docteur est en réalité sa meilleure arme : il trouve toujours les mots rassurants, le speech encourageant, l'argument de choc. Impuissant, l'épisode ne laisse alors qu'un groupe d'humains effrayés voulant le jeter par-dessus bord. C'est particulièrement agaçant et frustrant pour le spectateur, ce qui transforme le visionnage de Midnight en une vraie expérience... désagréable. C'est probablement le seul reproche que j'ai à faire à l'épisode. Ce simple fait m'empêche de l'élever au rang des chefs d'oeuvre absolus de la série, un peu comme les gens qui ne peuvent viscéralement pas aimer les films d'horreur, aussi bien réalisés soient-ils. Tout de même, l'épisode est trop excellent et fascinant pour ne pas mériter les honneurs. Tennant est magnifique, tous les acteurs sont bons, le développement des personnages est incroyable sur 45 minutes seulement. Russell T. Davies démontre tout son talent quand il s'agit de faire respirer un groupe de personnages ensemble, livrant au final une fable sur l'humanité en général absolument cynique et vicieuse. Un contrepoids (volontaire) aux aventures pleine de bons sentiments de l'humanité comme Voyage of the Damned, selon l'auteur. La façon dont le comportement des humains se développe par rapport au Docteur même avant que le Docteur ne perde la voix, le pousse à commettre des erreurs et fait rassortir l'égo du personnage en particulier de Ten. Tous les personnages, lui y compris, deviennent prétentieux voire carrément antipathiques. La fin est sans doute la partie la plus brillante de l'épisode, l'hôtesse étant le non-personnage, celui qui est anonyme, celui que le Docteur ne considérait même pas comme une personne, celui qui a été la première à s'affirmer pour jeter Sky et le Doc par-dessus bord... comprenant la vérité à la fin et agissant quand tous les autres ne faisaient que parler. La morale est ambigue, car c'est peut-être celle qui était la plus tranchée dans ses avis, mais qui n'intervenait qu'avec parcimonie et qui est la seule à avoir su changer d'avis. Même les personnages les plus sympathiques (comme l'assistante Dee Dee) énervent par leur inaction, au final. Enfin, la créature est flippante à souhait, RTD joue avec nous et avec ses personnages sur la peur de l'inconnu et cela marche extrêmement bien, peut-être même plus que les Vastha Nerada de l'épisode précédent. La non-explication finale volontaire était sans doute la meilleure chose à faire : nous avons quelques pistes de réponses, sur pourquoi elle a attaqué la navette, pourquoi elle a pris Sky spécifiquement, et cela suffit. Une ultime scène avec Donna fait peut-être prendre tout son sens à l'épisode : la vraie voix du Docteur est finalement... celle de son compagnon. En effet, la réunion finale avec Donna est la seule partie chaleureuse de l'épisode, et agit comme un retour à la bienveillance et à l'humanité après un voyage particulièrement tumultueux. En fait, l'absence de Donna est absolument nécessaire à créer un épisode de ce genre, et rappelle à l'audience pourquoi le Docteur a besoin d'un humain à ses côtés pour se mettre au niveau de ceux qu'ils rencontrent. Vrai tour de force que de proposer une idée aussi ingénieuse sur le rôle d'une compagne, en passant par... son absence. Midnight est une unique et sublime pièce de théâtre télévisée sur la paranoïa et l'exacerbation des défauts de l'humanité. L'un des meilleurs épisodes de l'ère en cours, car s'il est aussi dérangeant, c'est aussi qu'il nous renvoie les défauts en pleine face. Un épisode cru, glacial, brutal, qui subvertit complètement le genre et l'aventure dans Doctor Who, et utilise les limites du format de la série pour faire quelque chose de mémorable et inédit. Marquant ! |
Avis favorable | Déposé le 17 janvier 2013 à 21:32 |
Un stand-alone écrit par Russell T. Davies est annoncé pour la fin de la saison 4. Un huis-clos. Avec un budget limité. Sans Donna. Et surtout : écrit par Russell T. Davies, l'homme capable du meilleur comme du pire, mais pas toujours très fin dans son écriture. En plus, il faut suite à un double-épisode magnifique de Moffat. Cet épisode ne pouvait être que décevant, à coup sûr. Et c'est un chef-d'oeuvre. Une perle unique, un monument d'écriture et d'intelligence. Russell T. Davies approchant de la fin de son run sur la série, écrit ce qui reste pour moi le meilleur épisode de la nouvelle série, que je revois régulièrement. Une magnifique réflexion sur la condition humaine, sur le Docteur et sa part obscure, sur le pouvoir des mots, mais surtout un épisode humble, qui contrairement à Moffat (que j'apprécie beaucoup) ne fait pas dans la surenchère, mais se contente de raconter son histoire, sans complaisance, et en donnant une véritable dimension à chacun des protagonistes. Monsieur Russell T. Davies, Molto Bene ! |
Avis favorable | Déposé le 27 octobre 2012 à 20:13 |
J'ai mis 13 car je suis pas fan du délire d'être possédé et j'ai du mal avec les huit clos. Quelques idées m'ont bien plus comme le fait que le Docteur ne puisse plus parler ou que la chose ne cessa pas de répéter ce que les gens disaient. |
Avis favorable | Déposé le 01 février 2012 à 21:45 |
Un épisode qui casse pas mal avec la structure rythmique et narrative de la série, ainsi que certains codes habituels (l'épisode ne commence sur aucun mystère apparant, on nous montre tout de suite que Donna ne sera pas une seconde de la partie [d'ailleurs ce serait bien qu'ils la remettent sur le devant de la scène là, ça fait 3 épisode qu'elle est assez effacée], ainsi que la construction très particulière [et au final géniale] de l'épisode). Le pari était risqué, mais ça marche très bien. L'épisode est d'ailleurs d'autant plus surprenant qu'au lancement de l'épisode, on ne s'attend pas du tout à un truc comme ça. Je n'est pas vu le temps passer, et le fait qu'il ne se passe évènementiellement parlant pas grand chose par rapport à un habituel épisode de la série ne m'a pas gêné une seconde, tellement c'est maîtrisé au niveau de la tension qui ne cesse de monter progressivement. En fait pour tout dire, l'épisode m'a fait pas mal flipper (les histoires de possessions m'ont toujours fait froids dans le dos), peut être plus que les anges pleureurs. L'ennemi de cet épisode, pourtant le plus invisible de ceux qu'on ait vus jusqu'içi est probablement le plus puissant et le plus maléfique de la série, et une part de mystère suffisament grande est laissé à la fin de l'épisode pour continuer à se sentir mal à l'aise après sa diffusion. Et puis, les quelques secondes ou on voit Rose tenter d'avertir le Docteur de quelque chose via l'écran de TV, même si c'est clairement pour annoncer la fin de saison [d'ailleurs, elle sera dans le prochain épisode, je suis content !], ça colle superbement bien à l'atmosphère angoissante et ça en rajoute même une petite couche. Sans doute le meilleur huis clos de la série, et le meilleur de la saison pour le moment. |
Excellent huit-clos bien stressant, pour une fois le Docteur ne maitrise carrément plus la situation et ça apporte un certain vent de fraicheur (en contraste avec le ton très noir de l'épisode)