Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 7.13
Avis favorable | Déposé le 11 mai 2014 à 02:33 |
Excellent épisode qui introduit John Hurt et qui donne une explication sur le rôle de Clara et ses différentes apparitions. " Introducing John Hurt is the DOCTOR" |
Avis favorable | Déposé le 28 décembre 2013 à 15:19 |
Un bon épisode avec des petites lacunes. L'écho de River dont je ne suis pas fan où j'aurai préféré qu'elle soit vraiment morte pour le côté triste. |
Avis favorable | Déposé le 12 novembre 2013 à 09:38 |
Qu'elle était frustrante cette saison, avec tout ce potentiel inexploité. Au final, on dit que le Docteur n'aime pas les fins ? Quand on voit les fins de saison de Moffat, je crois qu'il parle de lui-même. C'est toujours le début d'autre chose, jamais un deuil propre d'une histoire (le terme anglais de closure est parfait) |
Avis favorable | Déposé le 22 août 2013 à 04:51 |
The Name of the Doctor est un excellent épisode qui passe tout prêt du chef d'œuvre. C'est l'épisode qui change absolument tout dans le lore de la série, et qui n'est pas qu'un final de saison : celle-ci ayant été plutôt légère en fil rouge, c'est avant tout un tremplin pour la future célébration des 50 ans de la série, ainsi que la préparation pour le futur de celle-ci, avec la fin du Onzième Docteur qui approche et le futur du show qui doit enterrer ses vieux démons et aller de l'avant. C'est vraiment la célébration des 50 ans avant l'heure. Revoir des images du passé est absolument jubilatoire, dès le premier plan sur une Gallifrey triomphale. Le concept d'avoir lié Clara à toute la vie du Docteur est absolument saisissant et explique tout sur le personnage, en plus de donner du sens à cette saison 7B constitué "d'épisodes anniversaires" avec un panorama ultra vaste d'intrigues.
La scène d'introduction est l'une des meilleures de toute la série, quelle claque purée ! Je crois avoir eu la mâchoire inférieure qui s'est décrochée au début du générique. Cet épisode est en quelque sorte un fantasme de fan qui se réalise, notamment avec la visualisation du départ du Docteur de Gallifrey. Les musiques étaient tout simplement parfaites, l'image était assez unique avec un tein tiré d'une ambiance de vieille photo sepia pour coller à la mélancolie de l'épisode, mais avec un certain vernis moderne. Le mystère de Clara se résout vraiment en beauté. Contrairement aux enchevêtrements d'intrigues complexes de la saison 6, qui trouvait une résolution très premier degré, le mystère de Clara en saison 7 n'a pas bougé d'un pouce depuis The Snowmen : elle est morte deux fois et n'est pourtant qu'une fille normale. La saison aura tâché de nous convaincre de la banalité de son personnage, et de la méfiance du Docteur auprès d'elle qui s'effrite petit à petit à mesure qu'on la découvre. Et finalement, la solution est en fait la réponse, et est bien plus compliquée, mais aussi bien plus incroyable et impressionnante que ce que l'on aurait pu imaginer. Les scènes dans Asylum, Snowmen ou Journey to the Centre of the TARDIS prennent une ampleur différente suite à ce final. De plus, je suis aussi assez fan de reprendre la métaphore du soufflé, l'emblème d'un écho de Clara, pour expliquer son mystère : pour comprendre qu'est-ce qui rend un soufflé spécial, il faut regarder sa recette, et pour comprendre pourquoi Clara était une énigme, il ne fallait donc pas regarder dans sa vie, qui n'a rien d'extraordinaire... mais bien de ses actions suite à ses aventures avec le Docteur. Et parce que ce dernier a su s'ouvrir et cesser de ne penser qu'à se méfier, il s'est ouvert et lui a montré l'univers, ce qui a poussé Clara Oswald à le sauver, et à créer sa propre existence au passage.
Mise à part cette introduction époustouflante, l'écriture de l'épisode est assez linéaire finalement, mais bourrée d'idées. Un début très rythmé mélangeant les époques, avec un concept brillant - la conférence par rêve permettant de voyager dans le temps. Les retrouvailles avec River Song post-bibliothèque sont géniales, et le trio Paternoster toujours très attachant et apportant une touche amicale à l'épisode plus que bienvenue.
Les Whispermen sont un ennemi introduit en trois secondes chrono qui sont finalement très efficaces, puisqu'ils sont révélés n'être qu'une incarnation de l'Intelligence des deux premiers épisodes de Clara. Une belle façon de bouclée la boucle en reprenant une dernière fois un ennemi classique dans cette plongée dans toute la mythologie de la série, de quoi re-canoniser plein d'éléments superbes au passage (comme le Valeyard). L'épisode a donc un PAQUET de choses à faire en 45 minutes et je suis juste bouche bée de voir qu'il arrive à tout faire parfaitement, à l'inverse de celui de la saison 6 qui justement, se perdait dans un world-building trop bruyant et un effort vain de rendre les péripéties rythmées. Ici, tout n'est globalement que discussions et échanges sous fond d'apocalypse pour le Docteur, ce qui est une variante du final excellent de la saison 5, à la sauce "saison 7", à savoir avec un Docteur plus discret dans l'univers, des enjeux plus personnels et plus méta, un ton plus mélancolique que conte de fée, mais permettant toujours autant d'émotions et de métaphores poétiques. Les adieux de River sont notamment déchirants et toute la séquence finale dans la timeline du Docteur est saisissante. Après une plongée téméraire et novatrice dans le passé du Docteur, des conclusions magnifiques (pour Clara et River) et l'établissement d'un lore assez nouveau qui enrichit la série (le futur de River, l'idée d'une tombe du Docteur sous la forme du TARDIS, le dernier champ de bataille Trenzalore, et bien sûr, le nom du Docteur comme verrou à débloquer), ce final ébouriffant nous assène le coup de grâce, à travers son ultime scène où une incarnation passée du Docteur se dévoile à nous... Une claque intemporelle qui remet tout en cause et ouvre le champ des possibles pour le spécial 50 ans de la série à suivre. Un final qui n'en est pas vraiment un, mais peu importe : il claque. |
Avis favorable | Déposé le 04 juin 2013 à 09:40 |
Très bon épisode de doctor who, un des meilleurs de moffat. les surprises et l'émotion sont centrales dans cet exceptionnelle épisode. |
Avis favorable | Déposé le 02 juin 2013 à 22:17 |
Il y a beaucoup de choses dans cet épisode: un peu de très bien, beaucoup de facilités, et quelques vrais ratés. On va commencer par le raté. - La réalisation est franchement dégueulasse. On voit que tout est tourné dans un studio un peu gris, et l'ensemble de la photographie est vraiment terne. Le montage, techniquement, des séquences "autres docteurs", est à ce titre plutôt raté: on voit trop les découpages et superpositions d'image, c'est maladroit. Quelque chose de peut-être plus évocateur et moins "visuel" aurait été plus judicieux, surtout que la séquence revient trois fois. - L'ensemble de l'épisode se déroule donc dans un décor peu inspiré à mon sens. Même le TARDIS "bigger on the outside" ne m'a pas entièrement convaincu. Quel dommage que la tombe du docteur n'ait pas été plus travaillée. - La compagne du docteur est vraiment mignonne, mais son personnage est tellement fade et sans substance que je ne me rappelle jamais son nom en entier. Pour une fois, j'avais vu venir gros comme une maison le "jetons nous dans la lumière". J'y reviens plus tard. Les facilités: - Je ne vais pas revenir sur les errances scénaristiques que d'autres ont mieux évoqué. Mais je trouve dommage, encore une fois, que Moffat se contente de nous apporter rebondissements de la mort qui tue et retournements de situations sur un dernier épisode qui n'aura pas été amené et amorcé précédemment dans la saison. - La fin (?) de la relation Doctor / River est ratée pour moi, malgré tout le talent d'acteur des deux protagonistes, simplement parce que le climax arrive au mauvais moment dans l'épisode, et parce qu'il est étouffé par la somme d'intensité qui se déploie par ailleurs et qui rend presque fade cette scène au demeurant émouvant - Oswald. Le personnage est tellement passé sous silence (psychologie, passé, désirs, peurs, etc.) pendant le reste de la saison que le sacrifice final ne fonctionne pas, au niveau de l'émotion. On est dans l'antithèse de RTD: rien n'est construit dans cette saison, et le sommet final retombe comme un soufflé, faute de tenir sur quelque chose de solide. Toute la raison d'être de "l'impossible" chez ce personnage ne tient qu'à un twist final, et n'apporte donc qu'une réponse somme toute convenue au peu de curiosité qui avait été éveillé chez le spectateur. - Elle peut donc se jeter autant qu'elle veut, si l'ensemble est plutôt joli, et pour le coup si l'actrice joue très bien, apporte beaucoup de sensibilité, son personnage en est tellement creux qu'une odyssée temporelle chez elle éveille dix fois moins d'émotions qu'une Donna se réveillant sur son canapé miteux en fin de saison 4. C'est aussi le défaut de la séquence "hommage" aux docteurs: elle n'est que pure justification au twist final, tant rien n'a été amené auparavant. On a, sur la construction, l'antithèse de la saison 1: on voyait le Bad Wolf partout avant, on le découvrait à la fin. Ici, on ne voyait qu'à peine l'impossible, et la fin se contentait de nous le montrer le plus possible pour combler ce manque, ce qui n'avait pas été fait lors des épisodes précédents. Des vraies réussites: - John Hurt is the Doctor - La musique - River, Matt Smith, formidable dans cet épisode. C'est un bon épisode pour une mauvaise saison. Pour moi, c'est néanmoins le plus mauvais final depuis le reboot de la série, parce qu'il ne repose que sur des retournements de situation et rebondissements dont on vient à se lasser, car ils ne font que répéter indéfiniment la même chose: le docteur est seul, le docteur a une part d'ombre, le docteur a un nom. Parce qu'il veut s'inscrire dans l'histoire du show, Moffat en fait par moment la caricature. Il n'apporte que de l'esbrouffe, du bluff, là où le spectateur souhaiterait voir du contenu, des révélations réelles sur le background de la série, qui reposeraient sur autre chose que sur des mécanismes d'écritures devenus banals, type "mystère E1->E6 / GROSSE REVELATION E7". A l'image de cette saison, je trouve que cet épisode est un formidable gâchis. Il ne fait que ressasser ce qu'une première partie de saison avait esquissé: s'il s'amuse à parcourir sa propre timeline, le docteur de Moffat tourne en rond, et n'arrive pas à apprendre de ses erreurs (facilités d'écriture, scénarios creux et "brillants"). |
Avis favorable | Déposé le 26 mai 2013 à 10:46 |
Très bon épisode, beaucoup mieux que le précédant. Ça annonce du lourd pour l'épisode des 50 ans. Vivement le mois de novembre |
Avis neutre | Déposé le 21 mai 2013 à 02:26 |
Mouerf... Toujours des facilités à la pelle, des retournements incongrus et des tics d'écritures que je ne supporte plus. C'est pas un final ça. C'est même pas une introduction. C'est rien du tout, ça n'aura au bout du compte aucun gros impact sur la série. On parie combien qu'à la saison 8 on nous fait mariner pendant treize épisodes sur ce "douzième" docteur, pour lâcher la sauce juste à la fin avec une facilité qui remettra tout en ordre ? J'en ai maaaarre de Moffat. Et puis à force de parler de Gallifrey, on peut pas nous en parler beaucoup plus directement ? Nous montrer le docteur à l'époque par exemple ? Nous montrer des bouts de Time War ? On fait que nous dire "c'était terrible gnagnagna" mais montrez-le au lieu de le dire ! Il y a tellement de potentiels non exploités dans cette série, tellement de scénarios géniaux à exploiter, de pistes émotionnelles à suivre que j'en deviens super über frustré. RTD n'allait jamais au fond des choses lui non plus, mais je lui pardonnais parce que c'était les premières saisons, et que ça tenait la route d'un point de vue narratif, que ça allait quelque part. On sent que tout tendait à nous ramener vers le passé du Docteur, son désespoir et la solitude de sa condition étaient beaucoup mieux retranscris. La fin de la saison 4 ouvrait même sur quelque chose de ce genre, voire y mettait carrément un pied dedans. Mais ça c'est pas le genre de subtilité auquel est habitué Moffat. Non lui ce qu'il fait, c'est qu'il répète cent mille fois la même chose pendant toute une saison et qu'il lâche un gros pavé surchargé dans la mare pour clore le tout. Un pavé qui n'a techniquement rien à faire là, vu que rien ne nous a préparé à ce genre de perturbation dans le déroulement de la saison. Voilà, c'est pas nul, c'est même agréable à regarder, mais DIEU que je suis frustré. Quand est-ce que les scénaristes auront compris qu'il ne suffit pas de dire les choses pour en faire une histoire ? Qu'il faut les narrer ? Je regrette les temps de Face of boe, de Donna, de The End of time, de The girl who waited (saison 5 juste), là où on comprenait réellement toute la tragédie qui se cachait derrière le voyage dans le temps, toute sa puissance, toute son implacabilité. Où on le comprenait vraiment. Sans qu'on ait besoin de nous dire "OMG le Docteur est tellement triste", "Attention c'est trop dangereux le temps, ça te brise en mille morceaux et tout, si si", bref ce genre de paroles creuses qui s'avère ne jamais avoir aucune conséquence dans les actions concrètes du Docteur. Je regrette le temps où les scénaristes étaient des conteurs et non pas des techniciens se contentant de manier et d'interconnecter des fils narratifs tissés d'idées toute faites et de concepts prédéfinis (wouh elle est longue cette phrase). Tout ce que je souhaite c'est que la série change de showrunner. Vraiment. Car je sais que j'en aurai rien à foutre de ce "douzième" docteur avec Moffat au commande. |
Avis défavorable | Déposé le 20 mai 2013 à 02:16 |
A part la discussion entre le Docteur et River et la fin de l’épisode, tout le reste était facilement oubliable ! C’était sûrement une bonne intention de voir Clara avec les anciens Docteurs mais que c’était laid, ça m’a rappelé les effets spéciaux de Once Upon A Time ! J'aurais préféré revoir le Silence au lieu des Whispers ! Trezalore le lieu de la bataille finale reconverti en cimetierre soi-disant glauque... Quand j'ai vu le Tardis géant, j'ai rigolé tellement c'était moche et originale ! Seul son mystère rendait Clara intéressante ! La Grande Intelligence, méchant sans saveur. Quand au trio, ils sont juste là pour remplir l’épisode ! Je vais devoir attendre l’épisode spécial des 50 ans pour revoir mon opinion sur cet épisode ! |
Bon bah c'était un épisode sympathique mais sans plus...
La scène d'intro est énorme (quand on a vu quelques épisodes de la toute 1ère saison, comme moi, ça l'est encore plus) ! J'en avais des frissons !
La 1ère partie de l'épisode promettait aussi quelque chose d'énorme. L'idée du tombeau du Dr visitable par le Dr lui-même c'est tellement évident mais seul Moffat pouvait y penser !
Sauf qu'après débarque la "Grande Intelligence" et comme dans l'épisode des Snowmen, il n'est pas particulièrement charismatique, il est même carrément inintéressant (pour moi) !
La rentrée dans la "faille temporelle" aurait pu impliquer des choses énormes (ça démarrait bien avec la disparition des étoiles) sauf que depuis le début de l'épisode, on sait que Clara va faire de même pour le sauver donc rien de particulièrement palpitant (pour l'instant)....
Heureusement, cela s’avérera un peu plus compliqué puisque le Dr y va à son tour donc ça devrait être cool... Surtout avec l'arrivée de John Hurt !
Bon par contre, j'ai pas trop compris en quoi c'était émouvant pour vous le départ de River... Ils se séparent quoi, rien de nouveau par rapport à tous les épisodes où on l'a déjà vue... J'ai dû rater quelque chose, non ?
Demeure alors pas mal de questions: Comment vont-ils faire pour aller dans chacune des aventures du Dr pour aller le sauver à chaque fois de la GI ? Pourquoi c'est au moment du début de la saison 7 qu'apparaît Clara alors qu'elle devrait apparaître dès les premiers épisodes de 1963 ?
Mais bon, au final, ça reste un épisode d'introduction aux 50 ans de la série (le "Introducing John Hurt as The Doctor" renforce cette idée (et franchement, c'était pas utile de mettre son nom d'acteur carrément dans l'épisode... On ne met pas Matt Smith as The Doctor ou Jenna Louise Coleman as Soufflé Girl lorsque ceux-ci apparaissent que je sache...)
En tout cas, y'a intérêt à ce que les épisodes suivants soient meilleurs que ça...