Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 9.00
Avis favorable | Déposé le 16 mars 2022 à 21:11 |
J'ai tellement ri tout au long de l'épisode !!! C'est tellement génial !! Et Nardole m'a conquise ici <3 !!! |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2018 à 11:23 |
Spoiler
Ça ne raconte rien de plus que des idiots maladroits qui tombent amoureux et affrontent des cerveaux diaboliques, et pour ça c’est carrément réconfortant |
Avis neutre | Déposé le 04 janvier 2017 à 14:08 |
Bah, en vrai, j'ai pas trouvé ça particulièrement mauvais. Sauf que j'ai pas trouvé ça particulièrement bon non plus. Capaldi à part que j'adore, l'épisode est en général fade, ultra-cheap (après Heaven Sent et Hell Bent ça fait très très mal) vide de sens et carrément dispensable, épisode qui m'a rappellé de mauvais souvenirs sur des épisodes de Davies que j'avais tendance à apprécier d'une manière assez modérée. Et pour une fois, je n'ai aucun apriori particulier pour la saison à venir. Je sais pas si c'est bon signe, en fait. |
Avis défavorable | Déposé le 04 janvier 2017 à 11:11 |
Comme prévu, c'est merdique. Mais c'est de la nullité, intéressante, disons. Il révèle l'impossibilité totale pour le grand ou petit écran de traiter le genre super-héroique sérieusement. Soit c'est traité sous forme d'humour au premier (MCU) ou second degré (CW verse). Soit c'est dark et sombre (le début du DCEU + les films de Nolan + le Marvel de Netflix). L'entre deux n'existe absolument pas. C'est le néant créatif. Une série comme Sense8 par exemple traite son sujet avec sérieux, en croyant en ses personnages. Ils pourraient être des personnages issus de comics : ils ont des super pouvoirs, combattent en équipe, ont des dilemmes moraux, etc. Tout ça pour dire que c'est possible. Ce traitement là est fertile et c'est peut-être le plus adéquat pour traiter le genre (Sam Raimi y est bien parvenu aussi). Meuffat qui est quelqu'un d'intelligent choisit la pire des solutions de facilité, celle qui est cheap et qui ne coute pas un sous. Il fait de l'épisode, un version low-cost de la CW. Et franchement, parvenir à rendre le genre super-héroique encore plus cheapos que la CW, il fallait le faire. Comme le dit justement Gizmo, l'épisode c'est deux décors + Le Tardis. That's all. Pour se rattraper, Meuffait s'amuse à glisser des références aux comics. Mais là aussi, il le fait sans inspiration. Ce ne sont que des trucs ultra obvious, mal amené et surtout souvent déjà fait par d'autres médias (télé, ciné ou bd). C'est le comics pour les nuls, avec des acteurs qui surjouent comme dans une belle production AB (mention spécial au regard gêné de Justin Chatwin qu'il refait genre 23 fois en 1h). Petit à petit, Meuffat est parvenu à vider Doctor Who de toute sa substance. Il n'y a pas d'enjeux, pas de drama, pas le début de quoi que ce soit qui pourrait être intéressant. Dans un univers où absolument tout est possible, il a réussi à rendre tout inintéressant. On n'a pas envie de monter dans le Tardis. On a envie de rester sur Terre et de boire du chocolat chaud. On l'a déjà dit des milliard de fois, mais tout ici n'est que recyclage d'anciennes idées. Comment peut-on être toucher par le discours final du Doctor sur l'acceptation du deuil quand on y a déjà eu droit à 4 fois en 10 saisons ? Comment être ému de la relation entre un enfant et le Doctor quand cette dynamique a déjà été mise en scène ? C'est le risque du run de trop. Risque que RTD avait réussi à voir et que la BBC n'a pas vu. Je pense que Meuffat le sait. Alors oui, peut-être qu'il va réussi à nous sortir l'épisode ultime de son run, mais franchement on se dirige tout droit vers une saison complétement dispensable. Une non-saison drivée par un non-envie. PS : Nardole, ce Jar-Jar Binks Whovian, que fait-il ? A quoi sert-il ? Quel est son projet de vie ? |
Avis neutre | Déposé le 31 décembre 2016 à 18:52 |
Il y a un an, nous quittions River et le Docteur dans ce qui semblait marquer la fin d'une ère. Mais plutôt que d'entrer de plain-pied dans un nouveau cycle avec cet épisode, Moffat joue les prolongations avec une aventure hystérique pleine de rires rigolos, de menaces pas si menaçantes, de private jokes tavussa et de bons sentiments qui dégoulinent tout partout. Exactement ce qu'il faut pour Noël, à condition qu'on ne soit pas trop gavé de la présence des super-héros sur nos écrans cette année (ce qui est un peu mon cas). Si tout cela fonctionne très bien lorsqu'on a décidé de laisser son cerveau de côté (vous l'avez ?), notamment grâce à un Capaldi toujours impérial qui pourrait nous divertir en lisant le bottin (ou les 138 pages du forum consacrées à la série), je reste sceptique sur la capacité que peut avoir Moffat a vraiment proposer du neuf (ou du dix) en saison 10 ... (bon, et y'a plus un sou dans les caisses ou c'est moi qui délire ? Parce que là, 2 pièces et un fond vert, ça commence à se voir par rapport aux Christmas Special de Tennant et Smith...) |
Avis favorable | Déposé le 31 décembre 2016 à 02:18 |
Spoiler
Dès la première scène, toute mignonne et avec plein de bonnes idées derrière sa longueur, j’ai été très agréablement surpris. Doctor Who et les super-héros c’était un de ces pitchs qui peuvent partir en freestyle très vite, sauf que le résultat tient finalement pas mal la route. Pour un connaisseur de l’univers DC et autre il y avait apparemment beaucoup de références intelligemment utilisées, et pour un total noob comme moi l’épisode restait largement abordable et a adapté les aspects les plus populaires et clichés de l’oeuvre. Si ce n'est pas lors des épisodes spéciaux de Noël que DW peut tenter des mélanges de genre étranges, quand le ferait-il ? Cela n'a rien de nouveau, de A Christmas Carol à Narnia en passant par Alien, etc. C’est loin d’être l’épisode du siècle et pas mon genre de Noël préféré forcément, je préfère les choses un peu plus tristes, mais ça fonctionne car c'est super bien placé dans la série. Passée la première scène où Grant prend le Docteur pour le père Noël (très mignon), le reste est un épisode "comme un autre". La parodie entraîne un côté kitsch ridicule très marqué, “mais après tout c’est Doctor Who”... Le plus gros problème est bien évidemment l’intrigue sans vrai impact.. Si c’était une bonne idée de reprendre les aliens de The Husbands of River Song qui s’ouvraient le cerveau, un concept sympa, comme principaux ennemis de l’épisode (une référence tellement non-assumée d’un aspect tellement futile du précédent Noël que plein de gens ne l’ont pas remarqué, marrant), le scénario semble être une affaire secondaire pour tout le monde, le Docteur inclus. Quand il essaye de trouver le plan des méchants, il passe le plus clair de son temps à les narguer… Peter Capaldi est très bon pour jouer l’intéressé-désintéressé mais du coup impossible de prendre la menace au sérieux si le Docteur non plus ne le fait pas. L’épisode n’a donc pas beaucoup de substance en termes d'enjeux. Le total des scènes avec les aliens ne doit pas dépasser les 15 minutes et on est sur de la fin ouverte avec le retour de UNIT et une mention de Osgood comme résolution, basta. Bref, on se moque gentilement de l'intrigue et après tout ce n'est pas ce qui est le plus important. C'est juste pour le fun... et ça fonctionne en vrai vachement bien. Deuxièmement, Nardole... Quelle étrange idée de l’avoir ramener. Oui, ils l’expliquent bien plusieurs fois pourquoi il est là : que le Docteur est seul, que Nardole fait un bon compagnon, mais ça n’arrive pas à me faire enlever la seule question que j’ai en tête : pourquoi lui ? Et je connais la réponse - Lucas a demandé et Moffat a dit ok. Mais dans la série, on fait une sorte de lien avec River Song pour assurer une certaine transition, ce qui est inattendu et franchement tellement aléatoire qu'on se demande où tout ça mène. Le Doc se sent seul, il a 10 000 autres personnes à voir avant mais il prend Nardole, admettons... Cela dit, j'aime assez l'idée d'un compagnon qui lui "colle aux pattes" pour ne pas qu'il reste seul, suite à la demande explicite de River (ses 3 précédentes compagnes sont quand même mortes pour qu’il imprime qu'il ne doit pas voyager seul). C’est plutôt bien tenté mais je crois que j'ai juste un peu la haine que ce perso soit revenu, à voir ce qu'ils en feront. Et puis même en comic relief ce n'est pas Nardole qui assure. Oui il m’a un peu fait rire avec son costume turque, oui sa toute dernière tirade est assez cool et promet peut-être un peu plus que du comique… mais voir Nardole faire des gamineries avec une peluche d’éléphant, ou faire des gémissements, m’énerve un peu. Cela dit, l’épisode reste déjà assez drôle sans lui, entre la parodie de romcom, les gags visuels (la lévitation), les blagues mainstream (Pokémon), des blagues plus inspirées (les déboires amoureux du Docteur)... yavait de quoi faire plaisir pour tous avec pas mal de punchlines excellentes et un quiproquo filé tout au long de l'épisode très sympathique. Le genre de la romcom est souvent maîtrisé par le showrunner, et avoir un épisode drôle et décomplexé à Noël est toujours une bonne idée. J'ai vraiment apprécié ce spécial dans l’ensemble, puisque la majorité des scènes sont très centrées autour de Lucy/Grant. Et ça marche car les deux personnages sont super attachants. L’histoire du petit Grant est marrante et une vision originale (ou en tout cas inhabituelle) des superpouvoirs. Lucy fait ses preuves en peu de temps et a une bonne présence, et Grant est top dans sa double-vie nanny/superman. Justin Chatwin et Charity Wakefield fonctionnent vraiment bien ensemble et sont parfaitement castés (ça serait cool de les revoir un de ces 4 façon Paternoster : la reportrice et le super-héros qui l’aident dans les enquêtes du Docteur quand ce dernier est sur Terre !). Du coup, l’épisode est clairement une romcom qui se déroule de façon habituelle. Le très bon twist du début : Ghost la nounou de Lucy, pose l’enjeu, de multiples quiproquos suivent, puis le Docteur s’improvise en conseils de drague (hilarant), et une excellente scène du dîner qui joue autour du triangle amoureux Grant/Lucy/Ghost conclut le tout. Et puis, The Return of Doctor Mysterio a quand même un petit truc en plus qui pour moi ne le rend donc pas creux et justifie la note : il a une superbe continuité avec The Husbands of River Song, comme je l'ai brièvement mentionné. Mais pas que par Nardole. La récente perte de River revient assez souvent (le coup des “24 années”), explique pourquoi le Docteur se retrouve à New-York (j’ai adoré la petite référence à The Angels Take Manhattan : le Docteur essaye de retrouver Amy et Rory <3) et explique aussi la présence de Nardole donc. C’est plutôt bien joué. Encore mieux : la fin explicite le fait que tout l’épisode peut se voir comme le début d’une relation (Lucy/Grant) après 24 années d’attente, ce qui est à mettre en parallèle avec les 24 années que le Docteur vient de passer avec River, des années qui ont mis fin à leur relation. Donc il y a tout un aspect “quand quelque chose s’achève, une autre commence”, qui résume l’aspect cyclique de la série, ce qui réussit donc à faire une jolie transition entre le précédent Noël et la saison à venir, d’annoncer un renouveau (sans être en lui-même un renouveau, puisque comme promis la prochaine compagne n’est pas apparue - Moffat ne ment pas toujours, damn). Le choix de faire un Noël aussi auto-suffisant (c’est probablement le spécial plus standalone depuis A Christmas Carol) s’explique donc. Bref cette année on nous sert un spécial gentillet, qui fait très joliment le lien entre l’épisode qui précède et l’épisode qui viendra, qui n’a pas assez de profondeur pour enrichir l’année 2016 bien pauvre en Who, mais qui reste une heure de visionnage attachante. Plus de doux que d'amer cette année à Noël, mais peut-être était-il temps de changer ? A mi chemin entre les contes fantastiques et nostalgiques de Matt Smith et les mésaventures bruyantes et décontractée sous fond d'invasion terrestre de David Tennant, les Noëls de Peter Capaldi se caractérisent par un savant mélange de Doctor Who Noëlien et d'un autre genre de science-fiction (horreur, space-opera, super-héroïque), et Mysterio ne fait pas exception. |
Avis défavorable | Déposé le 26 décembre 2016 à 19:12 |
Spoiler
Ce qu'est cet épisode : https://www.youtube.com/watch?v=BdDhaE-GwGA Moffat en ce moment, bien content de son épisode de merde : https://www.youtube.com/watch?v=ZNTrfCgpGZA Moffat et son showrunning désormais : https://www.youtube.com/watch?v=CR8SQyqV6TQ Moi à la vue de cet épisode : https://www.youtube.com/watch?v=W-_sABor77E Moi dans pas longtemps si la saison 10 est comme ça : http://www.youtube.com/watch?v=W80dfwI5ur4 Oui, va te faire mettre Steven. Et vivement que tu te casses ... |
J'ai adoré cette parodie de Comics, même si je ne comprends rien à Nardole. Il est là sans être là, il a deux lignes de dialogues et 20s avec un éléphant en peluche, et ça semble normal à tout le monde alors que... C'EST QUI ?