Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
3 avis favorable
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0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 9.04
Avis neutre | Déposé le 12 avril 2024 à 23:02 |
Bis repetita. Pas de scénario, pas de fun, pas de personnages, une résolution en 3s, une intro cheap as duck sur beethoven qu'on aurait dit sorti d'une mauvaise pub tv. On tient mon double épisode le moins aimé ever. A vous les studios. |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2018 à 00:29 |
Spoiler
Spoiler
Tout ce qu’entreprend Whithouse est limité par son approche un peu vieillotte, voir carrément sexiste de la narration, ceci dit c’est toujours une histoire qui offre un divertissement très très efficace avec un duo central magistral |
Avis favorable | Déposé le 09 juin 2016 à 16:59 |
Une deuxième parti nettement en dessous. La faute à un récit qui donne l'impression de sauter dans tous les sens, sans trop de logique. De plus, c'est assez confus (je n'ai pas trop compris le plan du Fisher King et de ses fantôme, ni de l’intérêt de l'hologramme du Docteur). Mais le sacrifice de O'Donnel m'a touché et révèle bien une caractéristique du Docteur : quand il s'agit de sauver un de ses compagnons, il est prêt à tout et n'importe quoi, mais lorsque c'est un inconnu, il s'en bat les steaks profondément. |
Avis favorable | Déposé le 24 décembre 2015 à 01:46 |
Pas convaincue par le Fisher King qui est introduit bien trop tard, mais le reste de l'épisode, parfait du début à la fin, fait vite oublier ce petit défaut. Je ne connaissais pas le paradoxe de l'écrivain, c'est toujours sympa d'apprendre de nouvelles choses! |
Avis favorable | Déposé le 10 novembre 2015 à 11:58 |
Spoiler
"Before the Flood" est aussi agaçant qu'attachant. Attachant car il tente des choses neuves, que ce soit dans son introduction, petit morceau d'anthologie qui fait office de véritable minisode pour les néophytes de la série et de la science-fiction en général, dans son approche rafraichissante des 2-parters, avec cette idée de remonter dans le temps, ou bien dans son ennemi, impressionnant visuellement. Mais il est agaçant car chaque bonne idée a son pendant négatif. L'intro est géniale, mais elle est aussi un artifice de petit malin qui nous dévoile bien trop rapidement les enjeux de l'épisode. L'idée du retour dans le passé offre quelques séquences efficaces, mais truque ses enjeux lors de la résolution bien trop vite catapultée. J'espérais que la perte du tournevis sonique éviterait les résolutions à base de technobabble sonique, mais les lunettes connaissent déjà des dérives agaçantes et trop faciles. Enfin, le Roi Pêcheur est outrageusement sous-exploité. Les enjeux du personnage sont assez flous, alors qu'il y avait de quoi offrir un ennemi mémorable. Pourquoi lui donner un nom pareil, qui prête plus à confusion qu'autre chose? Je sais qu'il fait référence aux contes du Graal et au Roi entouré de terres arides, mais le terme "Fisher" prête ici à confusion, surtout quand il est tué par noyade. Pourquoi ne pas plus développer le lien entre ce guerrier mythique et les Time Lords? J'espérais que les two-parters éviteraient les problèmes de rythme qu'on a connu lors des saisons précédentes (conclusion trop expéditive), mais force est de reconnaître que cet épisode n'a pas réussi à gérer son rythme, contrairement à la première partie qui était assez exemplaire dans le domaine. En définitive, si Before the Flood surprend, il reste moins maîtrisé que sa première partie. L'ensemble fonctionne mais aurait pu, avec quelques petites réécritures, être un superbe épisode. Comme souvent, Toby Whithouse livre un script solide et confirme qu'il est une valeur sûre au sein du pool de scénaristes actuel. |
Avis favorable | Déposé le 30 octobre 2015 à 15:15 |
Pas super évident de savoir quel est mon positionnement sur cette seconde partie du two parts que Whithouse nous aura pondu cette année. Je veux dire par là que cette seconde partie est beaucoup moins classique que la précédente dans la forme et qu'en cela elle offre une portée supplémentaire à une histoire qui jusque là se destinait à une existence extrêmement classique (car remonter dans le passé pour résoudre le problème du jour, c'est quelque chose qui n'avait jamais autant été mis en exergue de toute la série). Mais là où ce dernier était, à quelques micro-fêlures prêt, irréprochable dans son classicisme, cette seconde partie est globalement moins maîtrisée que la précédente et accuse quelques défauts / points noirs, malgré d'autres aspects nouveaux très bons comme le retour de la race d'aliens peureux de The God Complex, la confrontation entre le Docteur et le Fisher King, ou encore la scène de Cass vs. les Fantômes en muet et ondes sonores (car l'épisode est divertissant, là n'est pas le problème). Le premier, c'est bien évidemment la sous-exploitation du Fisher King qui fait assez mal au coeur tant le monstre est le plus réussi de la série depuis un sacré paquet de temps ! Bon sang, cet ennemi avait une vraie présence, un look sublime, et il faut qu'on se limite à le voir vraiment dans deux scènes dont une, celle de sa mort, malheureusement assez ridicule. Il y a ensuite la totale inutilité en quasiment tout instant de la quasi totalité des membres de l'expédition survivants de la partie précédente. Autant la sous-exploitation et la caractérisation unidimensionnelle de certains pouvaient passer dans le précédent car ils étaient nombreux et servaient occasionnellement à quelque chose, autant ici ils font assez tâche tant seuls Clara et le Docteur semblent faire avancer les choses ... Ce qui du coup pénalise un peu le rythme de l'épisode à travers les quelques scènes cherchant à faire vivre ces personnages, complètement inutiles (du moins pour cet épisode) la plupart du temps au delà de dispenser un sous-texte vu et revu dans la série comme dans d'autres sur l'amour de manière fort banale .... Et bien que j'ai aimé la scène d'intro et que le générique rock était sublime, il faut reconnaître que spoiler la résolution dès le début ça atténue pas mal l'effet de surprise pour la suite de l'épisode, alors que sans cette information je sais que je me serais fait avoir sur un paquet de trucs. Sans oublier le fait que l'épisode ne prend pas forcément les pistes les plus intéressantes avec ce que lui avait léguée la précédente et les quelques facilités dans la résolution ... Bref, cette seconde partie possède grosso modo les mêmes défauts de base que son prédécesseur auquel il en ajoute de nouveaux qui sont compensés par le fait que ce que cette nouvelle partie propose de bien et le fait qu'elle fasse sortir cette histoire du carcan classique dans lequel elle était. Du coup, je serais incapable de dire laquelle des deux parties je préfère, étant donné qu'au final cette seconde partie se situe pour moi au même niveau que la précédente, Au moins, je saurais quelle note mettre du coup ... Et pour l'instant cette saison 9 est très satisfaisante. Ca faisait longtemps qu'une saison n'avait pas aussi qualitativement bien commencée ... |
Avis neutre | Déposé le 18 octobre 2015 à 19:41 |
Spoiler
L'épisode démarre très bizarrement. Pour la 1ère fois depuis je ne sais pas combien de temps, le Docteur brise le 4ème mur et nous parle du paradoxe de l'écrivain (ou de la prédestination) pour finir sur un générique rock'n roll plutôt sympa... Bon, ce genre de paradoxe a déjà été montré dans la série sans le faire remarquer explicitement donc je ne vois pas trop l'intérêt mais pourquoi pas. Après tout, j'aime beaucoup les paradoxes ! Bon alors après, comme j'avais bien aimé la 1ère partie, j'étais assez à fond dedans pendant la 2ème. Le Dr fantôme, le Dr retournant dans le passé, la relation Clara/Dr toujours aussi bonne, les conversations par téléphone temporel, Clara qui fait référence à Danny, les persos secondaires qui s'approfondissent, le retour des Tivolis (ils en parlaient dans la 1ère partie mais je ne voyais pas de quelle espèce ils parlaient, une bonne idée au final d'avoir repris les aliens qu'avait créé Whithouse pour The God Complex), le Dr qui se voit lui-même, la confrontation du Dr/Fisher King... Mais ce sont les explications finales qui ne m'ont pas plu... Le fantôme du Dr était en fait un hologramme (un peu facile), et le "pourquoi les fantômes n'apparaissent que la nuit ?" "parce qu'ils sont déphasés par-rapport au mode diurne"... Que-OI ?! Bon ça ce n'est pas important, c'est surtout le truc du hologramme qui m'a gêné (vraiment trop facile), et du coup c'est là-dessus qu'était basé le paradoxe énoncé en début d'épisode... Au final, ça faisait un peu "Whithouse qui se la pète" parce qu'il avait lu la page wikipedia sur le paradoxe de l'écrivain et qu'il voulait nous le faire partager. Sauf que bon, comme je l'ai déjà dit, des paradoxes comme celui-là, on en a déjà vu dans la série donc il n'a clairement rien inventé. Surtout que sa boucle là, la comparer avec la 5ème Symphonie de Beethoven... Lol... Si vous voulez un exemple de boucle paradoxale absolument énorme, regardez le film Prédestination ! Au final, j'étais près à taper dans le 16 mais avec cette fin, je vais devoir mettre 13 (ce qui reste une note correcte vu comment j'ai apprécié le reste de l'épisode). Dommage... |
Avis défavorable | Déposé le 16 octobre 2015 à 13:10 |
C'est bien gentil de faire un épisode sur le paradoxe de l'écrivain, mais dans un univers comme celui de Doctor Who qui n'est régi par aucune règle (on nous l'a suffisamment répété), ça n'a aucun sens. Au-delà de ça, c'est vraiment le B.A.B.A sur le sujet, aucun approfondissement. Je suis capable de citer une douzaine d'oeuvre qui traite mieux le sujet et je suis très loin d'être un spécialiste. Je sais bien que c'est un show pour les enfants, mais quand même... On se tape des Moffateries faussement compliqués au possible et paf quelques épisodes plus tard, un truc qui nous prend pour des enfants de CE2. Décidément, la série ne sait toujours pas se positionner. Point bonus quand même pour les quelques call-backs (oui même celui de l'épisode oeuf-lune), le design du monstre (là, ils ont bossé) et pour le visuel globalement réussi (surtout le passage sous l'église). Mais quand même, la théorie de Galax sur Cass (voir son avis de l'épisode précédent) était plus intéressante que ce qu'on nous a servi et que ce qu'on nous a teasé. PS : Mention spéciale au fantôme de la membre d'UNIT qui apparait à la fin de l'épisode, alors qu'elle aurait dû apparaitre en seconde position (après le fossoyeur). Brillant ce futur showrunner, y'a pas à dire. |
Avis favorable | Déposé le 12 octobre 2015 à 13:55 |
Excellent. Ça fait vraiment, vraiment plaisir de retrouver du bon vieux Timey Wimey aussi bien géré que celui de Moffat. Whithouse vient, avec cet épisode, de prouver qu'il a tout à fait étoffe pour être le prochain Showrunner. |
Un double épisode oubliable. Un scénario déjà vu 1000 fois, sans réelle originalité, et qui nous ennuie assez rapidement.