T'as pas envie d'un petit bisou du Zygon Clara ?
Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 9.08
Avis neutre | Déposé le 07 août 2016 à 09:15 |
Pas beaucoup plus emballant. La première partie est pas mal avec le Clara Vs Clara, mais on se retrouve avec un grand classique Whoien : le monologue du Docteur. Et cela ne m'avait pas manqué. Car oui, la guerre, c'est pas bien, merci de le rappeler. Et puis qu'est ce que c'est moche un Zygon.... |
Avis favorable | Déposé le 27 décembre 2015 à 22:07 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis favorable | Déposé le 24 décembre 2015 à 01:51 |
Wow ! J'avais énormément d'a priori avant de commencer ce two parter mais quelle surprise ! J'ai pleuré face au discours du Docteur, tellement beau et vrai ! Je rejoins Clara sur le côté manichéen, ça fait plaisir d'avoir un épisode d'invasion Alien / Terre sans que tout soit noir et blanc. |
Avis favorable | Déposé le 01 décembre 2015 à 19:05 |
Je vois que tout le monde est en PLS face à la performance de Capaldi dans le 9x11, mais même si, quand je le verrai, je serais déçu, je me dirai qu'au moins, il y a eu The Zygon Inversion... Clara VS Clara, c'était très bon. Le passage avec le Zygon à moitié transformé et nous rappelant fortement à l'actualité avec les immigrés,également. Par contre, le tout manquait un peu de rythme, tout de même... Mais c'est bien sûr la scène de la Osgood Box qui est absolument grandiose, grâce à la mise en scène ultra sobre (pas une seule note de musique n'est jouée durant tout leur dialogue), mais surtout grâce au discours de Capaldi sur la guerre qui est assez bouleversant, que ce soit quand on pense à notre actualité, qu'en repensant aux épisodes sur la Time War. N'oublions pas non plus le personnage d'Osgood qui est vraiment excellent, et aussi très intriguant. J'espère qu'on la reverra lors du triple dernier épisode (dont j'apprend l'existence en venant de lire vos avis) ! Au final, ce two-parter n'était pas aussi bon que le premier de la saison (à cause d'un rythme moyennement bien géré) mais il reste dans le haut du panier de ce qu'a pu nous proposer la série, surtout dans l'histoire des two-parters. |
Avis neutre | Déposé le 23 novembre 2015 à 15:09 |
L'épisode met plus de 20 minutes à faire revenir le Docteur et dieu que c'est poussif. Il met ensuite 5 minutes sur cette histoire de Zygon qui veut rester humain et qui n'apporte rien à l'histoire et dont tout le monde se fout. Reste alors moins de 15 minutes. 15 minutes qui aurait tout à fait eu leur place à la fin de l'épisode précédent. Encore une fois, les deux parties étaient totalement inutiles. Reste enfin le discours du Docteur qui est effectivement beau, mais largement déjà abordé par la série (dans la saison 1 par exemple) et bien mieux construit dans le film "War Game". Bref, rien de bien neuf, même si on a enfin et désormais une idée très précise de la personnalité de Twelve (pas trop tôt). Faute de mieux, c'est déjà ça. PS : Comment elle a survécu Osgood ? |
Avis favorable | Déposé le 23 novembre 2015 à 00:14 |
Capaldi est excellent et l'épisode faut son pesant d'or juste pour ce discours extrêmement bien écrit et bien construit avec ce jeux de question réponse qui détruit les arguments de fake clara et qui pousse a la réflexion .... |
Avis favorable | Déposé le 22 novembre 2015 à 23:37 |
Bon bah, deuxième fois que j'ai versé ma petite larme dans cette saison et on est même pas encore au final. Cet épisode est brillantissime du début à la fin et ce a plus d'un titre. Premièrement il aura pris à ma grande surprise constamment le revers de la partie précédente et ce de manière très intelligente, le rendant ainsi assez imprévisible. Alors que tout semblait converger vers la guerre totale entre les humains et les Zygons, du moins vers un affrontement musclé entre les deux parties, il n'en est au final rien. L'épisode adopte une posture assez anti-spectaculaire la plupart du temps mais le fait bien car il ne déçoit jamais en le faisant, alors qu'avec une telle base qu'était la première partie, le risque était assez grand. Mais au final c'était sans doute la plus judicieuse des options à prendre tant c'est en harmonie avec le sous-texte de l'épisode. De même, l'épisode va s'aventurer vers des pistes qu'on ne l'aurais jamais vu prendre, comme l'excellente idée de l'utilisation de Clara dans son pod (alors que tout laissait craindre qu'il n'allait pas lui arriver grand chose). Même le twist très bien vu sur Kate Stewart, je ne l'avais pas vu venir (alors que peu de temps avant qu'il survienne ça me surprenait qu'on n'avait toujours pas eu de nouvelles d'elles de l'épisode. De toutes façons la seule chose que j'ai compris (et je n'en était pas totalement sûr) peu avant que cela survienne, c'est que les boîtes étaient vides) et j'adore la façon dont ce two parter joue avec la réalisation et le montage pour mieux nous duper. Mais la grande force de l'épisode reste son climax dans la salle où tout avait commencé de The Day of the Doctor avec la confrontation entre Kate, Bonnie et le Docteur. Une scène aussi incroyablement intense que riche et sublime, tant à travers l'incroyable performance de Peter Capaldi qui nous signe surement là sa meilleure scène so far et tout ce qu'elle apporte au personnage du Docteur comme à la série que par tout les questionnements qu'elle soulève vis à vis des nombreux thèmes abordés tout au long de ce putsch Zygon et des réactions humaines face à cela, faisant tristement écho à quelque chose que notre époque ne connais que trop bien. Sans le moindre manichéisme ni la moindre facilité tout était parfait. Tout sonnait juste, malgré la malheureusement trop haute improbabilité du fait que la solution du Docteur puisse fonctionner (enfin, surtout être mise en place) dans un contexte humain et réaliste qui n'aurait donc pas son arbitrage (En cela d'ailleurs, cet épisode fait du bien de par le fait de pouvoir observer une paix utopique se former, au moins dans la fiction). Ce double épisode aura été une merveille dans le traitement de ces thématiques, qui même pas une semaine après la fin de sa diffusion auront malheureusement prouvées qu'elles sont plus que jamais cruellement d'actualité. Bref, un épisode constamment surprenant, génial en tout ce qu'il fait, amenant une réflexion pertinente sur des thèmes extrêmement intéressants et actuels, et nous offrant ni plus ni moins parmi les plus grands moments du 12ème Docteur voir de toute la série ? Pour le coup, là, oui, la seconde partie aura vraiment transcendé l'intégralité du two-parter ! Un nouvel épisode sublime dans une saison qui pour l'instant me surprend énormément de par son homogénéité globale de niveau (en 8 épisodes on n'a eu aucune merde pour l'instant et une seule "déception" (car l'épisode restait pas mal malgré tout)) et l'air de rien pas mal d'épisodes tentent des choses, avec plus ou moins de succès certes mais ça a souvent au moins ce mérite là). A priori, si Gatiss ne viens pas tout foirer, je tiens peut être ici pour moi la première saison de la série à faire un sans faute, car vu comment le three parter final s'annonce et ce que j'en attends qui semble avoir été plus ou moins forshawodée toute la saison (et encore dans ce double épisode pardi), il y a normalement peu de chances qu'il me déçoive. Vas-y Saison 9, tu peux le faire ! |
Avis neutre | Déposé le 09 novembre 2015 à 23:26 |
Spoiler
Points positifs - Clara et Zygella. - Le discours du Docteur. Point négatif Le reste de l'épisode. Bilan : dommage, l'épisode a raté le coche avec moi. |
Avis favorable | Déposé le 09 novembre 2015 à 20:08 |
Spoiler
Ouais je lance un 18. Pas pour 36 raisons. L'épisode a beau être excellent, je lance avant tout un 18 pour ce titanesque discours de Twelve, avec un Capaldi absolument divin. Un discours touchant, avec plusieurs niveaux de lecture, faisant écho à la fois à une situation actuelle de la société et à la fois au passif de la série et à la caractérisation du Docteur en général. C'était beau. |
Un Docteur abattu par le poids des années veut défendre une paix impossible et pardonner des terroristes. Mais c’est d’autant plus fort que l’un d’entre eux a le visage de Jenna Coleman.