Jujutsu Kaisen
Souffrance, regrets, humiliations... les sentiments négatifs que ressentent les humains se transforment peu à peu en fléaux se cachant dans notre existence. Sévissant dans le monde entier, ils sont capables d'entraîner les gens dans de terribles malheurs et, parfois même, jusqu'à la mort. De plus, ces créatures ...
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En cours | JP | 24 minutes |
Animation, Action, Aventure, Fantastique | Pas de chaîne | 2020 |
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L’affrontement est cool, une fois n’est pas coutume… mais une fois n’est pas coutume encore une backstory. On s’y perd un peu à force : le dernier élève présenté ici (celui qui manipule le sang) a vraiment un chara design trop classique et est moins mémorable que les autres.
On a aussi quelques éléments où l’histoire n’avance pas assez vite je trouve. Megumi est un Zenin par exemple, et ce n’est jamais abordé frontalement, c’est un peu frustrant.
La partie “divisions au sein des familles d’exorcistes connues” est un aspect un peu sous-exploité du lore, tout comme l’organisation de l’école Jujutsu avec le directeur maboul qui lâche vraiment des rangs S juste pour tuer Itadori, ce qui n’a aucun foutu sens car Sukuna ne se laissera jamais abattre pour si peu, il risque juste de tuer tous les autres élèves ce qui n’est pas son but. Au moins le vioc sort sa guitare dans une scène finale amusante, encore une fois le pouvoir s’annonce délirant.
L’arrivée de “Hanami”, l’ennemi qui est dans le gang des méchants avec Mahito est vraiment top. Il tue direct la curse laissée par le président censée être rang S, ce qui est super intimidant.
Le pitch assez écolo des curses ennemies est une motivation plutôt sympa et inattendue pour les grands méchants de l’anime, qui fait bien le taff.
Je suis aussi très fan de Toge, le cursed speech user, qui dévoile ici ses talents et tient tête face à Hanami.