Rick et Morty, c'est à minima fun, mais y'a aussi des épisodes comme ça où l'humour sert en plus une intrigue génialement complexe, jubilatoire et délirante.

Oh jeeeez

Qu'est-ce que c'était que cet épisode, bon sang de bonsoir ? C'est énorme, de bout en bout. Avec les liens de Koss, c'est encore plus somptueux. Une avalanche s'est abattu sur mon écran, et j'ai adoré. Les idées étaient fabuleuses (et je le dis ici : les intros violentes sont annonciatrices des meilleurs épisodes de la série), les références bien trouvées, l'exécution sans faute.

De plus, l'idée d'avoir mis le majordome dans le générique est évidemment géniale, tout comme quelques développements comme Jerry qui est bi, Beth qui est dépressive et qui continue le trend du Rick qui a envie de se faire sauter le caisson. Puis la personne qui a eu l'idée des parasites qui ne laissent que de bons souvenirs en tête pour faire une parabole sur la famille extrêmement noire, c'est un génie. Du mal, mais un génie tout de même.

Le seul petit (mais riquiqui minus) défaut de l'épisode est le fait que je n'ai que peu d'empathie pour les personnages, au contraire de Bojack Horseman. Ce qui fait que le moment de noirceur terrible qui clôture l'épisode ne m'a pas touché autant que je l'aurais aimé.

Mais sinon, rien d'autre à dire, c'était un grand épisode de télévision.

You can tell my disapointment to suck it, because this was a super bottle episode !

Regardant les épisodes un peu à la chaîne, je ne mets pas d'avis sur cette série. Mais là, je suis obligée.

J'ai passé un super moment. L'épisode était innovant, drôle, captivant... Du générique de début à celui de fin, on hallucine devant tant de créativité. Et Mister Poopybutthole, bordel. MISTER POOPYBUTTHOLE ! J'ai adoré.

Je voulais mettre 16 à l'épisode, mais en voyant les liens de Koss, je suis obligée de rajouter un point.

Etais-je si aveugle que ça pour la première saison, pour être passer presque totalement à côté de cette série??

Car cet épisode est énorme, d'une inventivité incroyable, proche du génie. (cf le commentaire de Koss et ses liens).

Époustouflant.

Wow, alors CA c'est ce que Rick and Morty peut proposer de mieux.

Je dois avouer que malgré toutes mes réticences sur l'humour de la série là c'est juste un épisode de fou, rempli de détails comme rarement.

Le concept est génial (là on peut dire qu'ils ont exploité leur filon de A à Z), les gags sont hyper variés et jamais de mauvais goût (les parasites de l'espace ne sont pas des couilles, ça change, en bien).

Visuellement c'est top et c'est un épisode hyper rythmé. C'est toujours rempli d'un humour très trash parfois mais très drôle et encore des scènes vraiment sombres qui te laissent scotcher (Beth et son verre de vin, Mr. Puppybutthole <3).

On gratte toujours la surface des persos mais des choses toujours intéressantes transparaissent, en espérant que tout ça ne soit pas fait dans le vent (Jerry sur le bateau, Rick suicidaire, Beth dépressive...).

Un excellent, excellent épisode.

Alors là bravo, un épisode génial qui fait partit des grands de la série.

-Un bottle épisode comme on en fait plus!

Sinon j'aurais mis 17 si cet épisode avait eut des répercussions mais 2 épisodes après et bah non, plus de Mr poopybuthole en vue.

"Tell your disappointment to suck it!

I'm doing a bottle episode!"

J'adore les bottle episodes.

Ce sont généralement mes épisodes favoris, et les plus révélateurs du talent des scénaristes (ou de leur inaptitude). "The Fly", "Midnight", "Cooperative Calligraphy" et un paquet d'épisodes de Friends font aisément partie de mes épisodes cultes.

Alors quand on mélange un bottle episode avec un concept génial de science-fiction, je suis aux anges. Encore plus quand on saupoudre le tout de blagues meta sur l'intégration de nouveaux personnages dans une série (Poochie a trouvé son maître en monsieur Poopybutthole).

Non, vraiment, j'ai rien à dire. C'était parfait.

Mon dieu mais où vont-ils chercher tout ça ?! (Où est Charlie, putain ?!)

Tous ces paradoxes de présence des persos, ça m'a rappelé les plus grandes heures de Dr Who, notamment Midnight (meilleur épisode de la série) quand tout le monde se ligue contre Rick !

A un moment, j'ai eu très peur: Pendant les 2 premiers tiers de l'épisode, Morty ne faisait que de la figuration, mais quand il s'est mis à viser Rick, j'ai eu peur de trouver une faille: il a vécu tellement d'aventures avec lui que c'est absolument impossible qu'il doute de sa réalité. Ouf, c'était une ruse... ^^

Bon, par contre, il y a une chose qui me chagrine dans cet épisode: Mr Poopybutthole. Au bout d'un moment, je me suis demandé: et si, dans les personnages réels, il y avait l'un d'eux qui n'avait réellement pas de mauvais souvenirs avec un autre d'eux ? Au final, ils l'ont fait. Avec Mr. Poopybutthole. Dans les faits, c'est énorme. Mais le problème, c'est que c'est bien joli de l'avoir ajouté dans le générique (énorme ça d'ailleurs) et que c'est un personnage qu'on a déjà vu en arrière plan dans la série (énorme ça aussi), mais ça n'explique en rien le fait qu'il soit un vieil ami de la famille ! C'est complètement paradoxal ! J'espère qu'on le reverra par la suite parce que ça ne me semble pas très clair cette histoire...

Ah et puis j'ai pas non plus aimé le fait que Beth se mette à boire fébrilement 3 secondes après avoir tué Mr Poopybutthole ('tin 3 fois que je le cite: c'est vraiment un personnage important en fait ! ^^), ça faisait pas naturel, un peu sorti de nul part (malgré qu'on sache qu'elle ait un certain penchant pour la boisson)...

M'enfin ça reste un épisode énorme ! (mais qui aurait eu 17 sans ces légers accrocs)

a vache....

Si ça continue comme ça, cette saison 2 ira se loger tout en haut de mes saisons préférées. L'inventivité par épisode est folle : la parodie de "Mon Petit Poney", Frankenstein, la référence à Total Recall, Mr Poopybutthole (bordel, ce nom), le crayon qui parle et cette fin sur Beth qui se sert du vin en chialant. Et paf, écran noir.

Mais le mieux dans tout ça, c'est la présence de Poopubutthole dans ce générique ET celle du majordome qui est présent depuis le début. Ce qui est assez vertigineux puisque ça remet en cause l'existence de ce qu'on a vu (il y aussi cette phrase de Beth sur le très vague background de son père).

D'ailleurs, Puppybotthole était déjà apparu plusieurs fois cette saison (http://imgur.com/a/eyeSE). Avec ce genre de discours, les deux showrunners nous invite de façon brillante et très drôle (j'ai été plié pendant tout l'épisode) à réfléchir sur la construction narrative d'une épisode d’animation, sur les séries en général et sur ce genre très particulier qu'est le clip-show. Exactement comme le faisait Community.