Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Modifier mon avis
Avis sur l'épisode 6.23
Liste des épisodes
Episode 6.01
Le chaperon
Episode 6.02
La grande salade
Episode 6.03
La collecte de dons
Episode 6.04
La chinoise
Episode 6.05
Le canapé
Episode 6.06
La gymnaste
Episode 6.07
La soupe
Episode 6.08
La boutique familiale
Episode 6.09
La secrétaire
Episode 6.10
La course
Episode 6.11
L'échange
Episode 6.12
L'étiqueteuse
Episode 6.13
Le contrevenant
Episode 6.14
La centième (1/2)
Episode 6.15
La centième (2/2)
Episode 6.16
La couverture
Episode 6.17
La bise
Episode 6.18
Le portier
Episode 6.19
Jimmy
Episode 6.20
Le gribouillage
Episode 6.21
Le Jerry Fusilli
Episode 6.22
Le club diplomate
Episode 6.23
Le supporter
Episode 6.24
La doublure
David Puddy en mode pétage de plomb, j’adore ce personnage, même si on ne le reverra plus avant la saison 9.
Sinon ce très bon épisode pose les bonnes questions : combien de fois faut-il remercier l'obtention d'une place gratuite pour aller voir match de hockey ? Parler de sa garde-robe est-il un sujet adapté à un enterrement ? Se peindre le visage pour supporter son équipe est-il un motif de rupture ? S'entendre répondre "you know, I'm hungry. Let's get soething t eat" à "I love you" est-il recevable ? Doit-on répliquer lorsqu'un singe au zoo balance une banane ?
Encore une fois, le grief habituel est que le trop plein de mini-intrigues fait que la série n'arrive pas à tout boucler dignement, notamment en se perdant dans certaines digressions (le prêtre qui voit le Diable) quand il aurait mieux valu peut-être un vrai dénouement à l'histoire entre George et Sienna, car cette dernière n'apparaîtra plus jamais dans la série. En même temps le côté abrupt (et cruel pour George (pour une fois qu’il ressent quelque chose pour une femme, on ne l’y reprendra plus)) de cette love-story m'a bien fait rire.