Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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Avis sur l'épisode 6.04
Liste des épisodes
Episode 6.01
Le chaperon
Episode 6.02
La grande salade
Episode 6.03
La collecte de dons
Episode 6.04
La chinoise
Episode 6.05
Le canapé
Episode 6.06
La gymnaste
Episode 6.07
La soupe
Episode 6.08
La boutique familiale
Episode 6.09
La secrétaire
Episode 6.10
La course
Episode 6.11
L'échange
Episode 6.12
L'étiqueteuse
Episode 6.13
Le contrevenant
Episode 6.14
La centième (1/2)
Episode 6.15
La centième (2/2)
Episode 6.16
La couverture
Episode 6.17
La bise
Episode 6.18
Le portier
Episode 6.19
Jimmy
Episode 6.20
Le gribouillage
Episode 6.21
Le Jerry Fusilli
Episode 6.22
Le club diplomate
Episode 6.23
Le supporter
Episode 6.24
La doublure
Je suis rassuré. Je trouvais que depuis le début de cette saison, Julia Louis-Dreyfuss forçait son jeu et cabotinait un peu trop. Dans celui-là, elle est parfaite et Elaine retrouve tout le côté acide que j'aime.
Excellent épisode d'ailleurs où les 4 protagonistes ont une intrigue réussie : Jerry et sa copine, la fameuse Donna Chang, qui refuse d'accepter le fait qu'elle aime se faire passer pour une chinoise, Elaine qui fait une nouvelle fois capoter le couple de Noreen par maladresse, George et le divorce de ses parents et enfin Kramer avec ses problèmes de fécondité et le débat "caleçon ou slip". A noter que pour une fois, les deux derniers thèmes abordés sont un peu plus «graves» que d'habitude, mais jamais la série ne sombrera dans le drama et tout sera pris par dessous la jambe. Mon seul bémol est le final du subplot Noreen où Kramer devient carrément creepy quand il veut reprendre à Elaine le "contrôle" de la vie de son amie. Mais le dernier plan avec un Larry David en mode super-héros me fait fermer les yeux sur cette légère réserve.