Il y a toujours des parties dans les productions de Simon qui ne me touchent pas, m’ennuient presque, très souvent en rapport avec la politique ou le financier. Ici, c’est la storyline d’ Alston dont je ne comprends pas les tenants et les aboutissants.

Sinon, c’est top encore, la force tranquille de l’excellence. Beaucoup de deuils, y compris de manière métaphorique (la carrière de Lorie) et de très bonnes scènes (notamment Eilen et le patriarcat).

Ça sent très mauvais pour Vincent

On continue dans la lignée des épisodes précédents, en sortant un joli 16 de derrière les fagots. La série est stable dans son excellence, et on alterne entre moments tendres, émouvants et d'une rudesse incroyable.

Ce qui est dingue avec The Deuce, c'est qu'à deux épisodes de la fin, je suis incapable de dire qui va s'en sortir ou pas, tellement le destin de chacun est imprévisible. 

The Deuce est semblable au New York qui nous est présenté ici : sale, crasseux et glauque, mais pourtant, on a envie d'y rester.