Au bout d'un moment, j'avais quand même pas mal l'impression que la série n'avait plus rien à raconter, le comble arrivant avec la scène de danse. C'était beau mais bon, on n'est pas dans Flesh & Bone, quoi...

J'ai quand même bien aimé cet épisode. Je ne saurais l'expliquer mais cela restait tout de même assez intéressant.

Bon, j'espère quand même que le prochain épisode partira sur autre chose parce que je ne pense pas que je tiendrai comme ça jusqu'au 10ème épisode mais vu la fin, je pense que oui, cela va bouger...

Un bel épisode de transition, donc.

A l'image du ballet final, il y a quelque chose de fascinant à regarder ces corps se toucher, se désirer et se rejeter.

Sauf qu'il s'agit plus d'âmes et de personnalités qui se battent pour leurs convictions, leurs intérêts ou juste leurs survies.

Par contre, j'ai toujours des doutes sur la partie Dixton, beaucoup trop déconnecté du reste de l'intrigue.

Cette seconde saison d'American Crime continue sur son excellente lancée et nous délivre une fois encore un épisode fort émouvant.

Je me pose de plus en plus de questions quand à l'affaire initiale, je ne suis même pas certain qu'un viol est eu lieu ni qui blâmer dans l'histoire.

Mais surtout, ce qui frappe ici c'est la qualité des dialogues, chaque phrase est très réfléchie et c'est très agréable.

Sans compter que malgré un cast très vaste, chaque place est donnée à chaque personnage et tout se maintient très bien. Même si pour moi c'est Anne la mère de Taylor qui brille plus que les autres.

Bref, encore une fois American Crime maitrise parfaitement son sujet et j'en reste bouleversé.