Billions
Dans le monde de la finance, Chuck Rhoades, un procureur fédéral de New York, affronte certains des plus riches gestionnaires de fonds d'investissement des États-Unis. Dans sa ligne de mire, l'ambitieux et brillant Bobby "Axe" Axelrod, dont la puissance ne cesse de croître. Les deux hommes rivalisent ...
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En cours | Américaine | 60 minutes |
Drame, Drama | Showtime | 2016 |
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1.02 - Les droits de parrainage
Naming Rights
Comprenant que Chuck Rhoades ne baissera pas les bras, Axe prend des mesures pour protéger sa société de toute fuite d'informations. C'est alors qu'il apprend qu'un de ses rivaux, le millionnaire Steven Birch, fait lui aussi l'objet d'une enquête. Rhoades espère que cet homme d'affaire lui livrera des informations sur Axe...
Diffusion originale : 24 janvier 2016
Diffusion française :
24 janvier 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Neil Burger
Scénariste.s :
Brian Koppelman
,
David Levien
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 26 janvier 2016 à 04:16 |
Pas déplaisante, Billions commence à montrer ses limites : personnages archetypaux et sans profondeur, univers mal équilibré et pas suffisamment séparé du point de vue esthétique. Si le pilot brillait par sa lisibilité et son dynamisme, celui-ci apparait, une fois sa jolie scène d'ouverture evacuée, brouillon et désordonné. Visiblement inquiet que les spectateurs ne se lassent d'une exposition de deux épisodes, les auteurs lancent une intrigue autour de Jerry O'Connell qui apparait difficile à suivre. Autre problème, si les deux vedettes tiennent pleinement leurs rôles, David Constabile me parait pas très convaincant, n'ayant pas eu de vraie scène d'exposition pour poser son personnage. Plaisant, mais brouillon. |
En fait, c'est super lourdingue comme série. Zéro subtilité.
Le chantage sur la black : zéro subtilité.
La relation Axe-Wendy (qui font finir obligatoirement par coucher ensemble) : zéro subtilité.
La scène de la réunion des traders + la descente + l'humiliation publique + la psy qui menace le licencié : zéro subtilité.
Et enfin la scène final avec Axe et son tee-shirt Metallica : zéro puissance dix mille subtilité.
Et comme les personnages n'ont aucune profondeur et que la série développe peu d'enjeu (une confrontation Axe/Chuck, c'est tout), l'ennui n'est plus très loin.
(et oui, je sais que ça fait zéro)