Quoi ?! Tu ne connaissais pas la JeanGuile ?
La Flamme
La vie lui a tout donné... sauf une co-pilote. Pendant neuf semaines dans une sublime villa, treize femmes vont s’affronter pour séduire Marc, pilote de ligne, et tenter d’allumer en lui... LA FLAMME. Alors, armez les toboggans, vérifiez la porte opposée... Marc va emmener ses prétendantes au septième ciel !
Terminée | Française, FR | 30 minutes |
Comedy, Comédie, Reality | Canal+ | 2020 |
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1.04 - Épisode 4
Episode 4
Comme le veut la tradition, chacun doit se trouver un déguisement pour célébrer dignement la JeanGuile. Mais un événement va soudainement interrompre la fête.
Diffusion originale : 19 octobre 2020
Diffusion française :
19 octobre 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
Stéphan Wojtowicz
,
Chloé Lemarinel
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 09 novembre 2020 à 22:39 |
Par contre, toute la partie hôpital est lourde et ennuyeuse. |
Avis favorable | Déposé le 30 octobre 2020 à 13:16 |
Le délire festif est réussi, dommage qu'on parte assez vite sur l'intrigue à l'histoire. Beaucoup de bons gags malgré tout, même si Victoire ou Sarah m'ont semblé un peu out of character. Un peu triste de perdre Calamy si tôt, là où le stéréotype de certaines autres candidates s'épuise déjà. |
Avis favorable | Déposé le 24 octobre 2020 à 22:11 |
La Jean Guile, bordel <3 tellement absurde mais tellement bon ! J'ai adoré ! J'ai presque trouvé dommage qu'on passe une grosse partie de l'épisode dans l'hôpital. La Jean Guile se suffisait à elle même ! (Victoire en Marc, pareil, du très haut niveau) |
Avis favorable | Déposé le 24 octobre 2020 à 19:23 |
Encore du très con, donc du très bon. La Jean-Guille et son documentaire, Marc en Rasta, Valérie en infirmière mais surtout Victoire en Marc, moi, je dis un grand oui |
Avis favorable | Déposé le 20 octobre 2020 à 13:38 |
Le running gag autour de la JeanGuile est incroyable. C'est vraiment hyper drôle et constamment inventif. Globablement, l'épisode est très réussi, malgré un changement de direction pour le personnage de Sarah qui sort de nulle part. Et le p'tit "Victoire. Défaite" m'a tué. |
Ah enfin un épisode sur la Jean-Guille ! J'en ai marre que toutes les séries parlent de Noël et Halloween et autre, j'attendais ça avec impatience. Je comprends pas trop pourquoi l'épisode a perdu du temps à nous rappeler ses origines par contre ? Tout le monde connaît... que Marc passe pour un débile à ne pas savoir est tout à fait in character, mais bon, nous rappeler les horaires et l'histoire de cette fête culte, c'est un peu du remplissage...
Un bon épisode qui fait en revanche sortir Laure Calmy de son personnage et de la série, dans les deux cas c'est dommage : je trouve qu'ils ont un peu forcé le rôle de l'imitation à Victoire exprès pour faire une excuse pour la sortir, alors que cela aurait beaucoup mieux collé au personnage de Marina, rieuse et se moquant toujours de Marc. Tout ça pour qu’elle parte de la série alors qu’elle a un potentiel incroyable, là où des personnages comme Soraya sont un peu à bout de souffle.
J'ai l'impression qu'on se dirige vers une finale où on aura toujours Anne par un destin hasardeux, VS Alexandra qui va probablement jouer le rôle de la grande méchante de l'histoire. Ce sont les deux seules qui n'ont pas un gimmick qui leur est propre, qui sont “complexes” (plusieurs cordes à leurs personnages) et qui tournent toujours autour de Marc.
Sarah part également sur une simple réalisation que Marc est indigne d’être père, ce qui est certes un peu facile, mais pour le coup assez cohérent. Beaucoup de gags sont assez hilarants, que ce soit l’auto-victimisation de Marc, Valérie qui se retrouve infirmière malgré elle, le gag sur le prénom par Alexandra toujours génial, ou les interventions du présentateur toujours très bien timées.
Un des épisodes les plus inventifs, pour sûr, même si au-delà du postulat super, il n’aligne pas autant de passages cultes que les deux premiers par exemple, et possède un peu moins de gags que la norme (très dense) de la série. Je ne le trouve pas particulièrement un cran au-dessus de tous les autres contrairement à la plupart, même si je l’aime tout de même beaucoup.