Curb Your Enthusiasm
Larry et son nombril
Le moindre petit imprévu suffit à transformer en cauchemar la vie sereine que mène le producteur hollywoodien David Larry aux côtés de son épouse Cheryl.
| En cours | Américaine, US | Pas de durée |
| Comédie, Comedy | HBO, Jimmy | 2000 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
2.01 -
Le vendeur de voiture
The Car Salesman
C'est décidé, Larry et Cheryl vont s'installer en bord de mer. Ils achètent alors une magnifique maison côtière à Jay Schneider, l'agent de la vedette de télévision Jason Alexander. Mais une fois installés, ils s'aperçoivent que cette demeure n'est pas aussi agréable à vivre que ce que le vendeur affirmait...
Diffusion originale : 23 septembre 2001
Diffusion française :
23 septembre 2001
Réalisat.eur.rice.s :
Robert B. Weide
Scénariste.s :
Larry David
Guest.s :
Abby Wolf
,
Affion Crockett
,
Chip Chinery
,
Cynthia Martells
,
Dana Lee
,
Harper Roisman
,
Jason Alexander
,
Jeanne Chinn
,
Jim Zulevic
,
Matt North
,
Rick Hall
,
Shirley Prestia
,
Steven Pierce
,
Susan Segal
,
Richard Lewis
nicknackpadiwak
Allez, je reprends dans le vraie ordre cette série, tant la saison 12 m'a plu.
Donc je retrouve un Larry David un peu plus jeune (normal : 23 ans séparent cette saison à celle de 2024), avec la voix un peu moins éraillée et il faut s'y habituer, d'autant que la mise en scène, caméra à l'épaule, donne un côté amateur à l'ensemble. Entre parenthèse, c'est vraiment Richard Lewis qui a pris le plus cher durant ces années, car dans cet épisode, il ressemble encore à un humain et pas encore à la momie de la saison 12. Pour revenir à Larry, c'est un plaisir de retrouver ce personnage égoïste, de mauvais esprit et hyper-susceptible (lorsqu'on traite George Costanza, le personnage qu'il a crée et qui s'inspire énormément de lui, de looser et de dindon de la farce).
Sinon, un épisode vraiment sympa, avec Larry qui fait dans le méta en clamant ne plus vouloir faire de sitcom pour la télé (lol) et se prend l'envie de devenir vendeur de voiture, au grand dam de Cheryl.
Mais surtout, c'est un grand plaisir de trouver Jason Alexander jouant son propre rôle (?), celui d'un acteur prisonnier d'un personnage qu'il a incarné et dont il n'arrive pas à se débarrasser.