Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...

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Terminée Anglaise, GB 25 minutes
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) 1963
12.11

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Image illustrative de l'épisode 17.10 - La créature de la fosse - Partie 2

The Creature from the Pit (2)

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Diffusion originale : 03 novembre 1979

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Diffusion française : 03 novembre 1979
Réalisat.eur.rice.s : Christopher Barry
Scénariste.s : David Fisher
Guest.s : Geoffrey Bayldon , John Bryans , Myra Frances , Philip Denyer , Tommy Wright , Edward Kelsey , Terry Walsh , Eileen Way

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 17 janvier 2020 à 01:36

Doctor: Did you examine that thing's skin?
Organon: No, thank you. I was trying to avoid it examining mine.

Cette histoire a réputation d'avoir une première partie supérieure aux suivants en tout point, mais globalement celle-ci est relativement dans la même veine que la première, un peu en-dessous sans être alarmant.

Les décors de la jolie jungle sont moins utilisés, j'ai apprécié la découverte d'une sorte de vie dans le fameux gouffre, qui permet à l'épisode de jongler entre deux passages, mais il faut avouer que la caverne est quand même SUPER cheap. C'est toujours mieux que le fiasco Underworld, mais pas si bien non plus.

On sent que Tom Baker s'éclate toujours et a inséré lui-même quelques éléments de comédie. C'était en effet sa condition pour revenir en cette saison 17, en plus d'avoir Lalla Ward : de pouvoir plus toucher aux scripts. Quand il est coincé dans le puits sur la paroi et qu’il sort un livre de ses poches sur “l’alpinisme pour les nuls”, avant de s’apercevoir qu’il est écrit en tibétain, et qu’il sort donc un livre sur “les bases du tibétain”, par exemple, c'est vraiment un excellent gag.

DOCTOR: Everest In Easy Stages.
(He takes the said book from his pocket.)
DOCTOR: It's in Tibetan!
(The Doctor gets a second book from his pocket. Teach Yourself Tibetan.

Le rôle de K9 est logique et intéressant, puisqu'il est fait de métal, le matériau rare qui assure à la Reine actuelle le monopole. Dommage que cela arrive au moment où l'acteur est vraiment horrible, je le répète tellement ça me sort de l'histoire... même si c'est moins gênant que dans l'épisode 1.

La longévité de l'histoire est très questionnable : ça n'avance pas vite. La partie sur les hommes sauvages qui veulent prendre les richesses du château de la Reine, c'est assez inutile et mal écrit. La bête géante, c'est méga cheap, on sent clairement que c'est une grosse bâche en plastique éclairée par une lumière verte, c'est gênant. Sa “protubérance” phallique est assez perturbante... Le personnage de l'oracle qui accompagne le Docteur est un peu banal mais comique et bien choisi, ce qui permet de divertir un peu dans ces scènes dans le souterrain.

ORGANON: Astrologer extraordinary. Seer to princes and emperors. The future foretold, the past explained, the present... apologised for.
DOCTOR: What are you doing down here?
ORGANON: A small matter of a slight error in a prophecy.

DOCTOR: Did you examine that thing's skin?
ORGANON: No, thank you. I was trying to avoid it examining mine.

Typiquement le genre de personnages second degré qui ont sûrement été réécrits ou fortemment influencé par Douglas Adams et Tom Baker, et un bon choix selon moi car cela rend l'épisode plus fun que chiant comme la pluie (sans être non plus le summum du divertissement, on est d'accord). Car en effet les séquences dans le gouffre restent autrement beaucoup moins intéressantes que ce qu'il se passe sur la surface avec Romana et la Reine Adrasta.

Romana a en effet toujours un rôle plus actif dans l'histoire, ce qui fait assez plaisir à voir. Tout en restant captive d'une dynamique avec la Reine qui n'évolue pas beaucoup, elle est tout de même une compagne convaincante, et j'aime cette approche amazonne "les femmes dirigent par défaut" et les hommes suivent, c'est rafraîchissant dans la série classique. J'aime beaucoup les actrices jouant la reine et sa seconde, d'ailleurs. Mieux que Lalla Ward honnêtement... qui n'est pas mauvaise ici, bien qu'on ait eu à se retaper son horrible scène de "tristesse pour K9" qui constituait une partie du cliff précédent.

ROMANA: What is that thing in the pit?
ADRASTA: We call it the Creature.
ROMANA: Ah, that's original.

Pas mal de défauts retiennent cette histoire même si rien n'est foncièrement mauvais non plus. L'humour et le subtil mélange de détachement et de crédibilité de Four et Tom Baker sauvent moins les choses qu'en première partie, mais ça se suit.


11

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Galax a noté cet épisode - 11
17 janv. 2020

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