Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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| Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
| Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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18.11 -
Cercle complet - Partie 3
Full Circle (3)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 08 novembre 1980
Diffusion française :
08 novembre 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Peter Grimwade
Scénariste.s :
Andrew Smith
Guest.s :
Andrew Forbes
,
Barney Lawrence
,
Bernard Padden
,
George Baker
,
June Page
,
Norman Bacon
,
Richard Willis
,
Tony Calvin
,
James Bree
,
Matthew Waterhouse
,
Alan Rowe
Galax
Full Circle continue à rester toujours très constant dans le bon. L’idée d’une civilisation qui base toutes ses actions sur d’anciens manuels des premiers colons et se retrouve coincée dans un cycle perpétuel de réparer et détruire leur propre vaisseau, c’est assez génial. La procrastination éternelle comme divertissement car ce qui importe vraiment (faire décoller le vaisseau) est inconnu.
Le Docteur est top dans cet épisode, sa partie scientifique brille, ses déductions sont ingénieuses et il permet de débrider un peu le mystère, et son indignation face au mauvais traitement de la créature du marais par le chirurgien est très “Doctoresque” de la nouvelle série notamment. Cette saison 18 qui veut redorer l'image de Four en le montrant moins bouffon et plus sérieux, arrive bien son coup jusque là.
Romana qui change de personnalité à cause de sa morsure d’araignée et devient amnésique, c’est pas extrêmement intéressant pour le coup, même si pour l’instant ce n’est pas encore beaucoup exploité. C'est ce genre de petites idées un peu à côté qui empêche l'épisode de décoller vraiment très haut, mais le sérial est très appréciable malgré tout.
Un autre bon truc de l'épisode : tous les personnages plutôt nuancés. On ne prend pas le Docteur pour un fauteur de trouble très longtemps, et le côté oligarchie est très bien géré et critiqué par l'épisode et certains personnages, notamment la fille qui dit qu'elle n'a plus de père maintenant que ce dernier est dans la confidence hypocrite des dirigeants.
Je ne l’ai pas encore énormément mentionnée mais la musique instrumentale est vachement mieux dans cette ère pour le moment que dans la précédente, les trompettes vieillottes de Dudley Simpson ne me manquent pas trop et il était temps de passer à quelque chose de plus atmosphérique et mélodieux. Le leimotive de cet épisode est super charmant. Bonne décision de JNT sur ce point, même si Baker dira le contraire.
Rarement vu un sérial aussi constant, qui se renouvelle avec une ou deux bonnes idées à chaque partie, tout en n'étant pas totalement sans défauts. C'est tout de même clean, bien écrit, pas une seule scène n'est pas à sa place ou semble rajoutée inutilement pour comblere le temps, et l'ensemble dégage un rendu moderne.