Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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18.15 - État de décadence - Partie 3
State of Decay (3)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 06 décembre 1980
Diffusion française :
06 décembre 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Peter Moffatt
Scénariste.s :
Terrance Dicks
Guest.s :
Emrys James
,
Rachel Davies
,
Thane Bettany
,
William Lindsay
,
Arthur Hewlett
,
Clinton Greyn
,
Rhoda Lewis
,
Stuart Blake
,
Matthew Waterhouse
,
Stuart Fell
L'épisode assume pleinement ses délires gothiques et ses vampires over-the-top avec cette troisième partie assez savoureuse encore une fois. Notamment avec ce passage citant les inspirations de Dracula pour la Terre, tout en exposant le fait que plusieurs planètes ont un concept de vampires.
La bonne idée de l'histoire, c'est de lier tout cela à la mythologie Time Lord en faisant des vampires une race ennemie de Rassilon. C'est toujours plus imposant de faire des ennemis connus des Seigneurs du Temps et vice-versa.
On ne nous épargne pas quelques traditionnelles facilités du genre le cliffhanger où Romana est en danger et fait un petit cri de souris... Mais cela dit j'ai apprécié le passage où le Docteur lui fait remarquer à quel point elle reste brillante. Romana est une compagne vraiment en avance sur son temps, peut être un peu trop car elle reste piégée dans son rôle de demoiselle en détresse à quelques reprises, et s'en sort ainsi moins bien que Sarah Jane ou Leela, certes moins ambitieuses mais finalement plus débrouillardes dans les faits.
Toujours est-il qu'ici la dynamique entre tous les personnages fonctionnent bien. Adric est enfin rajouté officiellement dans l'équation et le Doc apprend qu'il les a suivi. Enfin, le concept de l'e-space et de vouloir s'en échapper donne une motivation au Doc et à Romana pour tout ce qu'ils font, ce qui permet à la série de se débarrasser des contraintes habituelles de la série de justifier pourquoi on va dans un lieu, pourquoi le TARDIS est inaccessible, etc.
Le scénario n'est pas non plus incroyable, l'ennemi se grille assez facilement, le coup des yeux hypnotisants c'est un peu nul, et le changement de "lore" par rapport à la première partie est assez étrange, mais c'est typiquement l'exemple d'un épisode solide et d'un serial constant.