Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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| Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
| Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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18.03 -
La ruche aux loisirs - Partie 3
The Leisure Hive (3)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 13 septembre 1980
Diffusion française :
13 septembre 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Lovett Bickford
Scénariste.s :
David Fisher
Guest.s :
Adrienne Corri
,
Andrew Lane
,
David Haig
,
John Collins
,
Martin Fisk
,
Nigel Lambert
,
Roy Montague
Galax
Extrêmement confuse cette histoire…
L’épisode s’embourbe dans ses intrigues politiques, ses twists sortis un peu de nulle part (“en fait, la machine sert avant tout à cloner, d’ailleurs le fils de la présidente est un clone, d’ailleurs il s’en balek de sa mère” “Romana est sauvée hors-champ in extremis par un gentil reptile qui aide les héros pour une raison obscure”, etc.). La réalisation est de plus tout aussi brouillon, avec des champs/contre-champs foirés où il manque clairement des contre-champs (ce qui fait qu’on voit un personnage parler de dos plusieurs fois), et les scènes un peu plus "dynamiques" sont illisibles. Notammnet le cliffhanger, difficile à comprendre à cause du design du Foamasi (le reptile) en carton plastique. D’ailleurs l'excuse que trouve le fils Pangol, pour raconter tout à l’humain de la pièce (“j’ai besoin d’un temoin alien”) n’a aucun sens et fait aussi très convenu pour le scénario...
C’est dommage, plutôt que de se recentrer sur une histoire exploitant la machine temporelle et la vieillesse du Docteur (le maquillage est d’ailleurs vachement convaincant), la direction prise par ce sérial vire à quelque chose de trop complexe inutilement.
J’espère que la fin donnera du sens à l’intrigue et donnera une belle fin au personnage de la présidente Mena, meilleur personnage secondaire de cet épisode d’ailleurs assez pauvre là-dessus aussi.
On a toujours un Doc et une Romana vraiment extrêmement absents, c'est sans aucun doute le sérial où ils ont le moins de répliques de tous. C'est ce qui tue un peu l'intérêt à mes yeux.
A noter que chaque épisode de cette histoire est étonnamment court (moins de vingt minutes de contenu inédit, hors génériques et reprise du cliff précédent), ce qui est fort dommage car l'épisode bâcle son background et aurait mérité plus de scènes claires.