Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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18.06 - Meglos - Partie 2
Meglos (2)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 04 octobre 1980
Diffusion française :
04 octobre 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Terence Dudley
Scénariste.s :
John Flanagan, Andrew McCulloch
Guest.s :
Bill Fraser
,
Christopher Owen
,
Colette Gleeson
,
Crawford Logan
,
Edward Underdown
,
Frederick Treves
,
Jacqueline Hill
,
Simon Shaw
Je… suis plutôt agréablement surpris. Cette partie est vachement plus engageante avec la très bonne idée du quiproquo entre les deux Docteurs sans que le vrai Docteur ne puisse se douter que le Cactus Meglos ait pris sa forme. Cela m’a laissé assez diverti tout le long. Par contre, j’ai peur que la suite ne soit pas suffisamment satisfaisante dans l’explication de plein de facilités de l’épisode (le pouvoir immense de Meglos qui peut à la fois créer des distorsions dans le temps et choisir n’importe quel humain comme apparence physique, une façon un peu convenue d'en arriver là où l'épisode veut nous emmener).
La façon dont le Doc et Romana brisent la boucle temporelle, en reproduisant eux-mêmes les moments à venir, est assez ingénieuse et plutôt méta, puisqu'ils doivent en fait faire les acteurs de leurs propres rôles. Le Docteur dit même à Romana :
Le fait que le Docteur ait déjà rencontré hors-champ le président trouve ici son utilité toute trouvée.
Je continue de penser que la construction du premier épisode était catastrophique, mais ici les concepts phares de Meglos (le clone du Docteur, le quiproquo) semblent être sous leur meilleur jour.
Bon, pour un “meilleur jour”, ça reste quand même pas OUF non plus. A noter notamment ces passages dans l’horrible jungle faite en plastique, où Romana se fait agresser par des tulipes géantes et “oulala, je comprends pourquoi le peuple s’est terré sous la surface”. DIngue de constater que ça fait 5 ans que Planet of Evil et The Face of Evil sont sortis et on n’a toujours pas reproduit une jungle plus convaincante que dans ceux-là. D'autant que s'il fallait vraiment un environnement hostile, pourquoi ne pas essayer de faire un peu plus original qu'une jungle ? Une atmosphère toxique ou un lac par exemple, j'en sais rien ?
La voix de Leeson de K9 apaise mes maux et me fait oublier le précédent interprète horrible, c’est un bon lot de consolation.
A noter que l'histoire ne sait quand même pas quoi faire de Romana, ce qui est logique puisqu'elle invaliderait immédiatement le quiproquo. C'est dommage en revanche que l'excuse trouvée soit "elle se perd dans la jungle, trébuche sur des lianes et se fait menacée de mort dans le cliffhanger". On a tout de même vu mieux.
Cette seconde partie est, comme pour The Leisure Hive bizarremment, la meilleure de l'histoire, ce qui est inhabituel. Vu que les deux premiers épisodes partagent le défaut d'avoir une ouverture cryptique peu engageante, ce n'est pas si surprenant que la seconde partie soit la plus intrigante. Mais à partir de là, les idées vont déjà commencer à s'épuiser.