Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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| Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
| Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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18.07 -
Meglos - Partie 3
Meglos (3)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 11 octobre 1980
Diffusion française :
11 octobre 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Terence Dudley
Scénariste.s :
John Flanagan, Andrew McCulloch
Guest.s :
Christopher Owen
,
Colette Gleeson
,
Crawford Logan
,
Edward Underdown
,
Frederick Treves
,
Jacqueline Hill
,
Simon Shaw
Galax
Une histoire avec un clone qui prend notamment l’apparence du Docteur, c’est censé ne jamais pouvoir planter. C’est en grnade partie grâce à ça que la partie 2 était assez acceptable au milieu de ce médiocre sérial. Et pourtant...
Là, on a à nouveau droit à Romana qui court dans les bois, dans une jungle pas non plus hideuse mais tout de même fortemment banale. K9 est tellement absent qu’on se demande ce qu’il fait encore dans la série. Remarque, vu que le Docteur est aussi très peu présent et très passif, on se demande aussi ce qu’il est arrivé à la série. Et puis ce clone au final, ils n’en font rien de particulier, dommage. On n'est toujours pas plus avancé que les personnages concernant le Dodécahédron, on ne connait toujours rien des motivations de l'ennemi.
Quand même, ça fait 5 fois que Tom Baker a dû affronter un clone à lui dans la série, c'est amusant ce à quoi on pense quand on fait face à un épisode chiant. Rien n'avance vraiment : Lexa (Jacqueline Hill, cheffe des croyants) prend le contrôle, le Docteur n'est pas cru et est donc "sur le point d'être sacrifié", Romana s'échappe et arrive enfin dans la ville mais ne rencontre qu'un protagoniste.
Et pour une direction qui se veut "plus SF", le sérial est étonnamment faible, avec donc la science du Dodecahedron qui est un mystère, le concept de l'humain qui veut s'échapper du corps de Meglos (pas une mauvaise idée en soi) qu'on répète deux fois dans deux scènes identiques sans conséquences, ou encore la terrible explication de Romana pour justifier qu'elle ne retrouve plus son chemin ("la planète tourne dans le sens anti-horaire"), qu'il vaut mieux prendre comme une blagounette et un troll face à ses ravisseurs.
Rien de fameux au contraire...