Image illustrative de Doctor Who
Image illustrative de Doctor Who

Doctor Who

Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...

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Terminée Anglaise, GB 25 minutes
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) 1963
12.11

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Image illustrative de l'épisode 1.11 - Les Daleks - Partie 7 (le sauvetage)

The Rescue

Maintenant dans les cavernes se trouvant sous la ville des daleks, les compagnons commencent, à l'aide des thals, l'invasion de la cité.

Diffusion originale : 01 février 1964

Cliquez pour voir plus d'informations sur l'épisode

Diffusion française : 01 février 1964
Réalisat.eur.rice.s : Richard Martin , Christopher Barry
Scénariste.s : Terry Nation
Guest.s : Alan Wheatley , Chris Browning , David Graham , Gerald Taylor , John Lee , Jonathan Crane , Katie Cashfield , Kevin Glenny , Kevin Manser , Marcus Hammond , Michael Summerton , Peter Hawkins , Philip Bond , Robert Jewell , Ruth Harrison , Vez Delahunt , Virginia Wetherell , Murphy Grumbar

Tous les avis

Avatar OmarKhayyam OmarKhayyam
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 20 décembre 2018 à 00:57
Spoiler

Les 5 premières parties sont fantastiques et voient nos héros survivre et commencer à serrer les coudes dans un Skaro plus apocalyptique et déconcertant que jamais. Et même si le serial s’essouffle sur sa fin, il en reste ses thématiques fascinantes et ses plans iconiques pour un résultat toujours plus attendrissant. 

14/20

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Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 06 décembre 2016 à 17:39

Un épisode éprouvant ....

- au début retour dans la grotte avec les clowns et leurs cordes, j'ai failli pleurer.

- le combat final ri-di-du-le. J'ai bien ris jaune.

- Et cette sotte de Susan qui fait l'imbécile alors que les Thals doivent être en train de pleurer leurs morts.

J'ai moins hâte de connaître où le Tardis va m’emmener...

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis neutre Déposé le 30 novembre 2014 à 21:28

Sans être la catastrophe de l’avant-dernière partie, cette conclusion reste l’autre pire épisode de ce serial. La faute à pas mal de choses : un début dans les cavernes toujours longuet et qui évoque les pires heures de l’épisode précédent, des Thals toujours aussi peu intéressants, et surtout un climax à base de compte à rebours extrêmement lent (qu’il en devient ridicule) où les Daleks se font avoir par des ficelles et des humains qui leur sautent dessus.

C’est décevant quand on repense à l’épisode 3 qui avait méticuleusement montré comment on pouvait concevoir un plan solide pour défaire un Dalek. On voit ici le moment où le Docteur développe un vrai dégoût et une vraie haine pour leur logique d’extermination systématique. Cela ancre vraiment le Docteur dans une figure de bonté (alors qu’il était tout de même un peu ambigu jusque là et conserve plusieurs défauts). En fait, on comprend que les Daleks ont été fondamentaux dans la création du personnage du “Docteur” au sens large. Comme dans la nouvelle série et dans la série classique par la suite, le Docteur se définit toujours en rapport aux Daleks. Le moment où il tente de négocier sa vie avec le TARDIS n’est pas mauvais non plus.

DOCTOR: This senseless, evil killing…

Et il y a un peu de mythologie réussie sur le Docteur à la fin, lorsqu’on apprend qu’il a été un pionnier pour son peuple mais qu’il se considère trop vieux pour cela maintenant. J’aime bien le fait qu’il mette en avant la quête de la vérité et l’exploration, plutôt que les bons sentiments. On sent ainsi qu’il a un bon fond (si on en doutait encore), mais qu’il n’exprime pas forcément de bons sentiments.

DOCTOR: To rebuild a whole new world. How I envy you.
ALYDON: But you must stay and help us. We could learn from you.
DOCTOR: Oh, no, no. I'm afraid I'm much too old to be a pioneer. Although I was once amongst my own people…

L’intérêt de ces épisodes à 7 parties est au moins d’avoir un épilogue assez fourni et satisfaisant. Les adieux avec les Thals sont assez réussis sur ce point, même si je ne suis pas fan des adieux de Barbara avec son love interest - je la préfère largement avec Ian ! Continuez de flirter, les loulous !

Reste évidemment que le climax de l’épisode est trop nul pour laisser une bonne impression. Les incohérences typiques pleuvent (les prisonniers gardés prisonniers, les échappées de couloir très connes etc.). Le combat est ridicule et ne fait pas honneur aux Daleks. Il faut se rendre compte qu’opérer un Dalek est une chose difficile : les acteurs à l’intérieur ne voient presque rien, ils doivent apprendre à se déplacer et à activer les membres amovibles (arme, ventouse et surtout les lumières quand les voice actors parlent pour eux, en synchro). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ils ont engagé des vrais acteurs pour jouer à l’intérieur des Daleks, et non pas des figurants. C’est complexe et ce n’est ici absolument pas mis en avant puisque tout sonne comme une troupe de théâtre amateur.

Dans l’ensemble, The Daleks reste un serial emblématique à voir absolument, mais surtout pour ses quatre-cinq premières parties. Il est évident que la décision de Verity d’étendre le serial de 6 à 7 parties, quoique motivée par une raison valable (développer le background de la planète et des races des mutants), n’a pas abouti à un résultat concret intéressant, puisque le serial s’effondre un peu lors de ses deux dernières parties.

Néanmoins, ce serial reste extrêmement populaire pour une raison : les Daleks ont sauvé la série sur bien des points, ont contribué à rendre Doctor Who attachant auprès des enfants, et leur design et la réalisation, même vieillots de nos jours, restent révolutionnaire pour l’époque vu le succès immédiat auprès de toute les générations d’Angleterre.

Ce n’est pas un classique en qualité, mais c’est un immanquable !

Note moyenne : 11.86/20


Avatar Freem Freem
Membre
Avis neutre Déposé le 26 juin 2014 à 17:39

Cette dernière partie est une conclusion plutôt moyenne à The Daleks. Le rythme et l'action sont heureusement plus maîtrisés que dans la 6ème partie (difficile de faire pire en même temps). En revanche, malgré les nombreux Thals qui y passent, les Daleks sont très décevants, ayant totalement perdu le charisme qu'ils avaient auparavant et on a peine à les considérer comme une réelle menace tant ils ne font plus penser qu'à de simples bêtes de foire, ce qui nuit grandement à l'épisode. Cependant l'épisode n'est jamais fondamentalement mauvais et au moins se suit sans problème.

Au final, je préfère tout de même largement The Daleks à An Unearthly Child qui était raté de bout en bout à part la première partie mais qui se suffisait à elle-même.


Avatar dewey dewey
Membre
Avis neutre Déposé le 22 mars 2014 à 21:58

Pffffiou, c'est fini ! Eh ben, c'était pas trop tôt ... Car en fin de compte, même le final ne valait pas le coup. C'est à peine mieux que la partie 6, et, bizarrement, sans être mauvais car cette fois le rythme est un minimum là et les péripéties sont raccord avec l'intrigue, cette ultime partie échoue pourtant dans à peu près tous ces objectifs.

Elle se rate dans l'affrontement final contre les Daleks, sidérant de facilité et réellement décevant (d'autant que ces derniers, qui auront toujours agît intelligemment, ne sont soudainement plus logique : quel intérêt pour eux de garder le Docteur et les Thals capturés vivants ? Ils avaient largement le temps de les tuer avant qu'Ian et les autres parviennent à couper le courant, et auraient pu bien plus facilement dealer avec les Thals restants (et cela aurait maximisé leurs chances d'atomiser Skaro), tant sur un plan technique que thématique. Les Daleks ne représentent ici plus aucune menace et la manière ridicule de les achever leur font perdre définitivement toute crédibilité (tant à eux qu’aux Thals d’ailleurs). Le fait de les faire marcher à l’électricité statique avait beau être raccord au thème de la mutation et des nouvelles dépendances qu’elle génère, ce fut une idée épouvantablement mal exploitée. Comment, malgré toute la puissance qu’ils peuvent avoir, peut-on craindre des ennemis incapables de se déplacer et de se relever une fois renversés ? Si, même si c’est difficile pour nous spectateurs de la nouvelle série (encore plus face à une telle résolution sidérante de facilité. Impossible de venir à bout des Daleks comme ça dans la nouvelle série. Inconcevable même), on ne peut décemment pas reprocher aux Daleks de ne pas encore être ce qu’ils sont aujourd’hui, on ne peut s’empêcher de se demander comment ils auraient pu résoudre leur affaire face aux Daleks qu’on connait maintenant, à quel point l’épisode aurait été plus tendu auquel cas, et on espère vivement qu’ils abandonneront cette idée pour leur prochaine apparition.

Elle se rate dans son propos anti-nucléaire et guerrier, en ne faisant jamais ressortir ce dernier alors qu'il était le seul élément narratif restant intéressant dans les 3 dernières parties de l'épisode. La manière dont les Daleks se font vaincre n'y est d'ailleurs pas probablement pas étranger, tant ça ne sonne pas avec le reste du message anti-guerrier ...

Et elle se rate dans sa conclusion, expédiée à la va-vite et de manière assez ridicule, en particulier sur la romance à laquelle on ne croyait pas une seconde entamée entre Barbara et un Thal, élément assez irritant synthétisant parfaitement à elle seule tout ce qui ne va pas dans les 3 dernières parties qui auront complètement ruinés le travail fabuleux fait sur les 4 premières, et qui aura manqué de peu de rendre l'épisode globalement mauvais.

Bref, une ultime partie décevante à la limite du mauvais, qui termine bien fadement un épisode qui avait pourtant superbement bien commencé.

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Bilan Episode 02 : The Daleks

The Daleks aurait pu être un grand épisode. Il en avait le contexte, le scénario, les ennemis (cultes, malins, puissants, fourbes et creepy), l’ambiance (démentielle, étouffante, mystérieuse, parfois même flippante), le rythme (incroyablement bon) … bref, les moyens et le potentiel. Et pendant longtemps, il était bien parti pour le devenir.

Mais à l’image d’An Unearthly Child qui avait proposé un début colossal pour une suite très moyenne, The Daleks nous tiens en haleine pendant 4 parties pour nous décevoir et nous ennuyer horriblement sur ses 3 dernières parties qui réduisent quasiment à néant tout ce que les précédentes ont pu apporter de bien, nous livrant finalement un épisode moyen à la limite du mauvais qu’on quitte sous un fort sentiment d’énervement, limite de colère. Une énorme déception, d’autant plus qu’au contraire d’An Unearhtly Child qui était de toute manière plombé par un scénario pas terrible et qui ne pouvait pas y faire grand-chose, The Daleks avait réellement le potentiel de délivrer une belle fin qui sublimerait le tout.

Le principal problème de l’épisode est simple : il n’avait pas les moyens de ces ambitions. Il est beaucoup trop long. L’épisode aurait fait un fabuleux 5 parts, voir 6 parts. Mais le scénario, du moins tel qu’exploité ici, ne laissait de toute façon pas la place pour une partie supplémentaire. Arrivé à sa quatrième partie, l’épisode a déjà tout développé et n’attend plus que sa résolution, qu’on étirera et fera traîner aussi longtemps que possible pour tenir le nombre d’épisodes requis, à travers du meublage souvent inutile (cette romance de dernière minute à laquelle personne ne croit juste là pour faire gagner du temps entre Barbara et le Thal, mon dieu …) et parfois même totalement hors-sujet (Partie 6, si tu m’entends …). Ce qui aurait pu être pardonnable si l’on meublait dans le but de préparer une résolution réussie, mais ce n’est pas le cas, car ces parties-là ne préparent vraiment pas cette dernière, qui sera d’autant plus décevante qu’elle se sera fait attendre. L’épisode aurait gagné à nous délivrer une résolution rapide et classique, mais efficace, et/ou à rendre les deux parties de la guerre moins manichéens, en particulier les Thals (ce qui n’était pourtant franchement pas le cas sur le début, mais qui le deviens horriblement sur la fin. La résolution en pâtit d’ailleurs beaucoup) pour mieux faire ressortir son propos global sur la guerre, qui s’évapore totalement sur la fin de l’épisode (c’est dommage, c’est justement ce qui lui aurait permis de rejoindre la cour des grands épisodes de la série). Ca, ou bien alors ne jamais cesser de rendre les Daleks menaçants (car il y avait là une vraie possibilité de faire comme dans l’épisode « Dalek » de l’ère Eccleston dans la nouvelle série, de nous faire compatir au sort des Daleks, de leur donner de vraies motivations qui les auraient nuancés [et là, leur faiblesse finale serait passée sans gêne, là où il est complètement ridicule de la garder si on veut en faire des purs méchants quasi invincibles, tant cela leur ôte leur dite invincibilité]. Encore aurait-il fallu pour cela que les Thals le soient aussi, nuancé. Mais là après, je comprends aussi qu’on ait voulu en faire de purs ennemis, et que les nuancer irait à l’encontre de ceci. Et ce n’est pas un problème tant que c’est assumé jusqu’au bout. Ce qui n’est pas le cas ici …)

L’épisode se sauve néanmoins du naufrage tout d’abord par la grande qualité de ces premières parties, qui nous offrent jusque-là un épisode prenant avec une ambiance incroyable et des ennemis d’anthologie, mais aussi grâce à un développement du background de la série fort sympathique (on apprend pas mal de petits détails sur le T.A.R.D.I.S.), et surtout grâce à une évolution et un développement des personnages et de leurs rapports vraiment fascinants et bien pensé, qui nous fait nous attacher définitivement à ce petit groupe bien bancal à la base. D’autant que, peut-être Barbara mise à part (et encore … quoi qu’il en soit, la suite de la série ne manquera pas à de mainte reprises de lui faire la part belle), tous ont leur utilité et leurs grands moments (Ian, le Docteur, et, chose qui se raréfiera malheureusement un peu trop par la suite, Susan).

Bref, The Daleks est donc un épisode moyen assez décevant tant il aurait pu être énorme si seulement il avait duré une ou deux parties de moins et que sa fin avait été mieux foutue alors qu’au final il n’atteint, dans sa globalité, à cause de ses 3 dernières parties, même pas le niveau global d’An Unearthly Child (même s’il n’en est vraiment pas loin), mais qui a tout de même son lot de moments forts et de bonnes idées. Si l’intrigue laisse finalement bien trop à désirer, il est clair qu’on se souviendra pourtant très bien des Daleks et qu’on attend avec impatience leur prochaine intervention, qu’on espère bien plus musclée.

Note de l'épisode (Moyenne des parties) = 11,71/20

5 réponses
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Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 22 mars 2014 à 20:18

Grand classique de Doctor Who, le Docteur est prisonnier des Daleks, et tente de les convaincre par la seule force de son discours. Il négocie le Tardis et tente de détourner les créatures de leur but premier, malheureusement sans succès. Bien sûr, le scénario met encore ses gros sabots lorsque les Daleks enclenchent le compte à rebours diabolique, nécessaire à tout climax. Mais il faut bien attendre 10 minutes pour que celui-ci soit vraiment engagé, le début de l'épisode accusant le coup du rythme abominable de la partie précédente.

Et … La résolution est décevante. Vraiment. Les Daleks ne sont pas menaçants un seul instant, et ils échouent comme des débutants face aux Thals qui se contentent de s'accrocher à eux. Un happy-end bien crétin et facile, doublé d'un baiser entre Barbara et Ganatus complètement ridicule.

Si l'épisode vaut la peine d'être vu, c'est encore une fois pour Hartnell, qui cette fois joue un Docteur plus modéré, qui refuse de donner des conseils mais privilégie toujours la vérité aux autres valeurs. C'est aussi l'occasion pour lui d'évoquer sa planète, et les quelques mystères qui l'entourent. C'est une première depuis le pilot, et cela fonctionne plutôt bien. Malheureusement, il s'agit du seul bon côté d'un épisode qui n'est pas à la hauteur de ses ambitions, offrant une bien piètre porte de sortie aux ennemis les plus emblématiques du Docteur. Mais leur retour ne saurait tarder, j'en suis sûr …


9.86

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