Image illustrative de Doctor Who
Image illustrative de Doctor Who

Doctor Who

Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...

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Terminée Anglaise, GB 25 minutes
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) 1963
12.11

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Image illustrative de l'épisode 2.01 - La Planète des Géants - Partie 1

Planet of Giants

Le Tardis se rematérialise sur terre à une période contemporaine. Toutefois, les voyageurs, en sortant du vaisseau, y rencontrent un ver et une fourmi géante.

Diffusion originale : 31 octobre 1964

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Diffusion française : 31 octobre 1964
Réalisat.eur.rice.s : Mervyn Pinfield
Scénariste.s : Louis Marks
Guest.s : Alan Tilvern , Frank Crawshaw

Tous les avis

Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 14 octobre 2017 à 11:22

Chéri, j'ai rétréci le Doctor. ou plutôt l'Homme qui rétrécit, le film de 1956 pour une référence plus certaine (le chat).

Très bon épisode, même si le suspense est éventré très vite (Planet of Giants, le vers de terre génat, toussa, toussa), l'aventure proposé est originale et (n'ayons pas peur des mots) vertigineuse.

Dommage que cette histoire de crime superflu alourdit un concept qui n'en avait pas besoin.


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 25 septembre 2015 à 23:31
Spoiler

DOCTOR: Death, you see, has it's own particular posture and appearance.

Trois parties dans un serial, c’est rarissime dans la série classique et c’est pourtant un format qui marche bien. Cela donne un certain rythme qui se vérifie dès la scène d’intro où le TARDIS est, une fois n’est pas coutume, en malfonction. Cette scène part d’une bonne idée “les portes se sont ouvertes en pleine matérialisation”, et même si elle a un côté théâtral mal joué, le scanner qui casse permet une petite montée en tension au début. En plus, elle aura une conséquence très intéressante et bien traitée.

Ce côté théâtre se retrouve dans les décors et la réalisation : les personnages sont filmés toujours devant un seul mur, les items géants qu’ils découvrent suite à leur miniaturisation sont souvent hors-champ mais CLAIREMENT dans leur champ de vision à eux, mais ils ne font mine de les découvrir que lorsque la caméra commence à glisser vers le côté.

Toujours est-il que ce mystère de décor et d’animaux géants est très sympa, un des concepts les plus créatifs encore à ce jour en SF, très peu repris dans la fiction alors que c’est très utile pour faire du danger à partir de rien du tout, comme un simple homme qui ramasse une boîte d’allumettes. D’ailleurs, là où l’épisode aurait pu se limiter à simplement gérer les dangers des insectes géants, il fait le choix malin de tous les tuer (on s’épargne des incohérences sur le nombre d’insectes, et on économise de l’argent) pour s’attarder à la place sur un subplot à base d’humains qui découvrent un pesticide mortel révolutionnaire.

BARBARA: What would kill insects in a perfectly ordinary garden. I mean, pests one can understand, but surely it's wrong to bees and worms and things, isn't it?

Le message écologiste sous-jacent est intéressant et, comme souvent, avant-gardiste pour l’époque, puisqu'on voit que le danger ne vient pas de la nature, mais de l'Homme.

FARROW: Not this time. This isn't business, this is science.

D’autres concepts liés à cette miniaturisation sont explorés et ce sont de bonnes idées : les voix humaines qui apparaissent comme des grondements, les tremblements de terre lors de pas, la silhouette qui apparaît comme une ombre géante, un coup de feu qui sonne comme le tonnerre, l'insecticide en problème mortel, etc. D’ailleurs même si c’est minime, l’épisode fait un peu appel à notre mégalophobie qui est en nous…

Et s’il ne nous faut pas longtemps pour comprendre qu’ils ont été miniaturisés, eux aussi ne tardent pas trop à découvrir la vérité (typiquement le genre de choses qui auraient été laissé en cliffhanger si le serial avait duré 4 parties), en révélant la chose par étape, en commençant par le fait qu’ils sont sur Terre notamment. Le montage entre les deux groupes qui comprennent petit à petit qu’ils sont miniatures était assez dynamique. C’est le Docteur d’un côté et Susan de l’autre qui comprennent, et Susan est d’ailleurs au départ meilleure qu’à son habitude - bien qu’elle reprenne vite son habitude de crier…

Même si peu de choses démarquent nettement la fin de saison 1 du début de cette saison 2, c’est un plaisir de retrouver notre groupe TARDIS avec une dynamique toujours agréable par rapport aux débuts de la série. On les sent soudés, notamment quand Barbara reçoit des excuses du Docteur. On n’échappe pas à quelques séparations inutiles cela dit ; d’ailleurs, quand le groupe retrouve Ian, personne n’est “content”, comme si on avait oublié qu’ils passaient du temps à le chercher, un faux-raccord très gênant.

Toujours est-il que c’est une première partie très créative, rythmée et laissant penser qu’il y a encore des tas de choses à revendre !


14.5

4 notes

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Avatar de Mmaginère
Mmaginère a noté cet épisode - 14
25 août 2022
Avatar de OmarKhayyam
OmarKhayyam a noté cet épisode - 14
26 déc. 2018
Avatar de nicknackpadiwak
nicknackpadiwak a noté cet épisode - 15
14 oct. 2017
Avatar de Galax
Galax a noté cet épisode - 15
25 sept. 2015

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