En thérapie
Paris, automne 2015. Dans le cabinet d’analyse de Philippe Dayan, près de la place de la République, se succèdent jour après jour une chirurgienne en plein désarroi amoureux, un couple en crise, une ado suicidaire… Mais, un soir de novembre, des tueurs entrent dans Paris. Quelques jours plus tard, un agent de ...
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| En cours | Française, FR | 26 minutes |
| Drama, Drame | Arte | 2021 |
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1.01 - Ariane – lundi 16 novembre 2015, 9h
Episode 1
Un cabinet de psychanalyse dans le 11ème arrondissement de Paris. Ariane, jeune chirurgienne, est depuis un an la patiente de Philippe Dayan. Après les attentats, elle s’est retrouvée en première ligne à l’hôpital et a passé un week-end cauchemardesque. Pourtant, aujourd’hui, elle n’est pas là que pour ça : elle se sent enfin prête à partager un lourd secret avec son thérapeute...
Diffusion originale : 28 janvier 2021
Diffusion française :
28 janvier 2021
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Tous les avis
Guismo
nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 29 mars 2021 à 14:47 |
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Ce pilote donne un peu l'impression que pour un premier épisode, les auteurs ne voulaient pas d'une séance psy standard et ont désiré en mettre plein la vue, afin d’accrocher le spectateur. Car d'entrée, un transfert amoureux, c’est tapé fort, très fort, trop fort même. Après, si ces 30 minutes ressemblent parfois à un lexique de la psychanalyse pour les Nuls ("Freud appelle ça.."), je dois admettre que ça a marché sur moi. Puis revoir Mélanie Thierry après No Man's Land m'a fait plaisir, même en mode madeleine. |
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Gizmo| Avis défavorable | Déposé le 16 mars 2021 à 10:19 |
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C'est un cas d'école de faire un pilot aussi à côté de la plaque sur un sujet aussi complexe. Frédéric Pierrot est plutôt bon dans son rôle de confident stoïque tandis que Mélanie Thierry donne tout pour rendre son personnage convaincant, tombant dans un surjeu assez agaçant. Mais le pire reste l'écriture. Comme l'écrit Koss, on tombe dans le pire cliché de la relation psy/patient, et je trouve que les strates narratives développées pour parvenir à la conclusion finale est franchement catastrophique. Tout est trop écrit, trop téléguidé, trop grossier, comme si la série craignait de perdre son spectateur si elle n'allait pas immédiatement à l'évidence et au sensationnel (l'exercice de style attentats > attirance pour son psy est une chorégraphie périlleuse à ne pas reproduire chez vous). Un paradoxe quand on aborde un sujet aussi gracile que la psychanalyse. Apparemment cela s'améliore par la suite, mais pas sûr que je m'y engage... |
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Koss| Avis défavorable | Déposé le 16 février 2021 à 10:09 |
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Éric Toledano et Olivier Nakache ont dit plusieurs fois en interview qu'idéalement, ils préféreraient que la série soit de l'audio (comme Calls). C'est tout à fait vrai et c'est à la fois la force et la faiblesse de la série. Cela joue très bien et comme d'habitude Frédéric Pierrot est absolument génial. C'est vraiment une série d'acteurs, construits par eux et pour eux. La contre-partie, c'est la mise en scène, assez faiblarde, presque du champs-contre champs. Le scénario ne vient pas servir non plus ce premier épisode. Je pense qu'avoir mis d'entrée le cliché de la patiente amoureuse de son psy (soit le plus gros cliché sur ce métier) était une mauvaise idée, pour impliquer le spectateur. Je suis globalement resté à l'extérieur de cette histoire déjà vu 100 fois et je me suis assez ennuyé. |
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J'avais adoré la version originale américaine et j'étais donc impatient de découvrir cette version de chez nous à la sauce attentat du 13 novembre.
Ce pilot est un copié collé de la version US, je m'attendais à plus d'originalité, ils ont repris la même histoire, une patiente qui avoue être amoureuse de son thérapeute, si je me rappelle bien même la scène du vomi est identique. C'est dommage je trouve et la suite risque d'être également une pâle copie de l'original.
Après pour ceux qui connaissent pas la version originale "In treatment", ça reste un bon épisode avec deux très bon acteurs et des bons dialogues. C'est du champ contrechamp en huit-clos, une séance de psy tout à fait banal (a part la déclaration) donc faut pas s'attendre à quelque chose d'exceptionnel, faut aimer le délire, moi j'aime bien !