Encore un tour de passe-passe de la série qui arrive à rendre distrayant un épisode bien mal embarqué dans des storylines pourries (l'anniversaire du fils de Jizzlord ou Carrie qui semble ignorer le concept de outing). Mais malgré ces intrigues boulets, la série garde le cap et au final emporte l'adhésion, notamment l'histoire dans l'appartement où revoir la team des super-héros justiciers fait plaisir, tandis que la confession de Carrie sur la relation de son ex est touchante (si on m'avait dit un jour que ce seraient les intrigues avec Kash au centre qui m'amuseraient le plus, je ne l'aurai pas cru).

Du côté de Jen, c'est plus compliqué. Pas tant que l'idée de donner une famille oubliée à Jizzlord soit mauvaise, mais c'est le traitement de Nora, présentée comme la reine absolue et sans rédemption des biatchs, qui est pénible. En soi, son pétage de plomb final (très cringe) et la révélation du père de l'identité du père d'Alfie promet (je l'espère) que ce fil rouge sera mis définitivement au placard.

Comme d’habitude, la partie Jizzlord gâche tout. Mais Carrie et Cash, c’était top ! Contente que Carrie s’exprime enfin.