Bon, ... désolé, cette fois ci, c'est trop gros et trop con, rien à faire, la pilule n'est pas passée tant les problèmes sont nombreux dans cet épisode particulièrement cousu de fil blanc. Les mauvaises idées s'accumulent, les approximations se multiplient, du message de la mère remis après le départ du bus... heureusement qu'ils n'ont pas pris le premier... rien ne colle dans ce scénario qui met en évidence une vérité : cette série ne s'appuie sur rien de tangible.

Peut-être est-ce le format de la série d'origine qui n'est pas soluble dans le chaudron des networks US... peut-être... en tout cas, je n'ai rien à sauver de cet épisode qui sert juste à effacer les suspenses bidons mis en place jusqu'ici. Pourquoi les enfants ne préviennent-ils pas la police, pourquoi le petit copain tape comme un sourd sur la porte de ses futurs beau-parents (potentiel), pourquoi la mère abandonne ses deux enfants dans une ville où ils ne connaissent rien ni personne pour un mari qui ne veut pas être sauvé... et j'en ai encore d'autre !

Le pire, la séquence la plus insultante à mes yeux, reste la séquence où Sandrine se retrouve prise au piège par un Dana Ashbrook peroxydé qui ... ben, non, il est bien en fait, mais la scène est tellement hors contexte que cela en devient ridicule. Les scénaristes ignorent tellement les tenants et les aboutissants qu'ils jouent la montre par une multitude de non dits très très agaçants... une belle storyline parallèle pourri, qui n'est que celle du fils déplacé à un autre personnage.

Naze et insultant.