Je ne pouvais pas passer à côté du miracle inespéré qu’est une nouvelle (dernière ?) réalisation de John Carpenter, plus de dix ans après le dispensable The Ward. Même si je n’y attendais rien de fabuleux.

Et en effet, mis à part qu’on y retrouve la thématique chère au Maitre qu’est la paranoïa, qu’on ressent des relents sympathiques de son séminal Halloween et que le dénouement où l’on apprend que ce harcèlement dure toujours et que le coupable n’a toujours pas été retrouvé est inattendu, l’épisode ne propose rien de bien fabuleux, ni d’inoubliable, le tout n’étant pas aidé par l’actrice principale qui a un peu tendance à surjouer.

Bref dans la carrière de John Carpenter, un point peut être final totalement anecdotique.