Kiznaiver
L’histoire se déroule dans la ville fictive de Sugomori City. Un jour, le taciturne Katsuhira est sélectionné pour être un Kiznaiver, un utilisateur du système Kizuna qui permet de partager ses blessures en étant connectée à d’autres personnes. Mais le système Kizuna est encore incomplet pour la mise en ...
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Terminée | Japonaise | 25 minutes |
Comédie, Drame, Animation, Anime, Comedy, Drama, Romance, Science-Fiction | Tokyo Broadcasting System | 2016 |
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1.03 - Aussi pourrie que soit la situation, il faut regarder le bon côté des choses !
Depending on How You Look At It, I Think We Could Get Through Anything... Right?
The kids find out that there's actually one other Kiznaiver, and they go to find this mysterious figure.
Diffusion originale : 23 avril 2016
Diffusion française :
23 avril 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Kazumasa Ishida
,
Kengo Saitō
,
Yūichi Shimodaira
Scénariste.s :
Mari Okada
,
Yuzuru Tachikawa
Guest.s :
OK, il m'a fallu trois épisodes pour me faire une idée car, dans la catégorie un peu barré #Japon, cela se pose là et quiconque voudrait essayer doit savoir que l'anime est très particulier sur tous les points de vue. Le jeu est ici de créer une équipe composé de sept adolescents qui incarnent chacun un péché capital nouvelle version et de leur faire partager un réseau global tournant autour de la souffrance pour régénérer de l'empathie.
A première vue, c'est un Shonen et les personnages sont des archétypes très marqués, mais aussi des singularités par leur comportement assez imprévisible et leur attitude clairement asocial. Pris comme ça, le show serait une nième série pour ado un peu à l'ouest, mais elle profite aussi d'un cara design excellent, d'une animation très vivante et de moments de comédie réjouissante.
Drôle et enjoué, Kiznaiver abuse des clichés, mais assume totalement ses propres incohérences en ne cherchant qu'à surprendre par la nature décalée de ses personnages. Soyons clair, si vous voulez une intrigue forte et dramatique, passez votre chemin, cette série joue beaucoup avec l'inconséquence et une mentalité très gamine sans être harassante ou agaçante.
Vingt minutes amusantes et déjantés dans un univers qui cherche à regrouper toutes les références des animes pour mieux en rire via la rupture avec une réalité très figée et sage. Seul point noir, la mythologie est un mumbo jumbo sans fin qui aura beaucoup de peine à nous emmener quelque part.
Voilà un moment que je me cherchais un guilty pleasure, mission accomplie.