surtout celui de Maurice font diablement plaisir
Ah bon ? Depuis quand ?
Samy débarque à Bruxelles au lendemain du vote du Brexit. Jeune assistant parlementaire fraîchement engagé, il ne connaît pas grand-chose aux institutions européennes, mais espère s’en tirer au charme et au bagout. Par maladresse, il se retrouve chargé de faire adopter un amendement sur la pêche. Il va ...
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En cours | Française | 25 minutes |
Comedy, Mini-Series, Reality | france.tv | 2020 |
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Alors que Samy et Valentine croient avoir trouvé l’arme parfaite pour forcer la main des Néerlandais, ils découvrent qu’ils ont en fait glissé un caillou dans leur propre chaussure. Samy va devoir choisir entre le Blue Deal, sa conscience et sa petite amie. Après un discours improvisé, Michel goûte aux joies du plébiscite populaire, ce qui n’est pas sans inquiéter les hautes sphères de l’Eurocratie.
Diffusion originale :
Diffusion française :
09 mai 2022
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
Avis neutre | Déposé le 21 septembre 2022 à 15:27 |
Sans Rose et Torsten, ce parlement est triste. En effet, un bien morne épisode qui cumule trop de personnages détestables (Valentine, Martin Kraft, ce qu'est en train de devenir Samy) ou lourdingue (Bertrand, ce quoi ce mec ?), et histoire de remplir la coupe, fait même revenir l'affreux Maurice. Reste la partie sur Dragan, sacrifié sur l'hôtel des ambitions politiques et du Blue Deal, et la discussion sur la hiérarchisation des "combats" politiques qui sauvent un peu le bouzin de ce bien sinistre épisode. |
Avis favorable | Déposé le 17 juin 2022 à 11:00 |
Le retour de Michel et surtout celui de Maurice font diablement plaisir. Le fait que les scénaristes utilisent le partenariat avec Konbini pour montrer la vacuité du média est même assez malin. Bonne idée aussi de mettre Samy dans le rôle d'Ingeborg, en reversant complètement les rôles. Après ça marcherait beaucoup mieux, si lui-même ne se faisait pas duper par la femme du conseil européen, alors que le piège est évident. Là aussi, le fait que Samy (comme Rose et Torsten) n'évolue pas vraiment pose un peu un problème. En revanche, l'utilisation cinématographique de l'architecture particulière du Parlement de Strasbourg est peut-être la meilleure idée de cette deuxième saison, avec des vraies constructions de cadre, qui témoignent souvent du rapport de force au moment du récit. Et il y a Clément "zéro charisme" Beaune qui fait coucou aussi. Au moins, ça clarifie la couleur politique Valentine. |
Ça arrive parfois.
Quand une excellente première saison prend toutes les mauvaises décisions dans sa suite et devient cet objet informe qui nous fait oublier ce qu'on a tant aimé par le passé.
Ici donc, le délitement de tous les personnages réduits à leur caricature. Personne n'est épargné à ce stade, et la série en devient même contreproductive dans son message avec ce portrait de Michel, devenu la caricature de lui-même, manipulé par les allemands. C'est vraiment trop grossier pour une série qui essayait par son humour de distiller quelques subtilités du Parlement Européen.
Je peux sauver cette fin d'épisode où Samy devient effectivement Ingeborg en reproduisant avec Dragan le plan qu'il avait lui-même subi en fin de saison passée. Mais là aussi, le personnage de la copine activiste n'a été qu'un outil scénaristique bien piteux pour créer un conflit et repousser la romance avec Rose. C'est bien piteux.
Bon, au moins on nous a épargné Torsten cette fois-ci.
La saison 3 est beaucoup mieux (si ça peut te rassurer)