A peine croyable un tel niveau de nullité pour une production HBO...
Lovecraft Country
Atticus, accompagné de son amie Letitia et de son oncle George, va se lancer dans un road-trip à travers l'Amérique ségrégationniste des années 1950, à la recherche de son père disparu. Une lutte s'engage à la fois pour survivre et surmonter les terreurs racistes de l'Amérique blanche ainsi que les monstres ...
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Terminée | Américaine | 58 minutes |
Drama, Horror, Fantasy, Action, Mystery, Science-Fiction, Thriller | HBO | 2020 |
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1.03 - Fantômes martyrs
Holy Ghost
Dans l'espoir de renouer avec sa soeur Ruby, Leti transforme un immeuble victorien délabré du North Side de Chicago en pension de famille. Cette initiative alimente le racisme dans le quartier et réveille les esprits en sommeil qui sont coincés dans la maison. Pendant ce temps, Atticus reste accablé par une conscience coupable.
Diffusion originale : 30 août 2020
Diffusion française :
30 août 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Daniel Sackheim
Scénariste.s :
Misha Green
Guest.s :
Deron J. Powell
,
Mac Brandt
Tous les avis
Avis défavorable | Déposé le 06 septembre 2020 à 09:36 |
Au début, j’étais perturbé. Leti en mode enchantée vient d’acheter une maison, tandis que plus tard Tic et Dee font la cuisine de bonne humeur et en dansant. J’étais perdu : George ne vient-il pas de mourir à la fin de l’épisode précédent ? Est-ce un flasback ? Une dimension parallèle ? Bah non, c’est bien ça, le tonton est mort, on l’a enterré, mais la série a besoin d’avancer donc on passe très vite à autre chose. Donc Leti a acheté une maison et celle-ci s’avère hantée. C’est vraiment pas de bol de chez pas de bol, après les monstres de la foret et la secte invocatrice de démons des épisodes précédents. Bref, ce fut le coup de grâce et j’accélérais le visionnage de l’épisode pour apercevoir de temps en temps de vilan jumpscares et de très très très moches effets spéciaux. En conclusion : - Mettre Lovercraft dans le titre est une publicité mensongère. A part 2 ou 3 clins d’œil, il n’y a rien de commun avec l’esprit des écrits de ce dernier. C’est juste un argument de vente. - Jonathan Majors joue comme un cochon. - LC n’a aucune ambition et ne va faire que déployer des intrigues débiles avec des monstres, se servant de la dénonciation du racisme de temps en temps, histoire qu’on parle d’elle. - LC est une grosse bouze, un navet intergalactique, bête comme une chaise. J’arrête les frais. |
Comme prévu, on se retrouve devant cette idée de livre constitué de petites nouvelles a priori presque indépendantes, avec très peu de points communs, mais qui s'emboîtent parfaitement à la fin (oups, pourquoi je spoile...). C'est encore plus déroutant à l'écran. Mais de là à dire qu'on est loin de l'univers de Lovecraft... Si quelques uns le pensent, c'est qu'il y a un petit échec. Cependant chacun se fait sa propre idée de cet univers (c'est le principe de la lecture), et le fait de vouloir le mettre à l'écran, où la place pour l'interprétation est beaucoup moins importante, fait forcément quelques déçus. C'était notamment le cas avec Castle Rock, la série hommage à l'univers de Stephen King, qui selon moi est réussie mais n'a rien à voir avec l'idée que je me fais des romans et de l'univers de King.
Bah si tout de même, je n'ai pas tout lu, mais je n'ai jamais vu des monstres de la foret comme dans le pilote ou les affreux fantomes moches en CGI de celui-ci. Jamais.
Je te taquine un peu, mais c'est parce ce que j'aime ça. :)