Monster: The Ed Gein Story
Monstre : L'Histoire d'Ed Gein
La choquante histoire vraie d'Ed Gein, l'infâme tueur et pilleur de tombes qui a inspiré bon nombre des meurtriers les plus emblématiques du cinéma hollywoodien.
| Terminée | US | Pas de durée |
| Drame, Crime | Netflix, | 2025 |
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1.02 -
Secrets toxiques
Sick as Your Secrets
Tourmenté par des visions atroces, Ed fait de son obsession de la mort un hobby monstrueux. Des années après, fiction et réalité se heurtent sur le tournage d'un film hollywoodien.
Diffusion originale : 03 octobre 2025
Diffusion française :
03 octobre 2025
Réalisat.eur.rice.s :
Max Winkler
Scénariste.s :
Ian Brennan
Guest.s :
Potsch Boyd
,
Torrey Hanson
,
Robin Weigert
,
Mimi Kennedy
,
Rondi Reed
,
Ethan Sandler
,
Jackie Kay
,
Alvin Cowan
,
Cinda Adams
,
Aidan Alexander
,
Marwa Bernstein
,
Dusty Sorg
,
Brody Schaffer
,
Parker Sands
,
Lincoln Hoppe
,
Sawyer Holt
,
Juan Pablo Gamboa
,
Samuel Dunning
,
Allie Davis
Tous les avis
nicknackpadiwak
cedric2506| Avis favorable | Déposé le 20 octobre 2025 à 22:40 |
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Sacrée claque cet épisode. Belle prouesse en terme de réalisation de mélanger aussi bien la partie ed gein et la partie hitchcock. J'ai adoré également que la série questionne aussi ouvertement le spectateur : pourquoi cette fascination des gens pour les tueurs en série? Qu'est ce que ça dit de nous? Charlie Hunnam l'a d'ailleurs très bien expliqué : « Est-ce qu’Ed Gein est ce garçon maltraité, isolé, atteint de troubles mentaux jamais diagnostiqués, dont la souffrance s’est manifestée de façon monstrueuse ? Ou bien le véritable monstre, c’est la légion de cinéastes qui se sont inspirés de sa vie pour en tirer du divertissement, en noircissant un peu plus la psyché américaine au passage ? Est-ce qu’Ed Gein est le monstre de cette histoire, ou bien est-ce Hitchcock ? Ou peut-être que le monstre, c’est nous, puisque nous la regardons. » |
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Donc comme prévu, la série apporte une nouvelle couche à l'histoire d'Ed Gein en y intégrant carrément Hitchcock en plein préparation de son culte Psychose. C'est vraiment une bonne idée, d'autant que la saison continue via cette mise en abyme d'interroger sur la notion de perversité (Alfred qui regarde en cachette ses actrices se changer), tandis qu'en dépeignant le personnage d'Anthony Perkins en homosexuel caché, on poursuit le parallèle sur la sexualité déviante d'Ed (moment fort où la psy insiste fermement pour que l'acteur se "soigne" qui rappelle évidement la mère d'Ed). Je reste toujours réservé vis à vis des parties sur les nazis et l'ensemble a parfois l'allure d'un gloubi-boulga pas toujours maitrisé, mais j'avoue que le remake colorisé (et crue comme l'aurait sans doute voulu Hitchcock) de la scène de la douche de Psycho fait son petit effet.