Monster: The Ed Gein Story
Monstre : L'Histoire d'Ed Gein
La choquante histoire vraie d'Ed Gein, l'infâme tueur et pilleur de tombes qui a inspiré bon nombre des meurtriers les plus emblématiques du cinéma hollywoodien.
| Terminée | US | Pas de durée |
| Drame, Crime | Netflix, | 2025 |
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1.03 -
La baby-sitter
The Babysitter
Ed cherche à nouer des liens de façon étrange, entre rencard nocturne glauque et spectacle de magie grotesque, avant de nourrir un ressentiment tenace.
Diffusion originale : 03 octobre 2025
Diffusion française :
03 octobre 2025
Réalisat.eur.rice.s :
Max Winkler
Scénariste.s :
Ian Brennan
Guest.s :
Robin Weigert
,
Brock Powell
,
Alanna Darby
,
Torrey Hanson
,
Emily McEnroe
,
Sabrina Haskett
,
Will Brill
,
Marla Robison
,
Greyson Reilly
,
Harry Ostrem
,
Mallory Nagata
,
Abigail Marlowe
,
Madeline Logan
,
Richard Halpern
,
Michael Engberg
,
Amanda Drinkall
,
Timothy Davis-Reed
,
Sam B. Carson
,
Victoria Atkin
,
Cortes Alexander
,
Darin Cooper
,
Bernard David Jones
,
Mimi Kennedy
nicknackpadiwak
Alors c’est peut-être volontaire, de manière hyper méta, mais j’ai du mal à croire au personnage d’Adeline et de son actrice, que je trouve trop « moderne », physiquement ou dans son comportement lorsqu’elle se jette sur Ed pour coucher avec lui dans le cimetière, pour une fille des années 50. Mais c’est d’ailleurs toutes les parties sur Ed Gein qui me convainquent peu et durant lesquels je m’ennuie un peu, car la série semble chercher sa voie, ce qui se traduit par l’utilisation d’Ed, parfois benêt victime de crise de schizophrénie, mais aussi parfois boogeyman à la Michael Myers, en passant par les clins d’œil poussés à Leatherface. Et donc, je me réveille véritablement lorsqu’on revient à Hitchcock, Perkins, ou mieux, ici, lorsqu’on finit sur
le tournage de Massacre à la Tronçonneuse. J’espère d’ailleurs qu’un prochain épisode va s’attarder sur le tournage de ce film qui, parait-il, était assez particulier et fou.
Il y a une très sympa envie de parler de la représentation des faits divers et de l’horreur sur l’écran, mais la série semble l’oublier lorsqu’on revient dans le Wisconsin des années 50. Ou alors c’est moi qui passe à côté.