Mr Selfridge
Harry Gordon Selfridge lance en 1909 le premier grand magasin londonien, dans le but de rendre le shopping aussi excitant que le sexe. Véritable visionnaire et pionnier, il met un point d'honneur à offrir un lieu magique présentant toute une série d'articles de façon étonnante, inédite, amusante, voire ...
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Terminée | Anglaise | 60 minutes |
Historique, Drama | ITV1, ITV | 2013 |
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1.01 - Naissance d'un grand magasin
Episode 1
Au début du XXe siècle, Harry Gordon Selfridge, ambitieux entrepreneur originaire de Chicago, débarque à Londres avec toute sa famille : épouse, mère et enfants. Abasourdi de découvrir l'état des vitrines des magasins, Selfridge se lance un défi : ouvrir, dans l'année à venir, un magasin digne de ce nom et réconcilier ainsi les Londoniens avec l'art du shopping. Mais dès le début, le projet se place sous de mauvais auspices : certains le vouent à l'échec en raison de l'emplacement choisi, et le partenaire de Selfridge se retire...
Diffusion originale : 06 janvier 2013
Diffusion française :
06 janvier 2013
Réalisat.eur.rice.s :
Jon Jones
Scénariste.s :
Andrew Davies
Guest.s :
Je n'ai pas (encore) vu The Paradise donc la série ne souffre pas de la comparaison me concernant. N'étant pourtant pas un grand fan de ce genre de séries à la base, j'ai trouvé ça malgré tout pas mal.
Jeremy Piven fait globalement du Ari Gold, mais le personnage d'Harry Selfridge dispose tout de même d'une dimension dramatique intéressante. Il y a également quelques bonnes idées de mises en scène.
Le problème, c'est qu'à part ça il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. On a bien le stéréotype de la jeune employée qui tente de faire sa place, mainte fois utilisé dans ce genre de séries, même si plutôt sympathique. Les autres personnages sont quant à eux sans saveur, on a des intrigues amoureuses qui commencent tout naturellement à se former, et je ne suis pas sûr que le quotidien d'un magasin de mode parvienne à m'intéresser un grand nombre d'épisodes.
Reste à voir si la série sera "classique... mais sympathique", ou plutôt "sympathique... mais classique". Cela dit je pouvais difficilement mieux tomber pour palier à ma dépression post-Entourage.