Preacher
Au premier coup d’œil, le révérend Jesse Custer n'a rien de spécial. Après tout, il n'est qu'un homme d'Église d'une petite ville, perdant peu à peu ses fidèles et laissant s'éteindre sa foi. Mais il va bientôt avoir la preuve que Dieu existe bel et bien. Et qu'Il est un sacré fils de... Avec sa petite ...
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Terminée | Américaine | 42 minutes |
Action, Epouvante-Horreur, Adventure, Drama, Fantasy, Horror, Mystery | AMC, OCS choc | 2016 |
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2.03 - Une demoiselle en détresse
Damsels
Jesse, Tulip et Cassidy arrivent à la Nouvelle-Orléans, toujours à la recherche de Dieu. Jesse commence à écumer les bars et les clubs de jazz, pendant que Tulip se renferme et veut éviter de croiser ses anciennes connaissances. Eugene se réveille en Enfer, condamné à revivre le pire jour de sa vie, celui où il a été défiguré et devenu Tronch'decul.
Diffusion originale : 03 juillet 2017
Diffusion française :
03 juillet 2017
Réalisat.eur.rice.s :
Michael Slovis
Scénariste.s :
Sara Goodman
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 11 septembre 2017 à 02:35 |
Un épisode important qui élargit enfin un peu le casting et qui nous montre à quoi pourra vraiment ressembler cette saison 2 au-delà de son road trip. Le passage avec le dieu "underground" est génial. |
Avis favorable | Déposé le 19 juillet 2017 à 21:36 |
Décidément, je vais la suivre jusqu'au bout cette saison. Encore un personnage emblématique qui apparaît. Vite, la suite! |
Avis favorable | Déposé le 07 juillet 2017 à 13:43 |
Moi qui viens de terminer Treme, cela fait bizarre de revenir à la Nouvelle Orléans via Preacher. Les mêmes décors en plus distordus. Après deux épisodes à fond les manettes, cette saison 2 lève un peu le pied et présente les enjeux futurs : le retour d'Eugène, les hommes en costumes blanc ou Viktor. +1 pour la scène avec l'homme en costume de chien, comme du David Lynch à sa bonne époque. |
Encore un bon épisode de Preacher. On stoppe un peu le road trip et on se pose enfin à la Nouvelle Orléans.
J'ai beaucoup apprécié l'ambiance qui se dégageait des lieux. A la fois festive pour les uns, et carrément oppressante pour les autres. Qui plus est, l'épisode nous livre des clés sur les intrigues à venir : le fameux Viktor mais également la présence des hommes en blanc (même si j'ai un peu peur de ne pas être très intéressée par cette dernière). Je ne reviens pas sur le chien, c'était magnifique, point !
Par contre, très très intriguée par l'Enfer et par le personnage d'Eugène. Son flashback nous prouve à quel point cet ado était juste un mec gentil qui s'est complètement laissé dépasser. Quant à sa rencontre de fin d'épisode... Aussi absurde que savoureuse !