Stargate SG-1
Un anneau de trois mètres de diamètre fait d’un métal inconnu sur Terre constitue en fait une porte ouvrant un passage vers d’autres planètes. Des équipes de militaires et de scientifiques explorent ces différentes planètes, cherchant de nouvelles technologies pour combattre notamment les Goa’ulds, une ...
Lire le résumé complet >
| Terminée | Américaine | 45 minutes |
| Science-Fiction, Action, Adventure, Fantasy | Showtime, Série Club, SyFy | 1994 |
1 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
1.05 -
La théorie de Broca
The Broca Divide
SG-1 découvre P3X-797, une planète divisée en une terre d’ombre et une terre de lumière. La terre de lumière est peuplée par des humains semblables à ceux de l'âge du bronze, alors que la terre d’ombre est peuplée par des êtres primitifs et violents qui attaquent les membres de SG-1. À leur retour sur Terre, O’Neill commence à régresser à un stade primitif de l'évolution de l'être humain. Bientôt, toute la base est infectée, à l’exception du docteur Fraiser ainsi que de Daniel et Teal'c qui repartent sur la planète afin d'y découvrir la source de la maladie.
Diffusion originale : 15 août 1997
Diffusion française :
15 août 1997
Réalisat.eur.rice.s :
Bill Gereghty
Scénariste.s :
Jonathan Glassner
Guest.s :
Steve Makaj
,
Gerard Plunkett
,
Danny Wattley
,
Roxana Philip
Derniers articles sur la saison
Critique : Stargate SG1 1.01
Tiré du film Stargate, la porte des étoiles, de Roland Emmerich, qui est sorti dans les - presque - salles obscures en 1994, la première série de la franchise commence par un épisode qui reste encore dans les mémoires des fans, a.k.a., les « gaters » ! Le concept du film, et donc de la série, est simple, une porte qui permet de voyager partout dans la galaxie, du moins au début, et une équipe dépareillée qui se révélera être plus que soudée et diablement efficace lorsqu’il faudra sauver le monde ! Leurs plus grands ennemis? Les goa’uld, des parasites reptiliens qui utilisent les humains comme hôtes et asservissent des peuples en esclavage ! Bon, dit comme ça, c’est sûr, ça peut faire flipper !