The Fosters (2013)
Les Foster (2013)
Un couple de lesbiennes - l'une est policière, l'autre enseignante dans une école privée - sont les heureuses mamans de trois enfants : un fils biologique et des jumeaux adoptés, une fille et un garçon. Leur équilibre familial est bousculé lorsqu'elles accueillent une adolescente rebelle au sein de leur foyer...
| Terminée | Américaine | 45 minutes |
| Drame, Drama, Family | ABC Family, Freeform | 2013 |
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1.08 -
Dépendances
Clean
À l'occasion de la visite d'une ex de Lena, Stef apprend quelque chose sur Lena qu'elle lui a caché ces dix dernières années. Pendant ce temps, Brandon doit faire face à son nouveau professeur de piano mais aussi à Talya, qui voudrait se remettre avec lui. Alors qu'une vidéo tourne sur cette dernière, Callie veut montrer son soutien et encourage Brandon à lui pardonner. Les problèmes de boisson de Mike commencent à empiéter sur sa vie professionnelle. Mariana et Jesus retournent voir Ana afin qu'elle les laisse tranquille mais Jesus est touché par sa situation et veut tout faire pour l'aider, ce qui va mener à des conséquences terribles pour tous les membres de la famille.
Diffusion originale : 22 juillet 2013
Diffusion française :
22 juillet 2013
Réalisat.eur.rice.s :
Millicent Shelton
Scénariste.s :
David Ehrman
,
Paul Sciarrotta
Guest.s :
damocles
Mouais, c'est pas mal... enfin moins naze que d'habitude. The Fosters est une série qui mérite le prix du dialogue comique pourri qui ruine l'ensemble.
Bref, on a droit à Marianna et son frère qui vont voir leur mère naturelle dans un quartier paumé bien crade... mouais, cliché et compagnie, on est sur ABC Family (au moins, il n'y a pas de sourds cette fois).
Sinon, l'Elton John du classique peine à convaincre son enseignant de son talent... là, on s'emmerderait normalement, mais David Lambert est bon donc ça passe.
La partie sur Jesus est bonne, comme souvent, ça change. Mais putain, que c'est sirupeux bon sang.
Et sérieux, Maia Mitchell, arrête tes moumous genre "je me pince le nez pour faire la vilaine" ça me gave sévère.